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Le péché du succès est l’histoire d’une artiste arabe qui a excellé dans le quatrième art et qui s’est vue devancer sur scène par un homme, le jour de la cérémonie officielle de remise des prix, pour récupérer le trophée qui lui était destiné.
Le péché du succès, une pièce le la réalisatrice Meriam Bousselmi, mise en scène en collaboration avec l’International Platform for dance, le théâtre Globalize de Cologne, le A. Tonal Theater, le festival Theater Landshaft Neues Arabien Theater an der Ruhr et le théâtre régional de Béjaïa, a été présentée, au deuxième jour du festival international du théâtre, au niveau de la grande salle du TRB Une coproduction algéro-allemenade qui met en scène la situation de la femme dans le monde arabe et musulman, à l’aune des révolutions qui ont touché plusieurs pays arabes. Ségrégation sexuelle, viols collectifs, soumission à l’homme…, sont autant de maux que subit la femme arabe.
Le péché du succès est l’histoire d’une artiste arabe qui a excellé dans le quatrième art et qui s’est vue devancer sur scène par un homme, le jour de la cérémonie officielle de remise des prix, pour récupérer le trophée qui lui était destinée. Cette marginalisation symbolique a inspiré des femmes présentes lors de la cérémonie, qui ont pris leur courage à deux mains en s’engageant dans un mouvement de contestation.
Sept comédiennes, une syrienne, une égyptienne, une marocaine, quatre algériennes, dont une pour le chant en kabyle, se sont réunies pour mettre rails cette pièce qui « analyse plus qu’elle ne raconte la situation de la femme, soumise par les sociétés arabes en particulier, en comparaison avec l’Europe. Entre le personnage joué et la propre personnalité des comédiennes, les récits, les points de vue et les actions se croisent », souligne Meriam Bousselmi, la réalisatrice de la pièce. Le tout est joué dans un décor sobre, avec des tenues extravagantes et très parlantes, sous des rythmes musicaux aux sonorités diverses, tantôt orientales, tantôt occidentales, afin de rappeler la comparaison entre la femme arabe et occidentale.
Côté public, la pièce a été un succès. La grande salle du TRB était pleine comme un œuf, avec une forte présence féminine.
M.H. Khodja- La Dépêche de kabylie
Le péché du succès, une pièce le la réalisatrice Meriam Bousselmi, mise en scène en collaboration avec l’International Platform for dance, le théâtre Globalize de Cologne, le A. Tonal Theater, le festival Theater Landshaft Neues Arabien Theater an der Ruhr et le théâtre régional de Béjaïa, a été présentée, au deuxième jour du festival international du théâtre, au niveau de la grande salle du TRB Une coproduction algéro-allemenade qui met en scène la situation de la femme dans le monde arabe et musulman, à l’aune des révolutions qui ont touché plusieurs pays arabes. Ségrégation sexuelle, viols collectifs, soumission à l’homme…, sont autant de maux que subit la femme arabe.
Le péché du succès est l’histoire d’une artiste arabe qui a excellé dans le quatrième art et qui s’est vue devancer sur scène par un homme, le jour de la cérémonie officielle de remise des prix, pour récupérer le trophée qui lui était destinée. Cette marginalisation symbolique a inspiré des femmes présentes lors de la cérémonie, qui ont pris leur courage à deux mains en s’engageant dans un mouvement de contestation.
Sept comédiennes, une syrienne, une égyptienne, une marocaine, quatre algériennes, dont une pour le chant en kabyle, se sont réunies pour mettre rails cette pièce qui « analyse plus qu’elle ne raconte la situation de la femme, soumise par les sociétés arabes en particulier, en comparaison avec l’Europe. Entre le personnage joué et la propre personnalité des comédiennes, les récits, les points de vue et les actions se croisent », souligne Meriam Bousselmi, la réalisatrice de la pièce. Le tout est joué dans un décor sobre, avec des tenues extravagantes et très parlantes, sous des rythmes musicaux aux sonorités diverses, tantôt orientales, tantôt occidentales, afin de rappeler la comparaison entre la femme arabe et occidentale.
Côté public, la pièce a été un succès. La grande salle du TRB était pleine comme un œuf, avec une forte présence féminine.
M.H. Khodja- La Dépêche de kabylie