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  • salam etudiant, et saha 3idek à toi aussi

    Ce n’est pas du soufisme, c’est de la pure cha3wada orientaliste, assimilée injustement aux valeurs de l’Islam depuis l’arrivée des occidentaux dans nos terres. Elle est surtout pratiquée par des ignares et encouragée par des hypocrites dans le seul but de dénigrer l’Islam, l’Islam pur qui a fait de nous les maîtres du monde pendant des siècles, lorsqu’il était pratiqué selon ses enseignements, Coran et Sunnah authentique, sans cette cha3wada et ces clowneries !

    "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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    • Essence (Essentiel) = issu de l’arabe Assece أساس

      Provenç. essentia ; espagn. esencia ; ital. essenzia ; du latin essentia, de esse, être. (Le Littré)

      Étymol. et Hist. 1. Ca 1200 « nature de quelque chose » (Moralités sur Job, 338, 35 ds T.-L. : essence de la diviniteit); 2. a) 1563 « extrait de substance » (B. PALISSY, Recepte, p. 28 ds IGLF : ceux qui tirent les essences des herbes et espiceries); b) 1888 essence de pétrole (L'Aéronaute, janv., 16 ds GUILB.); 3. 1690 « espèce d'arbre » (FUR.). Empr. au lat. class. essentia « nature d'une chose ».
      "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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      • @Abderrahmane,
        je te demande l'origine de "Brevet" ... et de "Baccalauréat" ?

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        • @ Philias

          @Abderrahmane,
          je te demande l'origine de "Brevet" ... et de "Baccalauréat" ?
          Brevet (Brève) = de l’arabe Bara'a براءة

          Baccalauréat (Droit de transmission, dans son sens arabe) = de l’arabe Idjaza Bi haqi El Riwaya إجازة بحق الرواية
          "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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          • Couvert = de l’arabe Soufrat سُفرة

            سُفرة طعام المسافر



            Nature : s. m.
            Prononciation : kou-vêr ; le t ne se lie pas ; un couver
            Etymologie : Couvert 1 ; bourguig. couvar. Mettre le couvert se disait ainsi parce que, aux tables des rois et des princes, les plats, hanaps, salières avaient un couvercle, sorte de garantie extérieure contre l'empoisonnement ; de là couvert a pris le sens des assiettes, fourchette, cuiller, couteau, qu'on met devant un convive, et plus particulièrement encore, de la fourchette et de la cuiller.(Le Littré)


            الوليمة . وهي طعام العرس
            الحذاق ، وهو الطعام عند حذاق الصبي . أي معرفته، وتمييزه، وإتقانه

            العذيرة والإعذار ، لطعام الختان

            الخرسة والخرس ، لطعام الولادة

            الوكيرة ، لدعوة البناء

            النقيعة ، لقدوم الغائب

            العقيقة ، وهي الذبح لأجل الولد ، على ما تقدم في أواخر باب الأضحية

            المأدبة ، وهو كل دعوة لسبب كانت أو غيره

            الوضيمة ، وهو طعام المأتم

            التحفة ، وهو طعام القادم .
            Dernière modification par abderahmane1, 01 juillet 2017, 00h37.
            "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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            • Mots contenant "Couvert"

              • Couvert
              • Couverte
              • Couvertine
              • Couverture
              • Couvertement
              • Couverturier
              • Couvertifontin
              • Bec-ouvert
              • Découvert
              • Recouvert
              • Codécouvert
              • Indécouvert
              • Redécouvert
              • Entrecouvert
              • Ramasse-couvert
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              • Faut-il continuer de croire que la langue française ou langue de Molière est issue du latin !!! Lorsqu’on sait maintenant et sans nul doute, que la langue latine qui comportait que 23 lettres était déjà morte très longtemps avant la fin du-moyen-âge (1200 ans) et qu’elle n’existait que dans les anciennes bibles à cette époque de la fin du moyen-âge.



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                • Vautour = de l’arabe Fatara فطَر

                  فطَر الحزنُ قلبَه: مزّقه، شقّه، أثّر فيه تأثيرًا عميق


                  Provenç. voltor, voutor ; ital. avoltore, avoltojo ; du lat. vulturius, vautour, qui, ayant l'accent sur tu, a donné les formes ci-dessus. Au contrairevulturem, ayant l'accent sur vul, a donné en espagnol buitre. Vulturius, vultur, viennent de vellere : l'arracheur, le ravisseur.(Le Littré)
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                  • Canon = de l’italien Cannone, issu de l’arabe Qanoune, par analogie à la force de la loi قانون

                    Étymol. et Hist. [1119 cane (issu du paroxyton cánon) « règle pour plaider » (PH. DE THAON, Comput, 44 ds T.-L.)]; A. 1. 1259 « règle, en droit ecclésiastique » (RUTEBEUF, Du Pharisien, éd. Faral et Bastin, t. 1, p. 252); ca 1260 « règle, loi [en gén.] » (ID., Dit de Guillaume de Saint-Amour, ibid., p. 245); ca 1511 adj. droit canon (P. GRINGORE, Œuvres, éd. A. de Montaiglon et Ch. d'Héricault, Paris, 1858, t. 1, p. 87); 2. a) ca 1295 « partie essentielle de la messe » (Couronnement Renard, 327 ds T.-L.); b) 1550 « tableau qui se place sur l'autel et où sont inscrites les prières du canon » (Comptes Gaillon, p. 539 ds IGLF); 3. a) ca 1350 « catalogue des Saints » (G. LE MUISIS, Poésies, I, 303 ds T.-L.); b) 1690 (FUR. : Canon est aussi un catalogue des Livres Sacrés). B. 1587 dr. coutumier « redevance, loyer » (Edit de Phil. II sur la modérat. des rentes ds GDF.). C. 1690 mus. (FUR. : Canon [...] espèce de fugue). D. 1732 astron. Canon Paschal (Trév.). E. 1814 B.-A. (STENDHAL, Vies de Haydn, Mozart et Métastase, p. 75 : les anciens sculpteurs grecs avaient certaines règles de beauté invariables, nommées canons). Empr. au lat. class. canon « modèle, règle [en parlant de la statuaire du sculpteur grec Polyclète qui constitua un modèle pour les proportions] », puis « contribution régulière annuelle, percevable sur certaines denrées » d'où en dr. coutumier « loyer, paiement périodique » attesté dep. 1218 ds DU CANGE; en lat. chrét. au sens de « ensemble des livres sacrés », « décret concernant la discipline ecclésiastique » et « partie centrale de la messe ». Le lat. est lui-même empr. au gr. χ α ν ω ́ ν au sens de « modèle pour les mesures, règle » (LIDDELL-SCOTT).
                    "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                    • Mots contenant "Canon"

                      • canonne
                      • canonner
                      • canoniale
                      • canonicat
                      • canonique
                      • canoniser
                      • canoniste
                      • canonnade
                      • canonnage
                      • canonicité
                      • canonnière
                      • canonisable
                      • canonisation
                      • deutérocanonique
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                      • Orange = de l’espagnol Naranja, issu de l’arabe naranj نرنج

                        Cultivée au Maghreb, elle est introduite en Espagne par les Arabes, aux environs de l’an 1000.

                        Étymol. et Hist. 1. a) Ca 1200 [ms. du XIIIes.] agn. pume orenge désigne l'orange amère ou bigarade (A. NECKAM,Comment. sur le Cantique des cantiques, ms. Brit. Mus. ms. Royal 4 D XI, fo83 rocol. a d'apr. R. LOEWE ds Arch. ling.t.6, 1954, p.124); 1314 pomme d'orenge (HENRI DE MONDEVILLE, Chirurgie, éd. A. Bos, 1824); ca 1393 p.ell. orenge(Ménagier de Paris, éd. G. E. Brereton et J. M. Ferrier, p.279, 12); b) 1515 orange «fruit de l'oranger» (M. DU REDOUER, S'ensuyt le Nouveau monde et navigations [trad. de l'ital., lui-même trad. du port.], fo36 rods ARV., p.370); 2.1553 adj. «de couleur d'orange» (doc. ds A. JOUBERT, Hist. de la baronnie de Craon, p.486). L'a. fr. pome (d') orengeserait un calque de l'a. ital. melarancio, -a (dep. le XIVes., BOCCACE d'apr. DEI) comp. de mela «pomme» et de arancio«oranger» et «orange», ce dernier étant empr., avec déglutination, à l'ar. nārang(a), lui-même empr. au persannarang; le o- du fr. mod. s'explique prob. par l'infl. du nom de la ville d'Orange, a. fr. Orenge (BL.-W.2-5; v. aussi FEWt.19, p.139b), tandis que le -a- s'explique par celle de l'ital. arancia, orange étant d'abord att. dans une trad. de l'ital. (supra 1515; ARV., p.370). Au Moy. Âge, le mot désignait l'orange amère, transmise par les Perses aux Arabes, qui l'importèrent en Sicile d'où elle passa au reste de l'Europe méditerranéenne. L'orange douce, apportée de Chine par les Portugais au XVIes., a évincé, en héritant de son nom, la variété amère. V. FEW, loc. cit.
                        "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                        • Goût= de l’arabe lu à l’inverse Dawq دوق

                          Étymol. et Hist. A. 1. 1erquart XIIIes. goust « les aliments, la nourriture » (RECLUS DE MOLLIENS, Miserere, 153, 1 ds T.-L.) seulement chez cet auteur; 2. a) XIIIes. « saveur (ici au fig.) » (St Brandan, 9, 19, ibid. : esperituel goust); b) ca1276 venir bien a goust « plaire, convenir » (ADAM DE LA HALLE, Feuillée, éd. A. Langlois, 176); c) 1379 « appétit, envie » (J. DE BRIE, Bon Berger, 152 ds T.-L.) : pour leur donner goust de manger); 3. ca 1282 « sens par lequel on discerne les saveurs » (Gouvernement des rois, 30, 32, ibid.). B. 1. 1564 « sentiment d'appréciation qui pousse à préférer telle ou telle chose » (Indice et recueil universel de tous les motz principaux des livres de la Bible s.l. [Paris], p. 157 ro); 1643 en partic. dans le domaine du jugement esthétique (POUSSIN, Lett. à M. de Chantelou, p. 211 dsBRUNOT t. 6, p. 714, note : Quant ausy jaurei fet quelque chose de bon goût, je vous le dédirei); 2. 1686 « sympathie pour une personne » (MmeDE SEVIGNE, Lettres, éd. M. Monmerqué, t. 7, p. 525). Du lat. gustus « action de goûter, dégustation; saveur (au propre et au fig.) ».
                          "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                          • Le latin avec ses 23 lettres, est une langue morte

                            Le latin est généralement considéré comme une langue morte, il n'en reste pas moins qu'elle est toujours la langue officielle de l'Église catholique romaine, Selon un article de Pierre Georges dans sa chronique du Monde, le latin se serait enrichi de 60 000 termes et locutions rien qu’au cours des deux derniers siècles.

                            Faut-il alors continuer de croire aux mensonges du Larousse, quand il dit que la majorité des mots de son dictionnaire sont étymologiquement latins ?!

                            En vérité, tous les écrits en latin sont en fait des écrits arabes latinisés, que le Larousse a tout simplement omis de préciser !!!.

                            the two centres would bestow their graduates maintaining the latter’s rights. Modern research points to the year 1167 as the date at which Oxford became a stadium generale (A place of study). The research tells that studies at Oxford were suspended nearly in 1209 and accordingly three thousand scholars dispersed, some to Reading, some to Cambridge, some to Paris. By the end of the twelfth century, Cambridge was to come a town of importance, but it is not still early in the thirteenth century that genuine history records the presence there of a concourse of clerks. In order to be out of their bafflement, there was no harm, the masters believed, from borrowing from the experiences of other peoples who had earlier established their own institutes and centres of learning. Thus Oxford and Cambridge masters tended their faces to the universities of the Moslems’ Orient in order to check, and learn what degree the Islamic universities awarded their graduates. The famous institute of learning at the time was Al-Ma’moon’s Bait Al-Hikma (The House of Wisdom) which later came to be known as Al-Mustensiriyah University in Abbassaid Baghdad at the early decades of the ninth century. Bait Al-Hikma was founded by Caliph Al-Ma’moon (Haroon Al-Rasheed’s second son) whose tenure ranged from 813 to 833. The research testifies that Baghdad, as a centre of learning, preceded both Oxford and Cambridge by at least three or four hundred years in defining the prerequisites of learning and education.
                            Also, the research proved that Ancient Al-Mustensiriyah awarded any Moslem student that was graduated a certain license legally, technically, and professionally covering him to “restate what its holder had learnt in the university on the hand of his referred-to Moslem scholars in order to re-teach others elsewhere who could not afford to come to Baghdad to study, for one reason or another”. This is the crux of what was written in the license. But Arabic language is synoptic. In the license was written a brief term annexed to the holder’s name. It honoured him the legal and professional right to behave within the limits of its privileges. The term can be literary transcribed into English as it is pronounced in Arabic. It is “Bihaqq al-riwayatt” " بحق الرواية ". The term incorporates three Arabic words: ‘Bi’ stands as preposition (with); ‘haqq’ (the right) and “Al-riwayatt” (to restate the learning to somebody else). That is to say ancient Moslem graduate was awarded “with the right to restate the learning to somebody else”. And this is the true meaning of “Bachelor” or “Baccalaureate” used in almost European languages. Now the term with its preposition “Bihaqq Al-riwayatt” later was taken as a title of the degree itself by European scholars, students and translators who frequented the nearest parts of the Ancient Islamic Empire to, Christendom; these parts were Cordova, Toledo, Castello in Spain and Sicily in Italy as well as Malta as the main Arab centres of learning and rendition at medieval ages. “Bihaqq Al-riwayatt” thus was exposed to many alterations and modification related to the different new linguistic region the term reached and resided. The above mentioned variations of the term- "Baccalaureate and Bachelor” are in use. This fact is unknown to many people of well-established scholarship. For instance, The Random House Dictionary of the English Language sets queer etymology for these two variations. While (Bacca + laures), according to The Random, means “laurel berry”, (Bachelor), again according to The Random, is taken from a vulgar Latin word spelled as (baccalaris) that descends from (bacca), itself a variation of a Latin word for (cow=vacca). One wonders what the connection between (dairy farm) or (cows) and (a university degree). The story of the trip the Arabic word took to reach Europe was the topic of an article entitled “Did the Arab Invent the University?” published in The Times Higher Education Supplement, No. 185 (May 2, 1975), p. 11.
                            by R. Y. Ebied & M. J. L. Young
                            Dernière modification par abderahmane1, 11 juillet 2017, 14h34.
                            "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                            • Sorte = de l’arabe Sorat صورة

                              Étymol. et Hist. I. Subst. 1. a) ca 1220 « groupe de gens, compagnie, société » (Auberon, éd. J. Subrenat, 501), en a. et m. fr.; b) 1458 « condition, rang d'une personne » roys de noble sorte (ARNOUL GREBAN, Mystère de la Passion, éd. O. Jodogne, 5806); cf. estre de ma sorte (ID., ibid., 10898); 1558 estre de bonne sorte (B. DES PERIERS, Nlles récréations et joyeux devis, éd. Kr. Kasprzyk, 41, p. 175); 2. 1327 « catégorie d'êtres animés ou de choses, espèce, genre » (WATRIQUET DE COUVIN, Li Tournoi des Dames, 692, éd. A. Scheler, p. 253); 1723 de première sorte « de qualité supérieure » (SAVARY); 1803 une beauté de la première sorte (CHATEAUBR., Génie, t. 2, p. 280); 3. ca 1485 « manière de faire une chose, façon » (Myst. Vieux Testament, 13470, éd. J. de Rothschild, t. 2, p. 193: dites moi lasorte Comme vostre père se porte); 1549 de la bonne sorte « de la bonne manière » (EST.); 1668 faire en sorte que(LA FONTAINE, Epitre a Monseigneur le Dauphin ds Œuvres, éd. H. Regnier, t. 1, p. 4); 1678 faire en sorte de (ID., Le Florentin, sc. VIII, 395, ibid., t. 7, p. 427); 4. 1664 une sorte de « ce qu'on ne peut qualifier exactement et qu'on rapproche d'autre chose » (CORNEILLE, Rodogune [Epitre dédicatoire] à Monseigneur le Prince); 5. 1689 quelque sorte de temps « pour un certain temps » (SEVIGNE, Corresp., éd. R. Duchêne, t. 3, p. 627); 6. 1723 impr. (FERTEL,Imprimerie ds IGLF: nous comptons dix-neuf sortes ou corps de caractères); 7. 1765 pharm. manne en sorte(Encyclop. t. 10, s.v. manne, p. 45a). II. Loc. 1. 1306 loc. conj. en sorte que (JOINVILLE, Vie St Louis, éd. N. L. Corbett, § 184, ms. BL [av. mil. XVIes.]); mil. XIVes. [ms.] en tele sorte que (PHILIPPE DE BEAUMANOIR, Coutumes Beauvaisis, éd. A. Salmon, n o1305, var. ms. B.N. 18761); 1547 de sorte que (NOËL DU FAIL, Propos rustiques et facétieux, XIV ds Œuvres facétieuses, éd. J. Assézat, t. I, p. 118); 2. 1545 loc. adv. de la sorte « ainsi » (J. BOUCHET, Epistres morales du Traverseur, II, V, 12 ds HUG., s.v. assorter); 3. 1650 id. en quelque sorte « pour ainsi dire » (CORNEILLE, Don Sanche d'Aragon, I, 3, 251); 4. 1823 loc. adj. de toute sorte (LAS CASES, Mémor. Ste-Hélène, t. 1, p. 830; au plur. de toutes sortes, p. 930). Empr. au lat.sors, v. sort, qui dès l'époque impériale a pris le sens de « catégorie, sorte » (LUCRECE,De Nat. rer., 1223 ds OLD 1982), d'où celui de « manière, façon » (GREG.-LE GRAND, Ep. 9, 76 [10, 25] ds BLAISE Lat. chrét.: qualibet sorte « de quelque façon que ce soit »).
                              Parc national d'El KALA
                              Dernière modification par abderahmane1, 11 juillet 2017, 02h25.
                              "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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                              • Quand le Français parle l'arabe et il pense qu'il parle français, alors que l'Arabe lorsqu'il parle français il sait qu'il parle arabe.

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