l’Association des anciens scouts et amis des scouts de la ville de Tizi Ouzou vient de s’illustrer par l’organisation d’une manifestation en célébrant, les 26, 27, 28 et 29 décembre derniers, le 366ème anniversaire de la création de la ville de Tizi Ouzou.
Les festivités commémoratives du 366ème anniversaire de la création de la ville de Tizi Ouzou qui ont débuté le mardi 26 décembre dernier et consistaient en : (« Idhebbalen , exposition d’œuvres artistiques et de photos anciennes de Tizi Ouzou telles que photographies anciennes de la ville de Tizi Ouzou, de ses différents quartiers, des martyrs de la guerre de Libération (1954-1962), des anciens clubs sportifs et autres groupes de scouts…tableaux de peintures, de sculptures et de tenues traditionnelles, conférences…)
La ville au nom de fleur sauvage. Le mot, en kabyle, signifie « col des genêts ». Le col est peu élevé : 190 m ; mais les genêts, et avec eux toutes les fleurs de montagne, couvrent les pentes abruptes des vallées voisines. La ville s'adosse à une haute colline boisée, le djebel Belloua, où de blanc édifices établis en terrasses regardent vers le sud les reliefs compliqués du massif de Grande Kabylie. Tout est verdure et fraîcheur, Tizi, ou l'invitation à la promenade... Un coup d'œil sur la carte suffit pour préciser la vocation de Tizi Ouzou, étape entre Alger et Bejaia et centre d'excursions à travers une des contrées les plus originales et les plus pittoresques de l'Algérie. A mi-chemin de la mer et des hauts sommets du Djurdjura, le « col des genêts » est le point de convergence de huit routes (routes de crêtes et routes de vallées) dont les profils, les sinuosités, les dégagements, l'altitude disent les attraits. Partout des chantiers sont ouverts. Immeubles, usines, établissements d'enseignement, sont dispersés au milieu des vergers..., autant de réalisations qui rendent Tizi méconnaissable à qui a connu cette wilaya voici seulement peu d'années. Les vieux quartiers se réduisent à quelques maisons basses, aux boutiques archaïques, échelonnées sur deux cents mètres au long de la rue principale et de deux ou trois voies adjacentes. Là s'élève la mosquée entourée d'un péristyle aux arcades joliment décorées de reliefs blanc et noirs qu'ombrage une sorte de génoise en tuiles vernissées vertes.
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Les festivités commémoratives du 366ème anniversaire de la création de la ville de Tizi Ouzou qui ont débuté le mardi 26 décembre dernier et consistaient en : (« Idhebbalen , exposition d’œuvres artistiques et de photos anciennes de Tizi Ouzou telles que photographies anciennes de la ville de Tizi Ouzou, de ses différents quartiers, des martyrs de la guerre de Libération (1954-1962), des anciens clubs sportifs et autres groupes de scouts…tableaux de peintures, de sculptures et de tenues traditionnelles, conférences…)
Tizi Ouzou, ville au nom de fleur sauvage
La ville au nom de fleur sauvage. Le mot, en kabyle, signifie « col des genêts ». Le col est peu élevé : 190 m ; mais les genêts, et avec eux toutes les fleurs de montagne, couvrent les pentes abruptes des vallées voisines. La ville s'adosse à une haute colline boisée, le djebel Belloua, où de blanc édifices établis en terrasses regardent vers le sud les reliefs compliqués du massif de Grande Kabylie. Tout est verdure et fraîcheur, Tizi, ou l'invitation à la promenade... Un coup d'œil sur la carte suffit pour préciser la vocation de Tizi Ouzou, étape entre Alger et Bejaia et centre d'excursions à travers une des contrées les plus originales et les plus pittoresques de l'Algérie. A mi-chemin de la mer et des hauts sommets du Djurdjura, le « col des genêts » est le point de convergence de huit routes (routes de crêtes et routes de vallées) dont les profils, les sinuosités, les dégagements, l'altitude disent les attraits. Partout des chantiers sont ouverts. Immeubles, usines, établissements d'enseignement, sont dispersés au milieu des vergers..., autant de réalisations qui rendent Tizi méconnaissable à qui a connu cette wilaya voici seulement peu d'années. Les vieux quartiers se réduisent à quelques maisons basses, aux boutiques archaïques, échelonnées sur deux cents mètres au long de la rue principale et de deux ou trois voies adjacentes. Là s'élève la mosquée entourée d'un péristyle aux arcades joliment décorées de reliefs blanc et noirs qu'ombrage une sorte de génoise en tuiles vernissées vertes.
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