Bonjour,
Entre les lignes est une émission radiophonique littéraire sur RFI. Elle est diffusé le dimanche matin à 9 heures T.U. (donc pour la France 11h)
Dimanche 26 septembre, on parlera avec un écrivain algérien que je ne connaissais pas Abdelkader Djemaï , qui présentera son livre, entres autres.
Alors si cela vous intéresse :
Abdelkader Djemaï
est né en Algérie et réside aujourd'hui en France. Journaliste, poète, romancier et auteur de théâtre. Son roman Un été de cendres a remporté le Prix Albert Camus en 1995. Il a également une activité sociale très importante dans le milieu carcéral et dans le milieu éducatif où il a ouvert des classes de composition, dont les résultats ont été publiés dans une quinzaine de volumes. Il est l'invité de nombreux festivals littéraires, et participe régulièrement à des rencontres sur le thème de la Francophonie.
Le nez sur la vitre
Un émigré algérien de 58 ans quitte Avignon, où il vit, pour retrouver à Nancy un de ses fils, âgé de 25 ans.
C'est durant le trajet en car que se déroule le roman. Aux choses vues par le vieil homme sur la route se mêlent le souvenir d'un voyage en autocar qu'il a fait, enfant, avec son propre père, en Algérie, et l'évocation de ce que fut sa vie depuis. Se mêle aussi l'histoire de ce fils avec lequel il n'a jamais communiqué.
Avec la simplicité des grands, Djemaï donne une nouvelle dimension au thème qui lui tient à coeur et que, livre après livre, il explore : les émigrés algériens en France. Il ne « sociologise » pas, il ne politise pas, il ne polémique pas. A travers l'histoire banale de personnages ordinaires, il donne à voir et à sentir et nous touche au coeur. Il y a dans ce nouveau roman une âpreté plus forte que dans les précédents. Certes, il ne s'appesantit pas sur la tragédie de ce vieil homme courageux et digne qui n'a rien compris à l'éloignement de son fils, immigré de la deuxième génération. Mais la réserve avec laquelle il la traite, la rend encore plus poignante. Ce livre court, à la fois doux et abrupt, laisse un souvenir prégnant.
Entre les lignes
Cordialement
Entre les lignes est une émission radiophonique littéraire sur RFI. Elle est diffusé le dimanche matin à 9 heures T.U. (donc pour la France 11h)
Dimanche 26 septembre, on parlera avec un écrivain algérien que je ne connaissais pas Abdelkader Djemaï , qui présentera son livre, entres autres.
Alors si cela vous intéresse :
Abdelkader Djemaï
est né en Algérie et réside aujourd'hui en France. Journaliste, poète, romancier et auteur de théâtre. Son roman Un été de cendres a remporté le Prix Albert Camus en 1995. Il a également une activité sociale très importante dans le milieu carcéral et dans le milieu éducatif où il a ouvert des classes de composition, dont les résultats ont été publiés dans une quinzaine de volumes. Il est l'invité de nombreux festivals littéraires, et participe régulièrement à des rencontres sur le thème de la Francophonie.
Le nez sur la vitre
Un émigré algérien de 58 ans quitte Avignon, où il vit, pour retrouver à Nancy un de ses fils, âgé de 25 ans.
C'est durant le trajet en car que se déroule le roman. Aux choses vues par le vieil homme sur la route se mêlent le souvenir d'un voyage en autocar qu'il a fait, enfant, avec son propre père, en Algérie, et l'évocation de ce que fut sa vie depuis. Se mêle aussi l'histoire de ce fils avec lequel il n'a jamais communiqué.
Avec la simplicité des grands, Djemaï donne une nouvelle dimension au thème qui lui tient à coeur et que, livre après livre, il explore : les émigrés algériens en France. Il ne « sociologise » pas, il ne politise pas, il ne polémique pas. A travers l'histoire banale de personnages ordinaires, il donne à voir et à sentir et nous touche au coeur. Il y a dans ce nouveau roman une âpreté plus forte que dans les précédents. Certes, il ne s'appesantit pas sur la tragédie de ce vieil homme courageux et digne qui n'a rien compris à l'éloignement de son fils, immigré de la deuxième génération. Mais la réserve avec laquelle il la traite, la rend encore plus poignante. Ce livre court, à la fois doux et abrupt, laisse un souvenir prégnant.
Entre les lignes
Cordialement
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