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Exposition “Cinquante années d’architecture au service de la culture”
Formation et recherche, culture et savoir, préservation des sites et monuments historiques, transmission et valorisation du patrimoine par les musées, diffusion culturelle ou encore arts du spectacle et de la scène sont les thèmes autour desquels s’articule l’exposition.
Cinquante ans d’indépendance et “Cinquante années d’architecture au service de la culture”, voila le thème de l’exposition dont le vernissage s’est déroulé avant-hier au jardin de la villa Brossette, siège de l’Agence nationale de gestion des réalisations des grands projets de la Culture. Inaugurée par la ministre de la Culture, Khalida Toumi, l’exposition a pour but d’ouvrir un débat sur l’architecture algérienne sans complexe et de donner visibilité aux architectes de la nouvelle génération.
Elle réunit les plus grands projets qui ont été réalisés à travers le territoire national durant ces cinquante dernières années. Elle se poursuivra jusqu’au 17 janvier 2013. Formation et recherche, culture et savoir, préservation des sites et monuments historiques, transmission et valorisation du patrimoine par les musées, diffusion culturelle ou encore arts du spectacle et de la scène sont les thèmes autour desquels s’articule l’exposition. Dans les allées du jardin, au milieu des orangers, une scénographie a été créée avec les planches de “Cinquante projets qui ont marqué la scène culturelle, de 1962 à nos jours”. Sélectionnés parmi plus d’une centaine, ces projets sont des musées, des bibliothèques et des théâtres construits, en cours de construction ou restaurés, notamment le Palais des Raïs (Bastion 23), le palais royal d’El-Mechouar de Tlemcen ou encore la villa Abdeltif d’Alger. On notera, en outre, beaucoup d’autres œuvres plus récentes, telles que la Bibliothèque nationale, le Palais Hadj-Ahmed-Bey de Constantine, le Palais des arts et de la culture d’Oran, le Palais de la culture d’Alger Moufdi-Zakaria et celui de Tlemcen Abdelkrim-Dali. Durant sa visite, la ministre s’est arrêtée devant certains projets et a salué leurs architectes présents lors de ce vernissage, à l’exemple du Musée national Émir-Abdelkader de Mascara qu’elle a fortement apprécié.
Des schémas et des plans de projets futurs sont également exposés. Nous pouvons ainsi découvrir le plan de sauvegarde de La Casbah et de son musée maritime, l’Opéra d’Alger, ainsi que le Centre arabe d’archéologie, dont la construction est prévue prochainement à Zéralda. Les architectes sont jeunes pour la plupart. Khalida Toumi a justement insisté sur ce point. Elle a estimé que plus de 60% d’entre eux sont de la nouvelle génération d’architectes. “Cela fait plaisir de voir ce que font ces jeunes. Cela prouve que les jeunes Algériens ont des capacités et que si on leur fait confiance et on les aide, ils font de très belles choses”, a-t-elle déclaré. Et d’ajouter : “Grâce à cette exposition, on se rend compte de la beauté de ces endroits.” Outres les photographies et les plans exposées, certains projets peuvent être visités en immersion à l’aide de tablettes technologiques (Ipad). Pour cela, il suffit de mettre la tablette en face du plan du site comme pour le prendre en photo. Une visite virtuelle en 360° alors s’offre à vous avec possibilité d’en voir les moindres recoins, comme si vous y étiez. Par ailleurs, l’exposition est ouverte au public tous les jours, sauf le vendredi, de 13h à 18h. Un coin presse sera réservé au jardin, et ainsi tous les jeudis après-midi, des débats autour de projets architecturaux et de l’architecture en Algérie seront organisés.
Par Liberté
Formation et recherche, culture et savoir, préservation des sites et monuments historiques, transmission et valorisation du patrimoine par les musées, diffusion culturelle ou encore arts du spectacle et de la scène sont les thèmes autour desquels s’articule l’exposition.
Cinquante ans d’indépendance et “Cinquante années d’architecture au service de la culture”, voila le thème de l’exposition dont le vernissage s’est déroulé avant-hier au jardin de la villa Brossette, siège de l’Agence nationale de gestion des réalisations des grands projets de la Culture. Inaugurée par la ministre de la Culture, Khalida Toumi, l’exposition a pour but d’ouvrir un débat sur l’architecture algérienne sans complexe et de donner visibilité aux architectes de la nouvelle génération.
Elle réunit les plus grands projets qui ont été réalisés à travers le territoire national durant ces cinquante dernières années. Elle se poursuivra jusqu’au 17 janvier 2013. Formation et recherche, culture et savoir, préservation des sites et monuments historiques, transmission et valorisation du patrimoine par les musées, diffusion culturelle ou encore arts du spectacle et de la scène sont les thèmes autour desquels s’articule l’exposition. Dans les allées du jardin, au milieu des orangers, une scénographie a été créée avec les planches de “Cinquante projets qui ont marqué la scène culturelle, de 1962 à nos jours”. Sélectionnés parmi plus d’une centaine, ces projets sont des musées, des bibliothèques et des théâtres construits, en cours de construction ou restaurés, notamment le Palais des Raïs (Bastion 23), le palais royal d’El-Mechouar de Tlemcen ou encore la villa Abdeltif d’Alger. On notera, en outre, beaucoup d’autres œuvres plus récentes, telles que la Bibliothèque nationale, le Palais Hadj-Ahmed-Bey de Constantine, le Palais des arts et de la culture d’Oran, le Palais de la culture d’Alger Moufdi-Zakaria et celui de Tlemcen Abdelkrim-Dali. Durant sa visite, la ministre s’est arrêtée devant certains projets et a salué leurs architectes présents lors de ce vernissage, à l’exemple du Musée national Émir-Abdelkader de Mascara qu’elle a fortement apprécié.
Des schémas et des plans de projets futurs sont également exposés. Nous pouvons ainsi découvrir le plan de sauvegarde de La Casbah et de son musée maritime, l’Opéra d’Alger, ainsi que le Centre arabe d’archéologie, dont la construction est prévue prochainement à Zéralda. Les architectes sont jeunes pour la plupart. Khalida Toumi a justement insisté sur ce point. Elle a estimé que plus de 60% d’entre eux sont de la nouvelle génération d’architectes. “Cela fait plaisir de voir ce que font ces jeunes. Cela prouve que les jeunes Algériens ont des capacités et que si on leur fait confiance et on les aide, ils font de très belles choses”, a-t-elle déclaré. Et d’ajouter : “Grâce à cette exposition, on se rend compte de la beauté de ces endroits.” Outres les photographies et les plans exposées, certains projets peuvent être visités en immersion à l’aide de tablettes technologiques (Ipad). Pour cela, il suffit de mettre la tablette en face du plan du site comme pour le prendre en photo. Une visite virtuelle en 360° alors s’offre à vous avec possibilité d’en voir les moindres recoins, comme si vous y étiez. Par ailleurs, l’exposition est ouverte au public tous les jours, sauf le vendredi, de 13h à 18h. Un coin presse sera réservé au jardin, et ainsi tous les jeudis après-midi, des débats autour de projets architecturaux et de l’architecture en Algérie seront organisés.
Par Liberté