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Vagues à l'âme...

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  • Vagues à l'âme...

    Regardez avec votre âme !


  • #2
    c qi l'auteur?

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    • #3
      @sara : coucou! c'est une toile qu'un ami m'a envoyé il y a de cela quelques années.. et je suis moi même à la recherche de son auteur.

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      • #4
        :idea: "L'homme est un fleuve sale. Il faut être un océan pour recueillir un fleuve en soi sans se salir soi-même." - F. Nietzsche

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        • #5
          luna c'est trés beau

          super beau, comme tu le dit à regarder avec son âme;


          est ce le paradis, ou l'amour serait la vie même, la respiration, le flux de vie, se tableau nous porte vers nos espoirs les plus profonds et les plus nobles,

          il faut que l'amour t'arrache à la sagesse, il faut qu'il change tes inclinations;

          C'est sous cette peau que mon coeur a eu des nouvelles de l'amour; et, puisque je ne puis parvenir à l'essence de la chose, cette peau me permet d'en avoir une idée;

          "le langage des oiseaux" farîd-ud-dîn'attar


          azul au revoir inch'allah luna :slt:
          on ne peus bien voir qu'avec le coeur le petit prince

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          • #6
            @tenzine: c'est très fort ce que tu exprimes!! :oops:

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            • #7
              L'Homme et la mer

              Homme libre, toujours tu chériras la mer!
              La mer est ton miroir; tu contemples ton âme
              Dans le déroulement infini de sa lame,
              Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.

              Tu te plais à plonger au sein de ton image;
              Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cœur
              Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
              Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.

              Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets:
              Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes;
              O mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
              Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets!

              Et cependant voilà des siècles innombrables
              Que vous vous combattez sans pitié ni remord,
              Tellement vous aimez le carnage et la mort,
              O lutteurs éternels, ô frères implacables!

              Octobre 1852

              Les Fleurs du Mal
              Spleen et Idéal
              Charles BAUDELAIRE
              (1821-1867)

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              • #8
                beaudelaire

                merci luna, charles beaudelaire à fait de belles poésie, mais je ne connaissait pas celle ci, trés beau;

                :applaudit: bon dimanche


                azul fellam
                on ne peus bien voir qu'avec le coeur le petit prince

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                • #9
                  Azul tenzine, oui Charles Baudelaire n'avait pas seulement l'âme d'un poète mais aussi l'esprit

                  Bon weekend :wink:

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                  • #10
                    mais le pooovre sadonnait à des pratiqes plutot destructrices!!

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                    • #11
                      Envoyé par sara
                      mais le pooovre sadonnait à des pratiqes plutot destructrices!!
                      Parfois on puise tout son esprit dans l'insensé et on cherche son âme en frolant la bassesse :wink:

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                      • #12
                        A cet effet, en voilà un poème fort interessant, du même recueil, chère sara. :wink:

                        L'horloge
                        Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible,
                        Dont le doigt nous menace et nous dit : " Souviens-toi !
                        Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroi
                        Se planteront bientôt comme dans une cible,

                        Le plaisir vaporeux fuira vers l'horizon
                        Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse ;
                        Chaque instant te dévore un morceau du délice
                        A chaque homme accordé pour toute sa saison.

                        Trois mille six cents fois par heure, la Seconde
                        Chuchote : Souviens-toi ! - Rapide, avec sa voix
                        D'insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois,
                        Et j'ai pompé ta vie avec ma trompe immonde !

                        Remember ! Souviens-toi, prodigue ! Esto memor !
                        (Mon gosier de métal parle toutes les langues.)
                        Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues
                        Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or !

                        Souviens-toi que le Temps est un joueur avide
                        Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c'est la loi.
                        Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi !
                        Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide.

                        Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,
                        Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge,
                        Où le repentir même (oh ! la dernière auberge !),
                        Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! "

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