Tweet
Sept sites archéologiques algériens sont portés sur la liste additive afin d’être classés par l’Unesco en tant que patrimoine universel de l’humanité, selon M. Noureddine Moussa, ministre du Tourisme, qui s’est exprimé hier en marge de la journée d’étude sur les perspectives de développement du tourisme culturel dans les pays arabes, organisée à l’hôtel Aurassi, en présence de professionnels nationaux et étrangers.
Cela vient après la classification de sept premiers sites qui sont la casbah d’Alger, les ksour d’Oued Mzab, la Qalaâ de Beni Hammad à Msila, les sites de Timgad, Djamila et Tipasa ainsi que le tassili des Ajjer. Les sites classés par l’Unesco suscitent la curiosité, attirent les touristes des quatre coins du monde et constituent un atout culturel important pour le développement touristique.
«La promotion dans le tourisme doit être faite tant par l’Etat que par les opérateurs privés qui doivent promouvoir leurs produits. Ainsi, le développement engendrera le recul de la pauvreté étant donné que ce secteur est le meilleur distributeur de richesses», a affirmé le ministre.
En outre, le premier responsable du tourisme a fait part du retrait d’agrément à 36 agences, de 16 avertissements ainsi que de plusieurs blâmes infligés à d’autres. Loin de toute publicité, cela constitue un travail ordinaire qui sera systématique, selon le ministre.
L’Afrique en pole position en matière de développement du secteur, selon l’OMT L’Afrique a réalisé en 2006 près du double du taux de croissance pour le tourisme mondial en atteignant 8,1 % contre 4,5 % du taux de croissance mondial.
Une performance hors du commun où l’Afrique subsaharienne a réalisé le taux le plus élevé avec 9,4 %, alors que l’Afrique du nord a réalisé 5,8 %, dépassant ainsi la moyenne mondiale. Le Moyen-Orient, quant à lui, a réalisé une augmentation dew touristes de l’ordre de 4 %.
Cette évolution concerne uniquement les mouvements de tourisme international, alors que le tourisme interne est estimé être deux ou trois fois supérieur par rapport au tourisme international. C’est le constat qu’a fait, lors de son intervention, M. Patrice Tédjini, chef de département à l’organisation mondiale du tourisme.
Le tourisme culturel, selon l’OMT, est l’ensemble des activités et expériences culturelles qui attirent les visiteurs et enrichissent leur séjour. Elles consistent à s’imprégner d’une manière agréable du mode de vie de la population locale, des lieux visités et de ce qui en fait l’identité et le caractère.
«Le monde arabe recèle un énorme potentiel culturel et historique. Constituant à travers l’histoire le cœur du monde, où les civilisations bâties remontent aux premières présences de l’homme sur terre, il est devenu aujourd’hui une destination privilégiée pour le tourisme culturel, encourageant et favorisant ainsi la consolidation des relations entre les peuples et le renforcement du dialogue des cultures», a affirmé M. Bousnina El-Moundji, directeur général de l’organisation arabe pour l’éducation la culture et les sciences (Alesco).
A cet effet, il a rappelé le plan mis en place par son organisation depuis la fin des années 1990 pour redynamiser le tourisme culturel dans le monde arabe. Un plan qui a été relancé dans le cadre de l’accord arabe pour le développement culturel (2005-2014).
ce qui constitue un cadre privilégié pour un travail de coopération, ajouta-t-il. Pour sa part, Mme. Inaam Bayoud, directrice de l’institut supérieur arabe de traduction d’Alger, a estimé que le développement du tourisme international passe inévitablement par celui du tourisme interne.
- Le Jeune Independant
Cela vient après la classification de sept premiers sites qui sont la casbah d’Alger, les ksour d’Oued Mzab, la Qalaâ de Beni Hammad à Msila, les sites de Timgad, Djamila et Tipasa ainsi que le tassili des Ajjer. Les sites classés par l’Unesco suscitent la curiosité, attirent les touristes des quatre coins du monde et constituent un atout culturel important pour le développement touristique.
«La promotion dans le tourisme doit être faite tant par l’Etat que par les opérateurs privés qui doivent promouvoir leurs produits. Ainsi, le développement engendrera le recul de la pauvreté étant donné que ce secteur est le meilleur distributeur de richesses», a affirmé le ministre.
En outre, le premier responsable du tourisme a fait part du retrait d’agrément à 36 agences, de 16 avertissements ainsi que de plusieurs blâmes infligés à d’autres. Loin de toute publicité, cela constitue un travail ordinaire qui sera systématique, selon le ministre.
L’Afrique en pole position en matière de développement du secteur, selon l’OMT L’Afrique a réalisé en 2006 près du double du taux de croissance pour le tourisme mondial en atteignant 8,1 % contre 4,5 % du taux de croissance mondial.
Une performance hors du commun où l’Afrique subsaharienne a réalisé le taux le plus élevé avec 9,4 %, alors que l’Afrique du nord a réalisé 5,8 %, dépassant ainsi la moyenne mondiale. Le Moyen-Orient, quant à lui, a réalisé une augmentation dew touristes de l’ordre de 4 %.
Cette évolution concerne uniquement les mouvements de tourisme international, alors que le tourisme interne est estimé être deux ou trois fois supérieur par rapport au tourisme international. C’est le constat qu’a fait, lors de son intervention, M. Patrice Tédjini, chef de département à l’organisation mondiale du tourisme.
Le tourisme culturel, selon l’OMT, est l’ensemble des activités et expériences culturelles qui attirent les visiteurs et enrichissent leur séjour. Elles consistent à s’imprégner d’une manière agréable du mode de vie de la population locale, des lieux visités et de ce qui en fait l’identité et le caractère.
«Le monde arabe recèle un énorme potentiel culturel et historique. Constituant à travers l’histoire le cœur du monde, où les civilisations bâties remontent aux premières présences de l’homme sur terre, il est devenu aujourd’hui une destination privilégiée pour le tourisme culturel, encourageant et favorisant ainsi la consolidation des relations entre les peuples et le renforcement du dialogue des cultures», a affirmé M. Bousnina El-Moundji, directeur général de l’organisation arabe pour l’éducation la culture et les sciences (Alesco).
A cet effet, il a rappelé le plan mis en place par son organisation depuis la fin des années 1990 pour redynamiser le tourisme culturel dans le monde arabe. Un plan qui a été relancé dans le cadre de l’accord arabe pour le développement culturel (2005-2014).
ce qui constitue un cadre privilégié pour un travail de coopération, ajouta-t-il. Pour sa part, Mme. Inaam Bayoud, directrice de l’institut supérieur arabe de traduction d’Alger, a estimé que le développement du tourisme international passe inévitablement par celui du tourisme interne.
- Le Jeune Independant