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A une semaine de la réunion extraordinaire de l’Opep qui doit avoir lieu le 17 décembre à Oran, les prix semblent marquer une pause au-dessus du niveau des 40 dollars le baril.
Le marché a, semble-t-il, commencé déjà à intégrer une réduction importante de la production des pays de l’opep qui serait située entre 1,5 million à 2 millions de barils par jour.Plusieurs ministres des pays membres de l’Opep se sont déjà prononcés sur une réduction substantielle.
D’autres facteurs contribuent aussi à freiner la chute des prix.La Russie devrait se joindre à l’Opep à partir du 17 décembre pour apporter sa contribution en réduisant sa production, selon une information rapportée par l’agence Interfax, qui cite le ministre russe de l’Energie, Serguei Chmatko.
Selon le ministre russe, qui a indiqué hier matin avoir eu une conversation téléphonique avec le président de l’Opep, Chakib Khelil, l’Organisation s’apprêterait à prendre une décision de réduction de la production très importante.Concernant l’apport de la Russie, le ministre de l’Energie a indiqué que son pays allait faire des propositions de réduction au plus tard le 17 décembre.La Russie souhaite aussi que d’autres pays producteurs de pétrole non membres de l’Opep se joignent à l’action de stabilisation du marché pétrolier.
Ainsi, devant la chute des prix, la Russie a finalement décidé de coopérer avec l’Opep pour éviter un effondrement des prix préjudiciable pour tout le monde, y compris pour les pays consommateurs. Même si la production russe est en train de décliner, l’apport d’un des plus grands producteurs de pétrole peut avoir un impact psychologique sur le marché. Selon plusieurs enquêtes de sociétés spécialisées, les pays de l’Opep auraient réduit leur production substantiellement durant le mois de novembre.
Les évaluations se situent entre 1 million et 1,2 million de barils par jour. Pour le surplus restant, il serait situé entre 500 et 900 000 barils par jour, selon la source.Toutefois, la réduction est bien enclenchée et il est rare, sinon impossible, que les pays de l’Opep puissent enlever du marché 1,5 million de barils par jour en un seul mois, vu la complexité de l’opération.
Selon les dernières informations en provenance de raffineurs asiatiques, plusieurs pays du Golfe, dont l’Arabie Saoudite, ont informé leurs clients des réductions de livraisons dès le mois de janvier en plus de celles de décembre. L’opération de réduction semble se poursuivre et lors de la réunion du 17 décembre, l’Opep pourrait annoncer avoir atteint en grande partie son objectif du 24 octobre dernier, sinon la décision qu’elle s’apprête à prendre pour mettre en pratique une deuxième importante réduction n’aurait pas de grand impact sur le marché.
Hier, vers 17h GMT, le light sweet crude à New York était à 43,17 dollars le baril. Tandis que le brent était à 41,46 dollars le baril.Les prix se sont maintenus hier au-dessus des 40 dollars le baril malgré la hausse des stocks pétroliers américains.
El Watan
Le marché a, semble-t-il, commencé déjà à intégrer une réduction importante de la production des pays de l’opep qui serait située entre 1,5 million à 2 millions de barils par jour.Plusieurs ministres des pays membres de l’Opep se sont déjà prononcés sur une réduction substantielle.
D’autres facteurs contribuent aussi à freiner la chute des prix.La Russie devrait se joindre à l’Opep à partir du 17 décembre pour apporter sa contribution en réduisant sa production, selon une information rapportée par l’agence Interfax, qui cite le ministre russe de l’Energie, Serguei Chmatko.
Selon le ministre russe, qui a indiqué hier matin avoir eu une conversation téléphonique avec le président de l’Opep, Chakib Khelil, l’Organisation s’apprêterait à prendre une décision de réduction de la production très importante.Concernant l’apport de la Russie, le ministre de l’Energie a indiqué que son pays allait faire des propositions de réduction au plus tard le 17 décembre.La Russie souhaite aussi que d’autres pays producteurs de pétrole non membres de l’Opep se joignent à l’action de stabilisation du marché pétrolier.
Ainsi, devant la chute des prix, la Russie a finalement décidé de coopérer avec l’Opep pour éviter un effondrement des prix préjudiciable pour tout le monde, y compris pour les pays consommateurs. Même si la production russe est en train de décliner, l’apport d’un des plus grands producteurs de pétrole peut avoir un impact psychologique sur le marché. Selon plusieurs enquêtes de sociétés spécialisées, les pays de l’Opep auraient réduit leur production substantiellement durant le mois de novembre.
Les évaluations se situent entre 1 million et 1,2 million de barils par jour. Pour le surplus restant, il serait situé entre 500 et 900 000 barils par jour, selon la source.Toutefois, la réduction est bien enclenchée et il est rare, sinon impossible, que les pays de l’Opep puissent enlever du marché 1,5 million de barils par jour en un seul mois, vu la complexité de l’opération.
Selon les dernières informations en provenance de raffineurs asiatiques, plusieurs pays du Golfe, dont l’Arabie Saoudite, ont informé leurs clients des réductions de livraisons dès le mois de janvier en plus de celles de décembre. L’opération de réduction semble se poursuivre et lors de la réunion du 17 décembre, l’Opep pourrait annoncer avoir atteint en grande partie son objectif du 24 octobre dernier, sinon la décision qu’elle s’apprête à prendre pour mettre en pratique une deuxième importante réduction n’aurait pas de grand impact sur le marché.
Hier, vers 17h GMT, le light sweet crude à New York était à 43,17 dollars le baril. Tandis que le brent était à 41,46 dollars le baril.Les prix se sont maintenus hier au-dessus des 40 dollars le baril malgré la hausse des stocks pétroliers américains.
El Watan
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