Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Application de la nouvelle loi sur les hydrocarbures.

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Application de la nouvelle loi sur les hydrocarbures.

    Elle se fera avec L’installation des autorités de régulation (article 12 "la création de deux agences pour le contrôle et la régulation et une autre pour la valorisation des hydrocarbures dénommée «Alnaft»") en mois de Novembre.
    le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil prédit un maintien des prix à un niveau élevé pour le dernier trimestre 2005 et aussi toute l’année 2006. Ce qui permettra de dépasser les 40 milliards de dollars à la clôture de l’exercice 2005. Il a aussi indique les prévisions allant jusqu'en 2010, celle d’atteindre une exportation de brut à hauteur de 2 millions de barils par jour, ainsi que 85 milliards m3 de gaz. Par contre le ministre a fait remarque sa prudence een cas de l’éventualité d’un revirement du marché pétrolier à n’importe quel moment "cas de chute des prix à dix dollars le baril". «Un ralentissement de la croissance américaine, donc de la demande mondiale de brut, conduirait à l’enclenchement d’un processus inverse avec l’apparition d’un état psychologique sur les marchés dans le sens de la baisse».
    L’installation des deux autorités de régulation du secteur des hydrocarbures interviendra au courant du mois de novembre prochain. C’est ce qu’a indiqué, hier, le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, lors de son passage au forum d’El-Moudjahid.
    La nouvelle loi sur les hydrocarbures rédigée en 115 articles stipule, dans son article 12 la création de deux agences pour le contrôle et la régulation et une autre pour la valorisation des hydrocarbures dénommée «Alnaft». L’article souligne que le comité de direction des agences est composé d’un président et de cinq membres nommés par décret présidentiel sur proposition du ministre du secteur.
    Dans ce cadre, l’article 20 précise que «l’autorisation de prospection peut être accordée par l’Alnaft à toute personne demandant à exécuter des travaux de prospection des hydrocarbures».
    Ainsi, dès le prochain appel d’offre international, le 7e du genre, Sonatrach se retrouvera en salle pour défendre ses offres sur les blocs qui seront soumis à concurrence.
    Le 6e appel d’offres international, clôturé lors du premier semestre 2005, avait remporté un franc succès par l’octroi de neufs blocs sur les dix mis en compétition.

    32 milliards de dollars de recettes pétrolières à septembre 2005
    Les recettes pétrolières algériennes ont atteint 32 milliards de dollars à fin septembre 2005, a révélé Chakib Khelil.
    «Les recettes pétrolières ont atteint 32 milliards de dollars à septembre dernier», a annoncé le ministre qui n’exclut pas de dépasser les 40 milliards de dollars à la clôture de l’exercice 2005. Un chiffre d’affaires qui sera conditionné par le maintien des prix de brut sur les marchés internationaux au dessus des 50 dollars le baril.
    Un plancher difficilement réversible au vu de la tendance actuelle des prix qui se fixent au dessus des 60 dollars. Il faudra, de l’ensemble de ces recettes, déduire la quote-part revenant aux associés de Sonatrach, la compagnie nationale des hydrocarbures. Cette part se situe autour des 10%. C’est de cette part de Sonatrach que sera payée la fiscalité pétrolière ou ce qui revient à l’Etat du pétrole.
    La production primaire de l’énergie a atteint, donc, au titre du 1er trimestre 2005, 136,2 millions de TEP (tonnes équivalent pétrole). Quant aux exportations, elles ont été de l’ordre de 78,9 milliards de TEP.
    Dans son analyse de l’évolution future du marché pétrolier, Chakib Khelil prédit un maintien des prix à un niveau élevé pour le dernier trimestre 2005 et pratiquement toute l’année 2006.


    Loi de finances 2006 : des mesures pour encourager les carburants propres
    Pareillement à la loi de finances de 2005, celle actuellement en projet pour 2006, prévoit une batterie de mesures allant dans le sens de la promotion de l’usage des carburants propres. Ainsi, la taxe sur le gasoil sera revue à la hausse.
    Par ailleurs, dans une récente émission radiophonique, le ministre est revenu sur les raisons d’une loi de finances bâtie sur un baril à 19 dollars. La prudence s’expliquerait, en fait, par l’éventualité d’un revirement du marché pétrolier à n’importe quel moment. Chakib Khelil évoquera même un scénario de chute des prix à dix dollars le baril. «Un ralentissement de la croissance américaine, donc de la demande mondiale de brut, conduirait à l’enclenchement d’un processus inverse avec l’apparition d’un état psychologique sur les marchés dans le sens de la baisse», avait fait remarquer le ministre.
    Par ailleurs, le premier décideur politique du secteur énergétique a rappelé les perspectives de production et de commercialisation que projette l’Algérie d’atteindre à l’horizon 2010. Il s’agit d’atteindre une exportation de brut à hauteur de 2 millions de barils par jour, ainsi que 85 milliards m3 de gaz. La croissance annuelle du volume de la production se situe, selon le même responsable, à 5%.
    L’Algérie commercialise, aujourd’hui, 1,4 MBJ de pétrole brut, 800 000 autres de condensat et 62 milliards de m3 de
    gaz.http://www.lanouvellerepublique.com//actualite/lire.php?idc=4&ida=31470&key=1&cahed=1
Chargement...
X