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Le fonds d'investissement Mediterrania FCR, géré par le groupe financier espagnol Riva Y Garcia, entend renforcer sa présence en Algérie. Spécialisé dans les prises de participation dans des entreprises non cotés en Bourse pour les accompagner dans leur développement, ses investissements varient entre 1 et 5 millions d'euros par opération.
Selon Adel Si Boukaz, directeur général de Nomade Invest, une entreprise algérienne d'ingénierie financière qui accompagne Riva Y Garcia en Algérie, le fonds Mediterania cherche à engager plus de la moitié de ses capitaux, estimés à 62 millions d'euros, dans notre pays. « Nous accordons particulièrement de l'intérêt à la transformation agroalimentaire, à l'agriculture et au secteur de la santé », a-t-il déclaré, mercredi 17 juin, lors d'une rencontre à Alger avec des chefs d'entreprises.
En 2008, le fonds a pris une participation de 49 % dans une entreprise à Blida. « Nous sommes relativement satisfaits des résultats obtenus en cette courte période. La prise de participation a été suivie d'un apport en expertise qui a permis d'améliorer les capacités de l'entreprise de 30% », a ajouté M. Si Boukaz. Selon lui, les priorités du fonds sont de mieux cerner le capitalisme familial qui caractérise l'environnement économique algérien. Le but est de mieux l'intégrer afin de convaincre le maximum de PME à opter pour ce genre de financement aux fins développer les activités.
Dans les trois prochaines années, le fonds prévoit de réaliser une quinzaine de prise de participation dans des entreprises algériennes dans plusieurs domaines, à l'exception des secteurs des finances et de l'immobilier.
Soutenu par la Banque Européenne d'Investissements (BEI) et l'Institut Catalan de Finances (ICF), le Fonds Mediterrania est né dans le sillage de la relance du Processus euro-méditerranéen de Barcelone, devenu depuis 2008, Union pour la Méditerranée.
TSA
Selon Adel Si Boukaz, directeur général de Nomade Invest, une entreprise algérienne d'ingénierie financière qui accompagne Riva Y Garcia en Algérie, le fonds Mediterania cherche à engager plus de la moitié de ses capitaux, estimés à 62 millions d'euros, dans notre pays. « Nous accordons particulièrement de l'intérêt à la transformation agroalimentaire, à l'agriculture et au secteur de la santé », a-t-il déclaré, mercredi 17 juin, lors d'une rencontre à Alger avec des chefs d'entreprises.
En 2008, le fonds a pris une participation de 49 % dans une entreprise à Blida. « Nous sommes relativement satisfaits des résultats obtenus en cette courte période. La prise de participation a été suivie d'un apport en expertise qui a permis d'améliorer les capacités de l'entreprise de 30% », a ajouté M. Si Boukaz. Selon lui, les priorités du fonds sont de mieux cerner le capitalisme familial qui caractérise l'environnement économique algérien. Le but est de mieux l'intégrer afin de convaincre le maximum de PME à opter pour ce genre de financement aux fins développer les activités.
Dans les trois prochaines années, le fonds prévoit de réaliser une quinzaine de prise de participation dans des entreprises algériennes dans plusieurs domaines, à l'exception des secteurs des finances et de l'immobilier.
Soutenu par la Banque Européenne d'Investissements (BEI) et l'Institut Catalan de Finances (ICF), le Fonds Mediterrania est né dans le sillage de la relance du Processus euro-méditerranéen de Barcelone, devenu depuis 2008, Union pour la Méditerranée.
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