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L'Algérie est-elle arabe ou berbère?

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  • L'Algérie est-elle arabe ou berbère?

    arabo-berbère. comme ça tout le monde il est content.
    le DRS contrôle toute la Galaxie

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    • je demande aux modérateurs de fermé ce topic et merçi

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      • On pourrait admettre que les inscriptions associées aux Paléoberbéres du Tassili sont donc les plus anciens témoignages de l’écriture libyque en Afrique du Nord et qu’elles peuvent se situer vers 1300-1200 ans avant J.-C. Or, nous sommes en plein Sahara central, bien loin du domaine phénicien et carthaginois. C’était déjà le cas, rappelons-nous, de la plus ancienne inscription connue au Maghreb, celle d’Azib n’Ikkis dans le Haut Atlas marocain, située complètement à l’ouest et à l’opposé des zones d’influence punique. Mais la mise en place de cette écriture dans des régions strictement continentales, en dehors de tout contact, ne nous satisfait pas. En voici les raisons. Des arguments d’ordre archéologique et historique vont dans le sens de la contemporanéité du libyque et du phénicien, mais ils induisent aussi des contacts obligatoires dans la mise en place de l’écriture des Paléoberbères. La période à laquelle le libyque surgit sur les rochers du Tassili correspond non seulement à l’invention de l’alphabet en Méditerranée, mais aussi à un événement capital dans la partie orientale de cette région. Il s’agit des formidables invasions des Peuples de la Mer qui mettent les Libyens orientaux en contact avec des peuples très divers venus des Balkans, d’Asie mineure, du Levant, de la mer Egée... C’est avec quelques-uns d’entre eux qu’ils se sont alliés contre les pharaons Mineptah puis Ramsès III. Comment l’écho de cet événement qui va bouleverser la Méditerranée, entraîner l’effondrement de grandes civilisations comme celle des Mycéniens ou des Hittites d’Anatolie ne serait-il pas parvenu aux Libyens sahariens, lesquels par ailleurs ont pu prêter main forte à leurs cousins Libyens orientaux ? Les Peuples de la Mer débarquant avec femmes, enfants, bagages, us et coutumes, s’attaquant aux royaumes et empires méditerranéens, suscitant batailles célèbres, mouvements de populations et autres désordres ont entraîné une vague déferlante qui a forcément mis en contact des peuples et des cultures. Il suffit de contempler l’iconographie égyptienne immortalisant les batailles de pharaon pour s’en assurer : les étrangers y sont soigneusement reproduits, chaque détail de leurs vêtements, de leur coiffure ou de leur armement nettement restitué. Cette configuration mouvementée de la Méditerranée a entraîné des échanges et des emprunts culturels, et pourquoi pas des signes d’écriture, voire un système alphabétique ? Salem Chaker n’a-t-il pas fait remarquer que l’une des racines du nom du cheval (ayis) en berbère semblait plutôt avoir puisé au lexique indo-européen (ekwos) qu’égyptien (lequel a emprunté le terme susim, d’origine sémitique) ?

        Les Libyens ne pouvaient ne pas connaître l’existence des hiéroglyphes. Par ailleurs, ils étaient en contact avec des peuples, comme les Egéens, par exemple, qui, dès la fin du IIIe millénaire avant J.-C., possédaient des systèmes d’écriture (le hyéroglyphique crétois ou minoen, le linéaire A, le linéaire B ou écriture mycénienne). Ils ne pouvaient donc pas ignorer qu’il existait des procédés permettant de transcrire une langue. Comme nous l’avons vu, ils ont pu posséder une graphie propre, sorte de substrat autochtone qu’ils ont alors amélioré grâce à cette puissante mise en contact avec les peuples de la Méditerranée orientale. Ceci aurait l’avantage d’expliquer les quelques ressemblances notées par les linguistes avec d’autres alphabets sémitiques anciens, des ressemblances peut-être puisées à un fonds méditerranéen commun, comme le suppose Gabriel Camps. Ainsi le X marqué sur la roue de Brooklyn, marque de repérage, est certes une lettre phénicienne, mais c’est également une lettre libyque. De la même manière que les Paleoberbères ont su mettre à profit un savoir technologique commun à la Méditerranée, adoptant et adaptant à leur tour char et cheval, ils ont pu aussi s’inspirer d’un système d’écriture plus performant que le leur qui s’en trouva ainsi amélioré. Les Grecs, eux même n’ont-ils pas puisé à la même source, empruntant plusieurs signes au phénicien pour noter leur voyelles, via l’araméen ?

        Même en admettant une genèse tout à fait locale du libyque, par les nécessaires contacts avec la Méditerranée, ses caractères se sont forcément frottés à des prototypes très anciens. N’a-t-on, pas mis en valeur un alphabet apparu antérieurement au phénicien ? A Ougarit, près de Byblos, en Syrie du Nord, vers 1400 avant J.-C., il existe une écriture cunéiforme qui utilise trente signes seulement, tous des consonnes. Les linguistes n’hésitent pas à considérer l’alphabet d’Ougarit comme la première écriture alphabétique. Comme beaucoup de langues afrasiennes, les voyelles sont rétablies d’après la physionomie des mots. On sait justement que c’est de cette cité-Etat d’Ougarit que les Peuples de la Mer se sont ébranlés pour attaquer Ramsès III en l’an 1177 avant J.-C. Non pas qu’il faille en déduire un lien entre ce cunéiforme et le libyque, bien sûr, mais l’exemple montre la circulation et la mobilité des hommes et des connaissances d’une rive à l’autre de la Méditerranée. Il reste aussi aux linguistes à nous confirmer si les premiers caractères d’écriture libyque sont déjà un alphabet ou non. Dans le cas positif, alors les Libyens ont inventé leur écriture et leur alphabet sans avoir forcément emprunté ce dernier à celui des Phéniciens, mais on ne peut écarter la possibilité qu’il y ait eu un contact entre les deux, et donc quelques emprunts. Mais dans ce cas, pourquoi les-dits emprunts n’auraient-ils pas été réciproques ?

        Est-il d’ailleurs nécessaire d’invoquer les événements qui secouèrent la Méditerranée lors des invasions des Peuples de la Mer, sachant la richesse culturelle et linguistique du bassin méditerranéen oriental et les échanges naturels entre peuples et royaumes ? Mais cette référence à la Méditerranée orientale au moment où elle s’expose à tous ces désordres historiques correspond justement à cette date de 1200 ans avant J.-C. qui marque l’émergence très probable des premières inscriptions libyques au Tassili avec les Garamantes bitriangulaires. Tous les éléments, archéologiques, linguistiques et historiques convergent vers ce même repère, celui de l’apparition du libyque vers la fin du IIe millénaire avant J. -C., entre 1500 et 1000 avant J.-C.

        C’est le moment où une vague de progrès porte les Paléoberbères, qui adoptent cheval et char, mettent au point écriture et métallurgie. Que l’écriture soit apparue, à quelques siècles près, en même temps que le cheval, le char et le métal n’est pas le fait du hasard. Cette dynamique de progrès est un ensemble qui, de proche en proche, gagne la Méditerranée. A ce progrès, tous ont participé : les Paléoberbères ont si vite maîtrisé la technologie de l’attelage et de la cavalerie qu’ils vont inventer le quadrige et une méthode particulière de dressage de chevaux ; ils en feront de même pour la métallurgie. Il n’est pas étonnant que l’écriture ait justement accompagné tous ces importants bouleversements.
        dz(0000/1111)dz

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        • l'algérie est un pays berbere que l'islam a arabisé point finale
          Ca m'étonnerait qu'au nom d'une religion on oublierait ca langue maternelle


          pourquoi un point final ?? je crois que dans ce genre de "débat" chacun peut uniquement parler pour soi, hors là on parle de l'Algérie un vaste ensemble
          Tu ne peux empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leurs nids dans tes cheveux.

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          • je demande aux modérateurs de fermé ce topic et merci
            je partage cette avis

            arrêter bande arabe et de berbere vous etes pas la race arienne !

            vous etes les plus mixé de l'histoire (donc les meilleurs lol )

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            • L'Algérie est-elle arabe ou berbère?
              Elle est a3rberber.

              On peut clore le sujet?
              « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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              • On peut clore le sujet?
                Non, je viens d'arriver !

                c'est un sujet tabou ?? l'Algérie a bien des composantes plus ou moins identifiables, pourquoi voit on le mal partout ?? certains sont nationalistes et ce genres de questions dérangent ?? ce n'est pas parce qu'on parle d'ethnie qu'on fait obligatoirement du racisme
                Tu ne peux empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leurs nids dans tes cheveux.

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                • Les origines mythiques
                  Les Berbères sont connus depuis la plus haute antiquité : les monuments de l’Ancien Empire en Égypte citent leur existence. Au treizième siècle avant Jésus Christ, les Berbères Libyens ont livré bataille contre les puissants Pharaons d’Égypte Minerpath et Ramsès III, comme l’attestent les textes de Karnak et de Medinet Habou. Mais ces textes ne disent rien de leur origine. Parfois, les Libyens furent aussi des alliés des Égyptiens, notamment sous Ramsès II.
                  Le premier qui émet une hypothèse est l’historien Grec Hérodote. Il affirme que les Libyens descendent des Troyens. Ils auraient cherché refuge en Afrique après la destruction de cette ville par les Hellènes.
                  Pour Salluste - historien romain du 1er Siècle avant JC (83-35 avant JC) - les premiers habitants de l’Afrique du Nord étaient les Libyens et les Gétules, peuples très primitifs qui vivaient de chasse et de cueillette. Cette thèse se repose sur les livres du Prince Numide Hiempsal, que Salluste avait lu attentivement. Il prétend qu’ensuite, les Berbères se seraient mélangés aux Mèdes et aux Perses, populations qui auraient atteint l’Afrique du Nord en étant dirigés par le Demi Dieu Hercule en personne. Une partie de son argumentation se fonde sur des considérations étymologiques hasardeuses. Dans l’histoire qu’il prête au Berbères, on trouve de nombreuses affabulations. Cependant, quoi que l’on puisse en penser, l’illustre historien montre qu’il a rassemblé toutes les connaissances de son temps sur le sujet. D’ailleurs ses récits des histoires de Jugurtha et de Catilina, d’une rigueur remarquable, restent des références.
                  Plutarque reprend la thèse de Salluste, en plus embrouillée, puisqu’il y ajoute les Olbiens et les Mycéniens à la conquête de l’Afrique du Nord, toujours avec comme guide Hercule.
                  En fait chez les historiens antiques, on ne trouve aucune méthodologie sérieuse. On ne peut donc pas leur reprocher de s’être trompés. Hérodote, Salluste comme Plutarque sont considérés comme de très grands intellectuels et érudits de l’Antiquité. Il ne faut donc pas s’étonner que les Berbères eux mêmes se revendiqueront souvent de leurs oeuvres, et accréditer ont leurs idées.
                  Les origines Moyens orientales
                  Les Berbères seraient-ils venus de l’est de l’Afrique ? C’est ce que soutient Procope, un autre historien Romain, du sixième siècle de l’ère Chrétienne. Il affirme qu’ils sont d’origine Cananéenne, la conquête de cette région par Josué ayant entraînée une migration vers l’Ouest de nombreuses populations. Celles-ci, arrivées en Égypte, auraient été refoulées en Libye, et auraient ensuite peuplé le Maghreb. Il s’appuie sur des faits historiques qui ne sont en réalité que des légendes sans fondement. A la faveur de la conquête musulmane, les historiens arabes développent cette idée, et établissent des généalogies des Rois Berbères remontant très loin dans le passé. Ainsi, pour l’historien Al Bekri, Goliath ayant été vaincu par le Roi David, ses fils furent chassés de Palestine et refoulés vers la Libye par les Égyptiens. Ils auraient donné naissance aux Berbères. Ibn Khaldoun, auteur d’une volumineuse histoire des Berbères, montre l’incohérence de l’argumentation d’Al Bekri, et leur donne comme ancêtre Canaan, fils de Cham, lui même fils du patriarche Noé. Ainsi, avant l’Islamisation, les Berbères auraient été les prédécesseurs des Musulmans, et auraient une origine commune. On le voit, il s’agit clairement d’une vision plus que tendancieuse de l’histoire. Ces origines fabuleuses ont été pourtant parfois repris par certains historiens modernes. La linguistique a montré qu’il ne pouvait en rien en être ainsi, les langues berbères ne dérivant pas du fond sémitique commun aux langues juives et arabes, comme certains l’ont cru à tort.
                  Les origines Européennes
                  Après la prise d’Alger en 1830, les français commencèrent à conquérir le sud de l’Algérie et découvrirent des dolmens dans la région de Béni-Messous. On cru d’abord à des ruines carthaginoises élevées par des mercenaires gaulois. Ensuite, on s’aperçut qu’ils avaient étaient édifiés par les autochtones. En 1863, s’appuyant sur cette découverte, l’historien A. Bertrand soutient que les Berbères sont en fait des Celtiques. Il croit pouvoir étayer son argumentation puisque, toujours selon lui, une proportion importante de la population Berbère présente un teint clair. On remarquera ici le côté idéologique de cette vision de l’histoire : une origine commune des Français et des Berbères légitime la colonisation. Quand à la peau claire de certains berbères, c’est simplement oublier que les Romains, les Byzantins, les vandales venu des territoires germains ont occupés longtemps le pays, et ce sont mêles à la population. De plus, même si nous sommes très réticent au concept de race - la génétique ayant démontrée qu’il s’agit d’un concept suranné - les populations du Maghreb et de tout le pourtour méditerranéen sont des blancs. Il n’y a donc là aucune preuve de leur origine européenne. A partir de là, les Berbères se voient attribués toutes sortes d’origines, plus fantaisistes les unes que les autres. On y voit des descendant des Grecs, des Gaulois, des Gaéliques, voir du vieux peuple Indo-européens. Berbères et Européens auraient ainsi eu en commun comme ancêtres les peuples d’Inde... Une foule d’auteurs se sont appuyés sur une myriade de pseudo-analyses linguistiques dont aucune ne résiste à une critique un tant soit peu sérieuse.
                  Les origines Fantaisistes
                  Il serait ici trop long d’évoquer toutes les autres hypothèse concernant l’origine des Berbères. Mèdes, Perses, Syriens, Égyptiens, Indiens, Yéménites, Basques, Peuple venu de l’Europe Centrale, pratiquement tout y passe. Certains auteurs ont même vu en eux des descendant des survivants de l’Atlantide, continent disparu qui, selon Platon, se serait englouti en des temps lointains dans l’Océan Atlantique ! Il ne manque que les extra-terrestres dans ce tableau pour le moins pittoresque. Un historien ironisera même sur ce point, faisant valoir qu’il est plus simple de savoir quels sont les peuples à l’origine des Berbères que ceux qui ne le sont pas. Toutes ces hypothèses farfelues montrent qu’avant les recherches modernes, nous ne savions que très peu de chose sur l’origine des Berbères.
                  Les résultats de la Préhistoire et de l’Anthropologie
                  Les travaux des préhistoriens modernes et les progrès considérables de l’ethnologie ont récemment donné une réponse définitive. En fait, il est maintenant établie que que les Berbères sont tout simplement originaire... de Berbèrie. Certes, il est admis à peu près unanimement que la naissance de l’humanité a eu lieu en Afrique centrale. Comme tous les humains, les Berbères en proviennent, évidemment. Cependant, les recherches paléontologiques montrent que le peuplement du Maghreb est très ancien. Dès le paléolithique supérieur, cette région est habitée par les hommes de Mechta à partir de -10 000 avant J-c. Encore proche des Cro-Magnon, leurs restes les plus anciens ont été retrouvés à Mechta El Arbi, localité proche de Constantine. Ils peuplent ensuite tout le Maghreb. Il sont supplantés progressivement par les Capsiens (à partir de -8 000 avant J-c), dont les traces les plus anciennes ont été retrouvés en Tunisie, et qui datent de huit mille ans avant Jésus Christ. Les Capsiens sont des Homo Sapiens. Ils sont les véritables ancêtres de toutes les civilisations méditerranéennes, même si, minoritairement, les hommes de Mechta continuent d’exister, mêlés à la population, pendant plusieurs milliers d’années, jusqu’à l’antiquité romaine. Ainsi, dans des nécropoles des premiers siècles après Jésus Christ, près de dix pour cent des squelettes retrouvés sont encore de morphologie Mechtoïde. Il est donc maintenant certains que l’Homo Sapiens s’installe au Maghreb soit à la même époque qu’en Europe, soit, et c’est l’hypothèse la plus probable, au moins plusieurs centaines d’années auparavant. Il est même possible qu’ils soient à l’origine des peuples européens, en Espagne, en France et en Italie, puisque la Mer Méditerranée n’était pas un obstacle insurmontable pour les hommes de cette époque. Cette hypothèse reste toutefois controversée : il est en effet tout à fait possible que le peuplement de l’Europe se soit fait à la fois par le Sud (les Capsiens) mais aussi par l’Est (les Indo-européens), dont on sait que le peuplement est également très ancien. Les Capsiens se montrent, dès le paléolithique, très habiles à la confection d’objets - haches, burins, pressoirs - qui témoigne d’une civilisation déjà très avancée. Mais surtout, ils laissent un art remarquable, sous forme de gravures rupestres, dont les motifs annoncent l’art berbère. Ils descendent ensuite vers le sud, et atteignent le Sahara. Là, ils rencontrent les hommes de race noire, comme en attestent les peintures murales qu’ils nous ont laissé .Leur civilisation dura sans doute six mille ans, puisque l’on pense qu’elle fut supplanté vers - 2000 avant J-c par la première civilisation Berbères, qui en est selon toute vraisemblance issue. Au Néolithique, les principaux éléments fondateurs de la culture Berbère sont déjà en en place. Langue, Art, Religion, Rites Funéraires, cette civilisation se montre d’une richesse culturelle remarquable. Le Néolithique est d’ailleurs une véritable révolution. Outre la naissance de l’agriculture et de l’élevage, on sait que dès cette époque des échanges se développent entre les populations d’Europe et d’Afrique. Il est donc clairement établi que les Berbères peuplent le Maghreb depuis environ dix mille ans. Cette ancienneté fait que leur civilisation est l’un des plus anciennes connues. A ce titre, ils méritent le titre d’autochtone du Maghreb.
                  dz(0000/1111)dz

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                  • Avez vous remarque qu'il ya une region au nom chawiya en Maroc, Algerie, et aussi en Syrie.
                    Une part des Chawiyas en Syrie ne sont pas bien vus (selon quelques amis Syriens biensur) car on dit qu'ils forment une grande part des renseignements et l'armee (un peu emplyes comme "bourreaux" contre les dissidents kurdes alors que les hauts postes de l'armee et renseignements sont tenus par les alawites, les deux sont arabes sauf que les chawis sont sunnites)
                    يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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                    • elle est ALGÉRIENNE et c tout
                      tchek tchek tchek

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                      • s'elle est arabe ou berbere .. on va exterminer une partie et on laisse l'autre ??

                        l'algérie est algérienne ; point barre

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                        • humanbyrace : ce qu'on appelle "chaouis" en Algerie n'a rien à voir avec ceux qui habitent la region de la "chaouia" au Maroc. Les premiers sont berberes et parlent la langue berberes pour les seconds les origines sont plus nébuleuses et la langue est l'arabe. Le terme "chaoui" n'est qu'un nom mais ne designe pas une origine .. quand un chaoui parle de son origine il evoque sa tribu qui fait reference à une region des aurès.
                          "chawi" est un terme issu de l'arabe donc forcement n'importe quel arabophone peut utiliser ce nom. Je n'ai pas croisé un seul chaoui de l'aurès(ou auressien de preference) qui porte le nom "bouchaoui" ou simplement "chaoui" alors que j'en ai croisé dans d'autres régions arabophones .

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                          • L'Algérie est-elle arabe ou berbère?
                            les vrais arabes disent que l'algerie est berbere.


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                            • vous parlez de berberes , arabes et les autres ils sont quoi ?
                              les descendants de turcs, français, vietnamiens etc...
                              on est une seule "race" L'ALGERIEN
                              tchek tchek tchek

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                              • Bonsoir à vous : Berbères-Chawis-Arabes

                                Mazel hed le topic pfffffff

                                N'en déplaise à certains :
                                Je suis Algérienne et Arabe.

                                Et après ..........

                                Commentaire

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