Un nouvel organisme national chargé exclusivement de financement des investissements démarrera dans quelques semaines, selon le plan d’action du gouvernement présenté dimanche par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, devant l’Assemblée populaire nationale (APN).
Ce nouvel organisme financier, dont le dossier est en cours de finalisation par le gouvernement, sera un autre outil de financement permettant aux opérateurs d’accéder aux ressources financières pour financer les projets d’investissements importants.
Le plan d’action du gouvernement a cité le projet de création de cet organisme pour expliquer que les effets de la crise financière internationale ne seront pas une entrave aux gros projets d’investissements notamment ceux relevant du domaine de la pétrochimie, de l’électricité ainsi que des mines et dérivés qui nécessitent des crédits importants. A cet effet, le document note que «le pays offre la possibilité aux opérateurs de lever localement les crédits nécessaires, et que l’accès à ces financements sera facilité encore davantage par le démarrage dans quelques semaines d’un nouvel organisme national de financement de l’investissement, dossier que le gouvernement est en train de finaliser».
Abordant le secteur de l’énergie, le plan d’action souligne que ce secteur «poursuivra ses efforts massifs d’investissements qui, par delà l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures, ont désormais entamé le domaine de la pétrochimie». Le gouvernement accompagnera la réalisation, dans le pôle d’Arzew, des projets déjà conclus (unité de vapocraquage de l’éthane, unité de méthanol, et de trois unités de production d’ammoniac et d’urée), précise le plan d’action. Un autre soutien sera apporté par le gouvernement à six autres projets en cours de discussion, à savoir la réalisation d’unités respectivement de craquage de fuel, de naphta et d’acide téréphtalique et PET à Skikda, d’une unité de propane et polypropylène à Arzew, d’une unité d’ammoniac et dérivés à Béni-Saf ainsi qu’une raffinerie de brut à Tiaret.
En parallèle, le secteur poursuivra le développement de nouvelles capacités de production d’électricité, y compris à travers de nouvelles approches telles que la centrale hybride (solaire-gaz) de Hassi R’mel et la ferme éolienne de Tindouf, le renforcement des infrastructures énergétiques à l’image de la dorsale gazière Est-ouest dans les Hauts Plateaux et la promotion d’investissements destinés à la transformation des produits miniers.
Le Financier
Ce nouvel organisme financier, dont le dossier est en cours de finalisation par le gouvernement, sera un autre outil de financement permettant aux opérateurs d’accéder aux ressources financières pour financer les projets d’investissements importants.
Le plan d’action du gouvernement a cité le projet de création de cet organisme pour expliquer que les effets de la crise financière internationale ne seront pas une entrave aux gros projets d’investissements notamment ceux relevant du domaine de la pétrochimie, de l’électricité ainsi que des mines et dérivés qui nécessitent des crédits importants. A cet effet, le document note que «le pays offre la possibilité aux opérateurs de lever localement les crédits nécessaires, et que l’accès à ces financements sera facilité encore davantage par le démarrage dans quelques semaines d’un nouvel organisme national de financement de l’investissement, dossier que le gouvernement est en train de finaliser».
Abordant le secteur de l’énergie, le plan d’action souligne que ce secteur «poursuivra ses efforts massifs d’investissements qui, par delà l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures, ont désormais entamé le domaine de la pétrochimie». Le gouvernement accompagnera la réalisation, dans le pôle d’Arzew, des projets déjà conclus (unité de vapocraquage de l’éthane, unité de méthanol, et de trois unités de production d’ammoniac et d’urée), précise le plan d’action. Un autre soutien sera apporté par le gouvernement à six autres projets en cours de discussion, à savoir la réalisation d’unités respectivement de craquage de fuel, de naphta et d’acide téréphtalique et PET à Skikda, d’une unité de propane et polypropylène à Arzew, d’une unité d’ammoniac et dérivés à Béni-Saf ainsi qu’une raffinerie de brut à Tiaret.
En parallèle, le secteur poursuivra le développement de nouvelles capacités de production d’électricité, y compris à travers de nouvelles approches telles que la centrale hybride (solaire-gaz) de Hassi R’mel et la ferme éolienne de Tindouf, le renforcement des infrastructures énergétiques à l’image de la dorsale gazière Est-ouest dans les Hauts Plateaux et la promotion d’investissements destinés à la transformation des produits miniers.
Le Financier
