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Carnets Intimes de Taos Amrouche

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  • Carnets Intimes de Taos Amrouche

    Carnets intimes

    Collection Littérature française/Joëlle Losfeld, Gallimard Parution : 16-10-2014

    «De 1953 (elle a alors quarante ans) à 1960, Taos Amrouche est à une période de sa vie où des phases de bonheur et d'épanouissement amoureux alternent avec des moments de désespoir et de profonde solitude. Elle a alors le sentiment que tout se précipite, car après l'extase de sa liaison passionnée avec Jean Giono, elle est en proie à des doutes, à l'angoisse de la rupture, à la douleur de la disparition et la perte d'êtres chers. Taos Amrouche est à un moment charnière de sa vie, qu'lle ressent elle-même comme particulièrement important, et l'écriture de son journal va agir tel un exutoire, lui permettant de se raconter, de se comprendre et d'essayer de comprendre également le comportement et la psychologie de personnes appréciées et aimées, ou exécrées, qui l'ont accompagnée à différents moments de sa vie.» Yamina Mokaddem.
    "Un sourire coûte moins cher que l’électricité mais donne autant de lumière" L'Abbé Pierre

  • #2
    Marie Louise Taos Amrouche est une artiste amazigh-kabyle, écrivain d'expression française et interprète de chants traditionnels kabyles. Elle est née le 4 mars 1913 à Tunis, et morte le 2 avril 1976 à Saint-Michel-l'Observatoire en France.


    Taos, fille de Fadhma Aït Mansour Amrouche et sœur de Jean-El Mouhoub Amrouche, est la première femme algérienne romancière, avec Jacinthe noire, publié en 1947. Son œuvre littéraire, écrite dans un style très vif, est largement inspirée de la culture orale dont elle est imprégnée, et de son expérience de femme. En signe de reconnaissance envers sa mère, Marguerite-Fadhma Aït Mansour, qui lui a légué tant de chansons, contes et éléments du patrimoine oral, elle signe Marguerite-Taos le recueil Le Grain magique, en joignant à son prénom celui de la mère.
    Parallèlement à sa carrière littéraire, elle interprète de très nombreux chants amazigh, qu'elle tient de sa mère. Ces textes sont par ailleurs traduits par son frère Jean Amrouche. Douée d'une voix exceptionnelle, elle se produit dans de nombreuses scènes, comme au Festival des Arts Nègres de Dakar en 1966. Seule l'Algérie lui refuse les honneurs : elle n'est pas invitée au Festival culturel panafricain d'Alger en 1969. Elle s'y rend tout de même pour chanter devant les étudiants d'Alger.

    Taos Amrouche a œuvré pour la culture amazigh : elle participe à la fondation de l'Académie berbère à Paris en 1966.
    Dernière modification par katiaret, 21 octobre 2014, 20h26.
    dz(0000/1111)dz

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    • #3
      j'avais lu "histoire de ma vie" écrit par sa mère...récit poignant...

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      • #4
        [QUOTE]
        elle est en proie à des doutes, à l'angoisse de la rupture, à la douleur de la disparition et la perte d'êtres chers. Taos Amrouche est à un moment charnière de sa vie, qu'lle ressent elle-même comme particulièrement important, et l'écriture de son journal va agir tel
        Comme Dalida ,...

        Sauf que cette GRANDE DAME , a sus faire face à l’adversité de la vie , avec la perte de nombreux êtres qui lui sont son chers , sans pour autant oublier ses origines .

        Que certains la considère comme aristocrate , certes , on est tout de même fière d'appartenir à la race de cette DAME ...
        Dernière modification par arrezki, 21 octobre 2014, 20h59.

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        • #5
          La famille Amrouche a su prouver de la plus belle des façons à quel point ils chérissaient la culture kabyle en la portant majestueusement au devant de la scène internationale, et pourtant au départ dénigrés et raillée pour leur chrétienté.

          Décidément, le destin des Amrouche force le respect.

          Quant au nouveau livre de Marguerite-Taos, je vais me dépêcher de me le procurer.
          "Un sourire coûte moins cher que l’électricité mais donne autant de lumière" L'Abbé Pierre

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