up up dhakirou fa ina dikra tenfa3ou el moueminin
kalou jalousie du maroc fikou ya 3ibad ellah fikou vous n'avez rien qu'on pourrai vous jalouser que peut on jalousie le taux effarant d'analphabétisme;le devellopment humain catastrophique wela les usines de soutiens gorge et de petite cullote
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L'Algérie figure parmi les quatre premières économies émergentes en Afrique, selon un rapport de la Banque mondiale (BM), publié au Cap (Afrique du Sud) lors du Forum économique mondial sur l'Afrique. L'Algérie fait partie en effet du groupe SANE (South Africa, Algeria, Nigeria et Egypt), l'équivalent africain du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine), des quatre plus grands pays émergents.
Selon le rapport, élaboré conjointement avec la Banque africaine de développement (BAD), les pays du SANE sont prêts à résister le mieux à la crise économique internationale en raison des réformes financières engagées depuis les années 90. L'Afrique du Sud, l'Algérie, le Nigéria et l'Egypte attirent, d'après le même document, la moitié des investissements directs étrangers (IDE) dans le continent. Ils abritent également plus de 70 % des plus grandes entreprises africaines et abritent les 50 premières banques d'Afrique.
Le Programme d'évaluation du Système Financier algérien (FSAP) géré par le FMI et la Banque Mondiale a relevé, selon le rapport, que le système bancaire algérien ne constituait pas une menace à la stabilité macroéconomique. Mais l'Algérie doit poursuivre les réformes financières, selon le document.
L'accès limité aux services financiers demeure, d'après le rapport, un véritable obstacle pour les entreprises africaines. La BM et la BAD ont plaidé pour que les pays africain investissent dans la modernisation des infrastructures pour que le continent soit sur une trajectoire de croissance plus élevée.
Selon le rapport, élaboré conjointement avec la Banque africaine de développement (BAD), les pays du SANE sont prêts à résister le mieux à la crise économique internationale en raison des réformes financières engagées depuis les années 90. L'Afrique du Sud, l'Algérie, le Nigéria et l'Egypte attirent, d'après le même document, la moitié des investissements directs étrangers (IDE) dans le continent. Ils abritent également plus de 70 % des plus grandes entreprises africaines et abritent les 50 premières banques d'Afrique.
Le Programme d'évaluation du Système Financier algérien (FSAP) géré par le FMI et la Banque Mondiale a relevé, selon le rapport, que le système bancaire algérien ne constituait pas une menace à la stabilité macroéconomique. Mais l'Algérie doit poursuivre les réformes financières, selon le document.
L'accès limité aux services financiers demeure, d'après le rapport, un véritable obstacle pour les entreprises africaines. La BM et la BAD ont plaidé pour que les pays africain investissent dans la modernisation des infrastructures pour que le continent soit sur une trajectoire de croissance plus élevée.
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