Certes la France n'a pas de pétrole. Mais elle a ce musulman qui, par outrance et mépris à son encontre, tous les miracles se font. Le pseudo intellectuel Alain Fienkielkraut accède à l'Académie Française. Eric Zemmour, devient un héros national. Sarkozy, élu président de la République. Et le Front national de Marine Le Pen, premier parti de France.
Cette pseudo élite sait en effet que du moment que l'on décrie le musulman, la France se laissera prendre par ses mauvais sentiments. Stigmates encore vivaces de Charles Martel, des Croisades et surtout de la guerre d’Algérie, que les amis d’Israël n'ont cessé de raviver depuis deux décennies.
Certes la France n'a pas de pétrole. C'est vrai. Mais elle a mieux. Le musulman. Et ce dernier s'est avéré beaucoup plus porteur. Une vraie mine d'or, en somme. Il fut dans le passé ce soldat qui protège et défend la patrie. Sans droit et au moindre frais évidement. Et ce sur plus de deux siècles.
Depuis, du moins, la bataille Austerlitz gagnée glorieusement grâce notamment au sacrifice du bataillon mamelouk[1]. Puis en temps de paix, c'est le musulman qui construit, qui cultive et qui se tue à la tâche ingrate que personne n'accepte d’accomplir.
Toujours relégué cependant dans l'imaginaire populaire au rang de l'ennemi. L'autre absolu qui ne l'est plus. Et depuis longtemps. Le territoire français peut en témoigner. Ses routes, ses champs et ses demeures.
Pourtant les Trente glorieuses sont passées par là. Sans le glorifier, étrangement. Bien qu'il fut pour beaucoup dans leur essor. Ils lui ont glissé dessus, comme l'eau sur la roche. Il est resté pauvre, haï et discriminé. Mince héritage pour ses enfants qui, bien de France, sont éternellement considérés d'ailleurs.
Le chômage de masse fait son ravage parmi eux. Les bavures policières, les visent délibérément. Les Forces de l'ordre, viennent dans leurs quartiers malfamés et misérables comme jadis d'autres débarquent armes à la main dans les réserves amérindiennes.
Déshumanisation, discrimination et stigmatisation sont devenues de ce fait les maître mots de leur triste destinée. Or, rien de tout cela ne fut intrinsèquement grave. Pas autant en tout cas de ce qui en est advenu de jours.
Car entre temps, une pseudo élite sans mérite ni légitimité a décidé elle aussi de prendre sa part de la mine. Autrement dit du musulman. Opportune et arriviste, elle sait que du moment que l'on le décrie, la France se laissera prendre par ses mauvais sentiments. Stigmates encore vivaces, hélas, de Charles Martel, des Croisades et surtout de la Guerre d’Algérie, que les amis d’Israël n'ont cessé de raviver depuis deux décennies.
Alain Finkielkraut,en a fait alors un sujet philosophique.
L'immigré polonais en escale pour Israël, a récolté son triomphe. Pas moins que l’éternité de l’Académie française, pour un pseudo intellectuel dont l’œuvre majeure est que le musulman est essentiellement mauvais. Voire qu'il y a beaucoup de Noirs en équipe de France. Une autre « migraille », Eric Zemmour, en a fait lui un chiffon rouge pour un public perverti et déculturalisé. Résultat, il est parvenu à se hisser au rang d'un héros national, accessoirement multimillionnaire. Puis le musulman a perdu en popularité au point de devenir carrément un personnage de roman, exactement comme le juif d'antan. Le Balzac de la France de mauvais jours, Michel Houellebecq, le figera pour la postérité en manipulateur, calculateur et sournois. Un succès de librairie. Bien-sur, la médiocratie politique n'est pas du reste.
Le petit immigré hongrois, Sarkozy, en a déjà, en effet, tiré profit. Sa haine du musulman, le propulsa Président de la République. Ouvrant ainsi la voie aux idées fascistes, racistes et islamophobes du Front national et sa Présidente Marine Le Pen. Cette dernière, inculte devant l’éternel, cache bien ses insuffisances et défauts par les outrances et les menaces envers les Musulmans. Son entreprise familiale est désormais premier parti de France. Sa nièce, avec le père qui est le sien, première patriote du pays. Et sous peu, elle sera canonisée deuxième vierge avec enfant, après Marie, mère de Jésus. C'est que la haine du musulman fait des miracles en France.
La vérité est que toute la nation se redéfinit de nouveau d'une manière on ne peut plus exclusive. Dans la mesure que tout ce qui est musulman, ne sera pas français. Et inversement tout ce qui est français, ne peut-être musulman.
Et devant cette nouvelle donne, les musulmans doivent agir en conséquence et surtout cesser de se bercer d'illusions mortifères.
Autrement dit faire face pendant qu'il est encore temps ou s'organiser pour se préparer au pire. Et dans ce pire, rien n'est désormais à exclure. Car dans cette France qui vient rien n'apporte plus que la haine déclarée et assumée envers eux et de ces temps difficiles personne ne se permettra de déserter une telle mine d'or.
Source : histoire-pour-tous.fr
Cette pseudo élite sait en effet que du moment que l'on décrie le musulman, la France se laissera prendre par ses mauvais sentiments. Stigmates encore vivaces de Charles Martel, des Croisades et surtout de la guerre d’Algérie, que les amis d’Israël n'ont cessé de raviver depuis deux décennies.
Certes la France n'a pas de pétrole. C'est vrai. Mais elle a mieux. Le musulman. Et ce dernier s'est avéré beaucoup plus porteur. Une vraie mine d'or, en somme. Il fut dans le passé ce soldat qui protège et défend la patrie. Sans droit et au moindre frais évidement. Et ce sur plus de deux siècles.
Depuis, du moins, la bataille Austerlitz gagnée glorieusement grâce notamment au sacrifice du bataillon mamelouk[1]. Puis en temps de paix, c'est le musulman qui construit, qui cultive et qui se tue à la tâche ingrate que personne n'accepte d’accomplir.
Toujours relégué cependant dans l'imaginaire populaire au rang de l'ennemi. L'autre absolu qui ne l'est plus. Et depuis longtemps. Le territoire français peut en témoigner. Ses routes, ses champs et ses demeures.
Pourtant les Trente glorieuses sont passées par là. Sans le glorifier, étrangement. Bien qu'il fut pour beaucoup dans leur essor. Ils lui ont glissé dessus, comme l'eau sur la roche. Il est resté pauvre, haï et discriminé. Mince héritage pour ses enfants qui, bien de France, sont éternellement considérés d'ailleurs.
Le chômage de masse fait son ravage parmi eux. Les bavures policières, les visent délibérément. Les Forces de l'ordre, viennent dans leurs quartiers malfamés et misérables comme jadis d'autres débarquent armes à la main dans les réserves amérindiennes.
Déshumanisation, discrimination et stigmatisation sont devenues de ce fait les maître mots de leur triste destinée. Or, rien de tout cela ne fut intrinsèquement grave. Pas autant en tout cas de ce qui en est advenu de jours.
Car entre temps, une pseudo élite sans mérite ni légitimité a décidé elle aussi de prendre sa part de la mine. Autrement dit du musulman. Opportune et arriviste, elle sait que du moment que l'on le décrie, la France se laissera prendre par ses mauvais sentiments. Stigmates encore vivaces, hélas, de Charles Martel, des Croisades et surtout de la Guerre d’Algérie, que les amis d’Israël n'ont cessé de raviver depuis deux décennies.
Alain Finkielkraut,en a fait alors un sujet philosophique.
L'immigré polonais en escale pour Israël, a récolté son triomphe. Pas moins que l’éternité de l’Académie française, pour un pseudo intellectuel dont l’œuvre majeure est que le musulman est essentiellement mauvais. Voire qu'il y a beaucoup de Noirs en équipe de France. Une autre « migraille », Eric Zemmour, en a fait lui un chiffon rouge pour un public perverti et déculturalisé. Résultat, il est parvenu à se hisser au rang d'un héros national, accessoirement multimillionnaire. Puis le musulman a perdu en popularité au point de devenir carrément un personnage de roman, exactement comme le juif d'antan. Le Balzac de la France de mauvais jours, Michel Houellebecq, le figera pour la postérité en manipulateur, calculateur et sournois. Un succès de librairie. Bien-sur, la médiocratie politique n'est pas du reste.
Le petit immigré hongrois, Sarkozy, en a déjà, en effet, tiré profit. Sa haine du musulman, le propulsa Président de la République. Ouvrant ainsi la voie aux idées fascistes, racistes et islamophobes du Front national et sa Présidente Marine Le Pen. Cette dernière, inculte devant l’éternel, cache bien ses insuffisances et défauts par les outrances et les menaces envers les Musulmans. Son entreprise familiale est désormais premier parti de France. Sa nièce, avec le père qui est le sien, première patriote du pays. Et sous peu, elle sera canonisée deuxième vierge avec enfant, après Marie, mère de Jésus. C'est que la haine du musulman fait des miracles en France.
La vérité est que toute la nation se redéfinit de nouveau d'une manière on ne peut plus exclusive. Dans la mesure que tout ce qui est musulman, ne sera pas français. Et inversement tout ce qui est français, ne peut-être musulman.
Et devant cette nouvelle donne, les musulmans doivent agir en conséquence et surtout cesser de se bercer d'illusions mortifères.
Autrement dit faire face pendant qu'il est encore temps ou s'organiser pour se préparer au pire. Et dans ce pire, rien n'est désormais à exclure. Car dans cette France qui vient rien n'apporte plus que la haine déclarée et assumée envers eux et de ces temps difficiles personne ne se permettra de déserter une telle mine d'or.
Source : histoire-pour-tous.fr
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