Sous d'autres cieux on parle de reserve petroliére. En Algérie l'equation est inversée en parle de stock de Blé.
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L’Algérie dispose actuellement d’un stock de blé pour couvrir les besoins de consommation durant 9 mois, avons-nous appris hier de sources généralement bien informées. Ce stock représenterait un peu plus de 60 % du besoin annuel du pays, ce qui constitue une marge de sécurité suffisante, surtout à l’approche de la période hivernale.
En effet, durant cette période, le marché mondial du blé enregistre une baisse de l’offre qui conduit inévitablement vers la hausse des cours. Cela a été le cas durant la saison 2003/2004, où la crise du blé avait été ressentie dans le monde entier, après que des intempéries eurent touché plusieurs pays d’Europe et d’Amérique, réputés gros producteurs de blé.
Le prix de la tonne de blé avait atteint, durant cette période, 220 dollars, alors qu’il ne dépassait pas, habituellement, 128 à 130 dollars. Mais malgré la hausse du prix du blé, qui a atteint alors 220 dollars la tonne, l’Algérie a réussi à faire face à la demande intérieure grâce aux stocks importants de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC).
Grâce à son expérience, l’OAIC a pu acquérir des stocks à moitié prix par rapport à la pratique du marché, ce qui a fait gagner à l’Algérie plusieurs millions de dollars.Actuellement, le prix du blé avoisine 160 dollars la tonne, mais l’Algérie l’achète toujours à 110 dollars, grâce aux contrats de partenariat conclus par l’OAIC.
Notons également que l’office impose à ses principaux fournisseurs un cahier des charges qui spécifie la nature et la qualité du blé recherché, condition sine qua non d’acceptation de la marchandise. Dans ce sens, des sociétés étrangères de contrôle de la qualité sont engagées par l’office pour veiller, avant l’embarquement du blé, au respect des normes et exigences par les fournisseurs.
Ces sociétés sont également chargées de la fumigation de la marchandise, procédé appliqué par l’office à l’arrivée du blé dans les ports algériens
Source jeune independant 14-10-2005
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L’Algérie dispose actuellement d’un stock de blé pour couvrir les besoins de consommation durant 9 mois, avons-nous appris hier de sources généralement bien informées. Ce stock représenterait un peu plus de 60 % du besoin annuel du pays, ce qui constitue une marge de sécurité suffisante, surtout à l’approche de la période hivernale.
En effet, durant cette période, le marché mondial du blé enregistre une baisse de l’offre qui conduit inévitablement vers la hausse des cours. Cela a été le cas durant la saison 2003/2004, où la crise du blé avait été ressentie dans le monde entier, après que des intempéries eurent touché plusieurs pays d’Europe et d’Amérique, réputés gros producteurs de blé.
Le prix de la tonne de blé avait atteint, durant cette période, 220 dollars, alors qu’il ne dépassait pas, habituellement, 128 à 130 dollars. Mais malgré la hausse du prix du blé, qui a atteint alors 220 dollars la tonne, l’Algérie a réussi à faire face à la demande intérieure grâce aux stocks importants de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC).
Grâce à son expérience, l’OAIC a pu acquérir des stocks à moitié prix par rapport à la pratique du marché, ce qui a fait gagner à l’Algérie plusieurs millions de dollars.Actuellement, le prix du blé avoisine 160 dollars la tonne, mais l’Algérie l’achète toujours à 110 dollars, grâce aux contrats de partenariat conclus par l’OAIC.
Notons également que l’office impose à ses principaux fournisseurs un cahier des charges qui spécifie la nature et la qualité du blé recherché, condition sine qua non d’acceptation de la marchandise. Dans ce sens, des sociétés étrangères de contrôle de la qualité sont engagées par l’office pour veiller, avant l’embarquement du blé, au respect des normes et exigences par les fournisseurs.
Ces sociétés sont également chargées de la fumigation de la marchandise, procédé appliqué par l’office à l’arrivée du blé dans les ports algériens
Source jeune independant 14-10-2005
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