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l'Algérie sous occupation ottomane

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  • l'Algérie sous occupation ottomane

    Salut tout le monde!

    Je suis étudiant-chercheur en histoire, spécialiste de l'Algérie du XVIe siècle à 1830.
    Je souhaite ouvrir un débat sur cette période de notre histoire, une période mal connue et sur laquelle circulent plein d'idées préconçues.
    La première de ces idées est de se représenter l'Algérie de l'époque à travers ses corsaires et d'associer le pays à la piraterie, ce qui aurait justifié les expéditions militaires occidentales à son encontre.
    Il est temps de reconsidérer l'histoire de l'Algérie telle qu'elle a été écrite jusqu'à présent et de réflechir ensemble pour mieux nous connaître.

    A bientôt, je l'espère

  • #2
    Merci d'avoir ouvert un tel Topic.
    je suis personnellement une fervue d'histoire particulièrement celle de notre pays.
    Alors donne nous des infos
    Dernière modification par Han, 18 mars 2005, 18h10.

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    • #3
      Han, quel aspect pourrait t'intéresser en particulier?

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      • #4
        Salut Ismet

        Tu pourrais nous parler de sa culture et de son economie. Ou en etait les arts
        et les sciences. Tu pourrais aussi aborder les rapports de l'Algerie avec l'exterieur (alliances et conflits)

        Ce serait tres interresant merci d'avance.
        Dernière modification par sindbad, 19 mars 2005, 14h13.

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        • #5
          Oui, c'est tout à fait cela...

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          • #6
            On pourrait passer des heures sur chacun des thèmes que tu as évoqué Sindbad.
            Ce qui serait marrant, c'est de partir du présent.
            En Algérie, on fait croire aux gens que parler l'arabe classique, c'est aller dans le sens de la restauration de notre identité, celle que nous possédions avant la colonisation.
            C'est vrai et faux en même temps.
            L'arabe restait la langue des lettrés, certes. Mais je suis tombé sur de nombreuses lettres et sur des ouvrages d'époque avec beaucoup d'expressions dialectales. Certaines, que nous utilisons encore aujourd'hui.
            Eh oui, le dialecte se retrouvait sur le papier avec moins de tabou qu'aujourd'hui.
            On écrivait comme on parlait. Les institutions algériennes devraient en prendre de la graine et se rapprocher ainsi du peuple - qu'elles sont censées représenter- et de ses langues.
            Oran, comme vous le savez surement a été espagnole, de 1509 à 1708 puis de 1732 à 1792. On y parlait l'espagnol, bien sûr.
            A Alger, qui n'est devenue la capitale du pays que sous la présence ottomane, on parlait toutes les langues de la Méditerranée.
            Les réfugiés andalous d'Alger ont perpétué l'usage de l'espagnol.
            Les corsaires, les esclaves venaient de tous les horizons et il n'était pas curieux pour un Algérois d'entendre de l'italien, de l'espagnol, du flamand et même de l'allemand ou du russe dans les rues.
            Certains deys s'exprimaient couramment en italien ou en espagnol.
            Salah, le plus célèbre des beys de Constantine, parlait selon les commerçants français eux-mêmes, un très bon français.
            La langue la plus fréquemment employée dans les rapports internationaux, à dominante commerciale, restait ce qu'on appelait, la lingua-franca, c'est un mélange assez pauvre (200 à 300 mots) de mots espagnols, turcs, arabes, portugais, etc.. qui s'est forgé avec le temps pour que les Méditerranéens puissent communiquer entre eux.
            Un dey s'est par exemple exprimé ainsi en lingua franca à un consul français qui l'avait particulièrement énervé:
            "al fine este console va a andar la catena", ce qui veut dire "ce consul va finir par porter la chaine". On faisait porter la chaine au pied à des esclaves qui s'étaient mal comporté (le coup d'éventail à côté reste une broutille).
            On parlait bien sûr le berbère, via les Kabyles par exemple, qui, déjà à l'époque, travaillaient à Alger.
            Et bien sûr on y parlait cet algérois qui a du beaucoup se perdre depuis.
            J'ai retrouvé une chanson de gamins des rues d'Alger, probablement composée pendant les bombardements d'Alger par la France en 1688 qui donne pour les deux premiers vers:

            Boumba ya boumba, haddamtili dâri ou sandjak al-fransis m'alak fa-sâri.

            Bombe, tu ma détruis ma maison, le drapeau des français est accroché sur le mât.

            Le mot "sandjak" est ottoman.

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            • #7
              C'est tout à fait passionnant.
              Je savais, certe, que les habitants d'Alger ne parler pas l'arabe classique mais j'ignorais qu'il y avait une telle divérsité languistique.
              En ce qui concerne Oran, ceci explique pourquoi ma grand mère ( Allah yarhamha) traitait les oranais d'espagnoles , c'était bien sûr dans le sens péjoratif.
              Dernière modification par Han, 18 mars 2005, 22h15.

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              • #8
                La Régence d'Alger!!!!

                salam,

                Je suis moi meme specialiste de l'algerie ottomane et coloniale (18-20 ) siecle, arts et sciences, j'ai participe avec IRCICA et Ekemelddin Ihsanoglu, a Istanbul, Paris, LOndres, Sydney, Montreal,....

                Je vois ton titre un epu erroné, l'Algerie sous les Ottomans n'était occupée mais regie par La Porte Sublime, a Istana.

                salam,
                De l'algérie je suis nostalgique

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                • #9
                  Merci Ismet pour toutes ses precieuses informations.

                  Peux-tu nous decrire un peu la condition de la femme a cette epoque. Est-il vrai qu`elle restait cloitree chez elles et ne sortait qu`avec l`autorisation d`un male?

                  Je me souviens avoir lu dans un livre d`histoire qu`un Agha avait ouvert des ecoles pour les femmes dans les regions algeroises?
                  J`avais compris qu`elles n`etaient pas toutes des analphabetes sans aucune instruction.

                  Ou etait situe le palais du Dey? pourquoi les francais l`ont detruit?

                  J`ai hate de te lire.
                  Dernière modification par mene, 19 mars 2005, 06h31.
                  NOUS SOMMES TOUS DES PALESTINIENS

                  Commentaire


                  • #10
                    Salut

                    Alger etait certes cosmopolite (Il parait qu'il y'avait 600 russes ou familles russes a une epoque !).

                    Aitmakki
                    "Je vois ton titre un epu erroné, l'Algerie sous les Ottomans n'était occupée mais regie par La Porte Sublime..."

                    Mais comment expliquer le fait que parmis les beys ou bacha peu etaient algeriens. Idem pour les capitaines de navires?

                    Le seul nom qui sort du lot etait Rais Hamidou si l'on considere Betchine italien d'origine dont le vrai nom etait (Betini) ainsi que pour Mourad Rais (flamand), Mami Napolitan, Hassan Portuges, Veneziano, Corso (Le corse) Arnaout (Maltais) etc...
                    Dernière modification par sindbad, 19 mars 2005, 14h58.

                    Commentaire


                    • #11
                      Avant de répondre à tes questions Mene, je voudrais juste dire à Ait Makki, qu'il est vrai, que nominalement, l'Algérie était régie par Istanbul mais en réalité la minorité ottomane qui dirigeait à Alger s'était rendue avec le temps quasi indépendante du Sultan.
                      Au début du XVIe siècle, ce sont des beylerbeys qui dirigent les territoires conquis, par exemple, les frères Barberousse. Ils sont très fidèles aux directives d'Istanbul, car ils ont besoin de son soutien pour conquérir le pays.
                      Mais progressivement, l'Algérie ottomane prend de l'importance et Istanbul a peur d'en perdre le contrôle; elle y nomme donc ce qu'on appelera des pachas triennaux, parce qu'ils étaient remplacés par le Sultan tous les trois ans; or, ces derniers, vus qu'ils n'étaient là que pour trois ans ne pensaient qu'à s'enrichir au maximum avant d'emporter leur richesse en Turquie.
                      Ce qui a provoqué une série de révoltes importantes dans le pays ayant mené à une révolution de palais, en 1659, qui donna le pouvoir à ce qu'on appelle la milice des Janissaires, avec à leur tête l'Agha.
                      Cette sorte de "république militaire" (1659-1671) ne mit pas fin à la crise, les quatre aghas furent tous assassinés et une nouvelle révolte donna le pouvoir à un Dey (1671).
                      C'est sous les deys que l'autonomie vis à vis d'Istanbul se fera de plus en plus grandissante.
                      Un pacha était toujours nommé par Istanbul, il n'avait plus qu'un titre honorifique mais il symbolisait la présence du Sultan en Algérie.
                      Or, en 1710, le dey Baba Ali Chaouch (1710-1718) prend la décision de chasser le pacha envoyé par le Sultan et de prendre lui-même ce titre.
                      Un fait accompli accepté par le Sultan. Le dey sera désormais pacha-dey.
                      L'Algérie connait alors une grande autonomie.

                      Mene, je répondrai avec grand plaisir à ta question sur les femmes; c'est un sujet qui me tient beaucoup à coeur.
                      Et d'abord, dire, car peut être que beaucoup ne le savent pas, qu'il exsitait une prostitution quasi institutionnalisée à Alger.
                      Des prostituées se tenaient dans des maisons closes, régies par un Mezouar, personnage tout à fait officiel, qui payait un impôt à l'Etat sur l'argent qu'il extorquait à ces femmes.
                      Rappelons qu'à Alger, il y avait un nombre très important de soldats, la plupart célibataires, car s'ils se mariaient, ce qui arrivait à un certain nombre d'entre eux, ils perdaient une partie de leurs privilèges de soldats.
                      Comprenez, il était important pour l'Etat occupant, que les militaires ottomans se mélangent le moins possible aux populations locales, pour ne pas perdre un pouvoir qui serait récupéré par ces fils d'Ottomans et d'Algériennes qui deviendraient rapidement nombreux et créeraient une dynastie "nationale".
                      Pour revenir au sujet, ces soldats célibataires expliquent bien entendu, l'organisation d'une telle prostitution, qui touchait probablement les femmes les plus pauvres, orphelines ou autres.
                      Nous en savons encore peu sur la question.

                      Mene, concernant cette école, crée par un Agha, je ne peux rien te dire; j'essaierai de me renseigner.

                      Quand à l'enfermement des femmes, il faut d'ores et déjà dire, qu'il était limité.
                      Et il faut faire la différence entre les villes et les campagnes.
                      Prenons l'exemple d'Alger, pour les villes, puisque c'est l'exemple que nous connaissons le mieux.
                      Les femmes algéroises passaient énormement de temps sur les terrasses de la Casbah. Elles y avaient une vue sur la ville et la mer.

                      Mene, tu es peut être d'accord qu'on peut alors parler de demi-enfermement?
                      Mais ce n'est pas tout; comme tu le sais, les terrasses d'Alger communiquent entre elles, et les voisines se rendaient ainsi la visite, dans la journée.

                      La rue restait un univers masculin.
                      Cependant c'est oublier, ce qui fait la grande saveur de notre culture, les hammams, les fêtes de mariage, de circoncisions, ou les femmes avaient la liberté de sortir, ce qui dans un système de sociabilité comme le notre devait créer de multiples occasions de se déplacer (à l'intérieur de ces haîks que nos grands mères portaient encore et qui tendent à disparaitre).
                      J'oubliais, les occasions un moins réjouissantes, que sont les décès; Nos ancètres ressemblaient un peu à nos 'azaîates' actuelles, ces pleureuses d'aujourd'hui.
                      Mais à l'époque, elles se lacéraient le visage, jusqu'au sang, pendant ces cérémonies.
                      Ma grand mère me racontait qu'à Oran, avant la guerre d'Indépendance, des femmes se barbouillaient le visage e charbon et se revêtaient d'un habit de bure (un tissu, proche du sac de patate) pendant le deuil de 40 jours.

                      Il devait être impressionant d'entendre les youyous des femmes sur les terrasses pendant certaines réjouissances publiques; je pense au mouloud mais aussi à des victoires militaires, à l'arrivée d'un bey de province, etc...

                      Le sujet est vaste Mene.
                      Mais pour résumer, il est vrai que l'intérieur était l'univers de la femme et l'extérieur celui de l'homme.
                      Combien d'hommes de l'époque se mariaient à des femmes sans même les connaître et vice-versa? Beaucoup. Peut être la majorité.
                      Un homme s'adressait parfois à une femme connue pour être marieuse, une sorte d'entremetteuse.
                      Il l'envoyait, moyennant argent, dans une maison, connue pour son opulence ou pour la beauté de sa ou ses azbât (jeunes filles) et lui demandait ensuite des avis sur cette fille.
                      L'entremetteuse devait créer bien des malentendus. Imaginons, un homme dévoilant une fille dont il s'était fait une toute autre idée!

                      Mene, dis moi si ça t'intéresses que je te parles des femmes des campagnes.

                      Quand au palais du dey: il y en a eu deux.
                      Le premier existait déjà sous le dernier chef d'Alger avant l'arrivée des Ottomans; il s'appelait Salim el-Thoumi.
                      Ce bâtiment, dont il nous reste des illustrations et des plans, était assez simple avec des cours intérieures et des étages, comme les maisons mauresques d'Alger.
                      Il était situé sur l'actuel Place des Martyrs, dans la basse Casbah.
                      A son entrée se tenaient des chaouch, garde habillée de vert, blanc et rouge, pour y contrôler les entrées et vérifier que les soldats n'étaient pas armés, car le dey Muhammad ben Othman (1766-1791) ayant subi plusieurs tentatives d'assassinats a interdit l'entrée du palais en armes.
                      En 1817, le dey Ali Khodja, déplace le centre de l'autorité dans la haute Casbah, avec les trésors du gouvernement, et ceci en pleine nuit.
                      Ce palais existe toujours, c'est la Citadelle, que chacun de nous peut visiter.
                      Il craignait, comme les deys précédents, la turbulence de la milice des janissaires, toujours prompte à créer des révolutions, lors de mécontentements.
                      Installé à la citadelle et entourée d'une garde de kouloughlis et d'autochtones, le pouvoir pouvait se nationaliser, vieux rêves des premiers kouloughlis mais c'était trop tard: en 1817, l'Algérie est déjà très affaiblie et l'Europe trop envahissante.

                      Le palais, qui a été détruit, est donc le premier des deux palais mentionnés, qui a été le siège du pouvoir pendant des siècles.
                      Il a brûlé en 1844. L'incendie est probablement d'origine criminelle. Imaginez donc des grands colons, promoteurs immobiliers, exploiter la moindre parcelle d'Alger. N'ont-ils pas détruit tout le quartier de la Marine, qui se tenait sur l'actuelle Place des Martyrs? Nous en reparlerons peut être une autre fois.

                      Question: les Français n'ont-ils pas voulu détruire les symboles du pouvoir qu'il avaient annihilé pour empêcher tout retour de ce pouvoir? Possible.

                      Voilà, c'est avec grand plaisir que je partage ce patrimoine qui nous est commun.
                      A bientôt

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                      • #12
                        En fait les espagnoles avait occupe tous le litoral Algerien. d'Oran a bougie et c'est eux qui avaient construi le fameux Penon d'Agler en occupant un petit ilot.

                        Commentaire


                        • #13
                          Les Espagnols ont occupé un certain nombre de point sur la côte, mais ils n'y sont pas restés, ayant été chassés par les Algériens.
                          Par exemple, ils ont occupé Bougie de 1510 à 1555.
                          Le Pegnon (fort espagnol) à Alger, est bombardé, démoli, le 27 mai 1529.
                          C'est avec les ruines de ce fort, que Khaireddine Barberousse fait construire la jetée entre la côte et les îles sur une desquelles a été bâti le pegnon, créant ainsi le port d'Alger.
                          Oran et Mers el Kebir restent donc des exceptions.
                          La vie des garnisons espagnoles y était d'ailleurs très pénible, ils étaient souvent l'objet des attaques des tribus de la région.

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                          • #14
                            Jamaa Lalla

                            Salut

                            "Question: les Français n'ont-ils pas voulu détruire les symboles du pouvoir qu'il avaient annihilé pour empêcher tout retour de ce pouvoir? Possible"

                            La casbah symbole de la puissance d'Alger fut diffiguree en la faisant traversee par un chemin la coupant en deux ce qui a donne naissance a la Haute Casbah et la Basse Casbah.

                            Les Francais avait detruit une mosquee connue sous le nom de Djamaa Lalla (Mosquee de La Dame) dont l'histoire symolique raconte la bravoure et la generosite des Algeriens, malgrais tous qu'on puisse raconte a leur sujet durant cette periode.

                            L'histoire commence avec la capture d'un navire Italien. A son bord la fille d'un haut dignitaire fut parmis les personnes capturees. La coutume voulait que les femmes faite prisonnieres etaient mise entre les mains de femmes algeriennes qui se devaient de les initiees au mode vie local et d'essayer de les convertir a l'Islam.

                            Les italiens avaient requis la liberation immediate de la prisonniere, les Algeriens de leur cote avaient exige le payement d'une rancon. Les italiens avaient refuse de payer. La prisonnier avait decider que chretienne elle etait chretienne elle resterait qu'elle qu'en soit le prix.

                            Des annees ont passe et chacun continuait a camper sur ses positions, entre temps des liens d'amities etaient nes entre la prisonniere et les algeriennes qui l'entourerent (elle etait constament traite avec respect et delicatesse) si bien qu'un jour le pouvoir local decida de la libere sans demande de rancon aucune. Elle refusa, elle tenait a ce que la rancon soit payee et que l'argent soit utilise pour la construction d'une mosquee.

                            La mosquee fut construite et fut baptisee Djamaa Lalla elle fut detruite par les francais lors de leur arrivee...
                            ...
                            La mosquee a bel est bien existe pourrait avoir plus de precision sur le recit
                            date et noms ? merci
                            a+









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                            • #15
                              En occupant Oran les espagnoles s'etaient limite au port et ces environs. Il s'etaient essaye a s'enfoncer dans le territoire mais sans succes. Il leur etait plus facil de s'accrocher a leur prise Oranaise vu la proximite de l'Espagne qui permetait repli et reapprovisionnement facil.

                              Rappelons que c'est l'attaque espqgnole contre Oran (sans provoctation aucune de la part des algeriens et qui avait fait pas moins de 4000 morts et 8000 blesses qui a etait l'act qui a conduit les algeriens developper une force naval et qui etait devenue par la suite instrument de la course...

                              Parles nous de l'etat des sciences et des arts et pourquoi malgre la proximite de l'Europe et le role de l'Afrique du Nord dans l'introduction des arts et des sciences en Europe l'Afrique du nord ait rate la revolution industrielle.
                              Aurais tu une analyse la dessus ?
                              Dernière modification par sindbad, 20 mars 2005, 14h38.

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