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OGB : L’Algérie, un partenaire de choix pour la Grande-Bretagne
OXFORD BUSINESS GROUP PRÉSENTE SON RAPPORT SUR LE COMMERCE ET LES INVESTISSEMENTS EN ALGÉRIE 2008
Plus de 130 hommes d’affaires britanniques intéressés
Les hommes d’affaires britanniques et algériens sont appelés dans le cadre des rencontres prévues à découvrir les opportunités de développement pour tisser les relations d’investissements et de commerce. D’ailleurs, la conférence qui s’est déroulée à Londres le 6 novembre sur “le commerce et les investissements en Algerie 2008”, constitue une initiative commune de la Middle East Association (MEA) et UK Trade and Investment (UKTI).
Elle avait pour objectif, selon les organisateurs, de valoriser l’Algérie comme un partenaire commercial clé pour la Grande-Bretagne. Les participants ont exploré les relations bilatérales, le climat d’investissement en Algérie et les aspects pratiques du monde des affaires nationales, insistant particulièrement sur le secteur de l’énergie. Tous les participants ont reçu un exemplaire du rapport. Mme Alison Nichols, analyste à OBG spécialisée sur les questions d’Afrique du Nord, était présente pour discuter des tenants et aboutissants de la nouvelle publication qui coïncide avec l’affirmation de l’Algérie comme partenaire de choix pour la Grande-Bretagne.
En effet, les exportations britanniques atteignent 169 millions de livres sterling en 2007. Quant aux exportations algériennes vers la Grande-Bretagne, elles totalisent 910 millions de livres sterling sur la même période. “L’Algérie possède les plus grandes réserves de gaz d’Afrique et devrait fournir près de 10% des besoins de la Grande-Bretagne d’ici à 2010.” Mme Olga Maitland, présidente de “l’Algerian Business Association”, a ouvert la rencontre en présentant les opportunités disponibles au sein d’un des plus grands marchés du pourtour méditerranéen, dont la taille ne cesse de croître.
Elle a aussi souligné les avancées réalisées pour faciliter l’investissement étranger en Algérie, notamment dans le cadre de la libéralisation du code de l’investissement mais aussi celui des privatisations. Les deux interlocuteurs principaux, du côté britannique, M. Gareth Thomas, ministre d’Etat pour le Commerce et l’Investissement, et du côté algérien, M. Abdelhamid Temmar, ministre de l’Industrie et de la Promotion de l’investissement, ont fait écho à Mme Maitland, en appelant l’assemblée à développer les liens économiques qui unissent les deux pays.
Horizon
Plus de 130 hommes d’affaires britanniques intéressés
Les hommes d’affaires britanniques et algériens sont appelés dans le cadre des rencontres prévues à découvrir les opportunités de développement pour tisser les relations d’investissements et de commerce. D’ailleurs, la conférence qui s’est déroulée à Londres le 6 novembre sur “le commerce et les investissements en Algerie 2008”, constitue une initiative commune de la Middle East Association (MEA) et UK Trade and Investment (UKTI).
Elle avait pour objectif, selon les organisateurs, de valoriser l’Algérie comme un partenaire commercial clé pour la Grande-Bretagne. Les participants ont exploré les relations bilatérales, le climat d’investissement en Algérie et les aspects pratiques du monde des affaires nationales, insistant particulièrement sur le secteur de l’énergie. Tous les participants ont reçu un exemplaire du rapport. Mme Alison Nichols, analyste à OBG spécialisée sur les questions d’Afrique du Nord, était présente pour discuter des tenants et aboutissants de la nouvelle publication qui coïncide avec l’affirmation de l’Algérie comme partenaire de choix pour la Grande-Bretagne.
En effet, les exportations britanniques atteignent 169 millions de livres sterling en 2007. Quant aux exportations algériennes vers la Grande-Bretagne, elles totalisent 910 millions de livres sterling sur la même période. “L’Algérie possède les plus grandes réserves de gaz d’Afrique et devrait fournir près de 10% des besoins de la Grande-Bretagne d’ici à 2010.” Mme Olga Maitland, présidente de “l’Algerian Business Association”, a ouvert la rencontre en présentant les opportunités disponibles au sein d’un des plus grands marchés du pourtour méditerranéen, dont la taille ne cesse de croître.
Elle a aussi souligné les avancées réalisées pour faciliter l’investissement étranger en Algérie, notamment dans le cadre de la libéralisation du code de l’investissement mais aussi celui des privatisations. Les deux interlocuteurs principaux, du côté britannique, M. Gareth Thomas, ministre d’Etat pour le Commerce et l’Investissement, et du côté algérien, M. Abdelhamid Temmar, ministre de l’Industrie et de la Promotion de l’investissement, ont fait écho à Mme Maitland, en appelant l’assemblée à développer les liens économiques qui unissent les deux pays.
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