L’image transmet par le stimuli quasi hypnotique de l’envie (que j’inclus dans ma définition de capitalisme, débridé s’entend), l’archétype radical de la beauté à la fraîcheur érotique conjuguée au plus-que-parfait par des éditeurs convaincues des résultats magiques, pour ne pas dire métaphysique du big bang, au genre féminin spécifiquement et contenu dans un rôle d’objet sexuel convoité non seulement par les hommes, mais aussi -évolution oblige-, par les lesbiennes et même les femmes «normales». Et c’est moi pourtant qu’on traite de rabat-joie à exclure du champ auditif et visuel parce que je dénonce la vulgarisation de la notion de beauté et de laideur que l’éducation et les intellectuels de tous rangs inculquent le plus massivement possible aux bipèdes évolués qui n’ont cure des maillons manquants de la chaîne puisque la science leur permet déjà aujourd’hui de se rapprocher par le Botox, la silicone et la chirurgie de cet idéal esthétique du corps. Et c’est un des magazines le plus vendu –acheté par qui? des femmes!
Cromignone in the sky
with diamonds
with diamonds
