dougga dougga comme disait l'autre, il faut d'abord commener par la securite. Apres la proprete, Apres le service, Apres les investissements, et apres la promotion. Et non le contraire. C'est cela la formule gagnante. Espere que ca se fasse en 5 ans est de la pure utopie. Quand le gouvernement algerien aura assuré le premier point sur cette liste, on pourra discuter des points suivants...
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Investissements touristiques en Algerie
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Une vraie Pub sur le tourisme en Algérie
Envoyé par ayoub7Eh ben dites donc, a part le conditionel et les "on fera", qu'y a-t-il de "concret"?
Dernière modification par icosium, 18 août 2009, 17h06."Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)
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La difficulté avec le secteur du tourisme est que le facteur humain est très prépondérant
même avec les meilleurs hotels, s'il y a pas derrière et autour des compétances rien ne va
il faut
des capacité hotélières
des capacité aeriennes a prix raisonnable
des services annexes (restauration, animations, transport ...)
des compétances à tous les niveau (FORMATION)
une culture de l'acceuil mais surtout de SERVICE (c'est le plus difficile, même dans des pays a vielle tradition touristique egypte,tunisie, maroc cela fait encore défaut)
Tous cela ne peut se realiser avec des ajustement de TVA
L'Algérie doit se doter d'une volonté politique clairement exprimée et mettre derrière une stratégie COHERANTE sur 20 ans.
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''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
Napoléon III
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Envoyé par Hamoudzdougga dougga
c'est quoi ce mot! sur FA au moins essayer d'utiliser des mots compréhensible par les algeriens (par respect)"Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)
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parole, parole, parole. encore des mots toujours des mots les mêmes mots.(dalida)
L’Algérie se tourne vers le tourisme
le 17 / 05 / 2004
L’Algérie souhaite développer son tourisme, comme en témoigne l’organisation du 6è Salon international du tourisme et des voyages, à Alger, du 17 au 21 mai. Ahmed Bouchedjira, directeur de la conception et de la régulation des activités touristiques, explique comment le tourisme peut devenir un secteur économique à part entière pour son pays.
De notre envoyée spéciale
Le 6è Salon international du tourisme et des voyages Sitev 2004 ouvre ses portes, lundi, à Alger. Jusqu’au 21 mai, quelque 50 pays participants sont attendus, soit quatre à cinq fois plus que les autres années. Une cuvée exceptionnelle, à la mesure de la reprise du tourisme dans le pays. Le point sur le secteur avec Ahmed Bouchedjira, directeur de la conception et de la régulation des activités touristiques.
Qu’en est-il du secteur du tourisme, aujourd’hui, en Algérie ?
Ahmed Bouchedjira : Il y a une vraie volonté des pouvoirs publics d’en faire un secteur économique à part entière. C’est une nouvelle approche. L’Algérie ne veut plus se reposer uniquement sur le secteur pétrolier et souhaite relancer et développer le secteur touristique. En exploitant judicieusement le patrimoine et en standardisant l’activité touristique avec une mise à niveau et des normes internationales. Depuis quelques années, nous allons dans le sens d’un assouplissement des lois afin de créer un dispositif politique et législatif solide. Nous venons de mettre en place une stratégie de secteur avec des objectifs clairement établis qui sont de passer de 60 000 lits à 120 000 à l’horizon 2013. A cette date, nous projetons un flux de plus de 3 millions de touristes qui devrait générer 1,5 milliard de recettes. Nous avons établi 174 zones d’exploitation touristiques dont une vingtaine sont d’ores et déjà aménagées. Nous envisageons dans les prochaines années la création rapide de 20 000 lits supplémentaires. Ce qui permettra de créer plus de 35 000 emplois.
Quelles sont les zones touristiques les plus développées pour le moment ?
Ahmed Bouchedjira : Les oasis, le Sahara, notamment à Tamanrasset, Tipaza et Cherchell pour le tourisme culturel et d’autres régions comme celle d’Annaba où nous avons mis au point un circuit qui mène les visiteurs sur les pas de Saint-Augustin (illustre philosophe chrétien, ndlr).
Quels sont les chiffres du tourisme en 2003 ?
Ahmed Bouchedjira : Nous avons reçu 1 166 387 touristes, c’est à dire le même chiffre qu’en 1990 qui avait été une de nos années record. Cela veut dire que nous avons rattrapé ce que nous avons perdu dans les années 90, c’est un grand pas en matière de flux touristique. Ce qui a le plus attiré les touristes en 2003 reste le tourisme saharien, malgré l’affaire des otages. Nous avons accueilli entre 400 et 500 000 étrangers et entre 600 et 700 000 Algériens vivant à l’étranger.
Peut-on dire que l’Algérie est un pays sûr ?
Ahmed Bouchedjira : Notre pays a beaucoup changé. L’Algérie d’aujourd’hui n’a rien à voir avec celle d’hier, elle est très ouverte, et je peux vous assurer qu’il n’y a pas de problèmes de sécurité sur le territoire. La récente réélection d’Abdelaziz Bouteflika est un signe de continuité et de stabilité. Je dis à tous : venez voir par vous-même, déplacez-vous ! Le tourisme algérien a véritablement ouvert ses portes.
Qu’envisagez-vous pour attirer les investisseurs étrangers ?
Ahmed Bouchedjira : Les sociétés étrangères peuvent investir sans problème en Algérie. Nous nous sommes dotés d’une ordonnance sur l’investissement en 2001 qui prend en considération les investissements étrangers et permet aux sociétés de rapatrier les capitaux investis. Notre système financier et bancaire est également marqué par une grande ouverture dans le sens de la convertibilité du dinar. Il y a aussi des avantages énormes pour les investisseurs étrangers comme des dérogations, des facilités et des garanties.
Beaucoup de tour opérateurs européens regrettent la cherté des vols sur l’Algérie et le problème posé par l’obtention du visa.
Ahmed Bouchedjira : Nous avons pris en compte ces points précis. Un conseil national du tourisme, épaulé par un Comité national de facilitation doit prendre en charge toutes ces considérations.
La destination Algérie est méconnue à l’étranger. N’avez-vous pas un problème de communication pour faire connaître vos produits ?
Ahmed Bouchedjira : Nous reconnaissons notre faiblesse en matière de communication mais faisons tout pour que cela change. D’ailleurs, la tenue de ce sixième Sitev, avec une très grande participation des journalistes étrangers, est déjà une belle opération de communication !
Qu’en est-il de la formation ?
Ahmed Bouchedjira : La formation du personnel est un élément fondamental car c’est ce qui détermine le degré de professionnalisme du secteur. Et c’est la qualité des prestations qui fait la différence entre les pays. Nous possédons plusieurs écoles de formation. Certaines vont d’ailleurs participer au Salon en exposant leurs produits et en faisant des simulations de cuisine et de pâtisserie. Nous avons quatre écoles hôtelières : à l’hôtel Aurassi d’Alger, à Tizi Ouzou, à Sidi Bel Abès et à Tlemcen, spécialisée dans l’art culinaire algérien. Il est important de noter que le secteur privé est en train d’émerger en ce qui concerne la formation. De plus, nous avons mis en place un panel d’actions sectorielles pour assurer l’augmentation de la qualité des produits algériens afin qu’ils soient concurrentiels.
Vers quel genre de tourisme se tourne l’Algérie ?
Ahmed Bouchedjira : Nous souhaitons nous démarquer du tourisme de masse à la tunisienne et nous rapprocher du tourisme marocain, plus diversifié. Nous avons six à sept grandes gammes de tourisme à développer : saharien, culturel, balnéaire, religieux, ainsi que le tourisme de croisière, qui n’est encore qu’à l’état d’ébauche ou le tourisme thermal. Nous avons 220 sources thermales en Algérie à mettre en valeur, quelque cinquante stations thermales régionales et déjà huit stations de renommée internationale. Nous souhaitons développer le thermalisme, la balnéothérapie et nos thalassothérapies qui sont toutes remises à niveau comme celle, superbe, de Sidi Fredj, près d’Alger. Nous participerons d’ailleurs l’année prochaine au Salon de l’eau et du thermalisme qui aura lieu à Versailles, en France.
Olivia Marsaud
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ALGER - Les autorités algériennes ont dévoilé lundi une série de mesures en faveur du développement des activités touristiques, après plusieurs années de violences.
Vue de Dellys, une station balnéaire algérienne. Les autorités algériennes ont dévoilé une série de mesures en faveur du développement des activités touristiques dans l'espoir de relancer le secteur après plusieurs années de violences. (Reuters/Louafi Larbi)
Vue de Dellys, une station balnéaire algérienne. Les autorités algériennes ont dévoilé une série de mesures en faveur du développement des activités touristiques dans l'espoir de relancer le secteur après plusieurs années de violences. (Reuters/Louafi Larbi)
Les attentats islamistes, qui se sont raréfiés ces dernières années, continuent toutefois à tenir les touristes étrangers à distance.
"Nous sommes évidemment conscients que nous n'avons pas encore la classe internationale, mais nous sommes engagés dans le processus visant à faire petit à petit de l'Algérie une destination", a déclaré le ministre du Tourisme et de l'Environnement, Chérif Rahmani, annonçant abattements fiscaux, taux d'intérêts réduits et barrières douanières plus avantageuses pour les investisseurs du secteur lors d'une conférence.
"Nous allons nous placer en concurrence avec nos voisins en terme d'attractivité", a-t-il poursuivi évoquant la Tunisie et le Maroc, qui ont respectivement attiré sept et huit millions de visiteurs en 2008.
Selon les données officielles les plus récentes, qui portent sur 2006, 1,64 millions de touristes ont été recensés cette année-là en Algérie. Les étrangers ne représentent que 29% de ce total. Les autres sont des immigrés algériens venus rendre visite à leur famille.
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"Nous allons nous placer en concurrence avec nos voisins en terme d'attractivité",
Je suis sur que j'en ai oublié d'autres...
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ayoub7,
Le peu de touristes qu’on peut capter en Algérie sera de la concurrence à la Tunisie et au Maroc. Il faut du temps biensure pour que l’Algérie puisse s’affirmer comme destination touristique. J’ai l’impression que cette fois ci le train est bien en marche. Souhaites nous au moins bonne chance
change d'attitude pour soigner son image agressive"Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)
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a Si Ayoub7
ne soit pas très agressif
L'algérie a certe un retard important sur ce secteur cela personne ne le nie
mais le ton de tes posts rend difficile un échange critique mais constructif et amicale
L’Algérie se tourne vers le tourisme
le 17 / 05 / 2004
L’Algérie souhaite développer son tourisme, comme en témoigne l’organisation du 6è Salon international du tourisme et des voyages, à Alger, du 17 au 21 mai. Ahmed Bouchedjira, directeur de la conception et de la régulation des activités touristiques, explique comment le tourisme peut devenir un secteur économique à part entière pour son pays.
a le lire, il n'y a pas bcp de mesures concrètes chiffre dates échéances et bcp de généralités et de bonnes intentions
cela se resume à la gestion des affaires courantes plus qu'a une stratéégiee de développement.
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''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
Napoléon III
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Pour la question de concurrence
je dirais que le Maroc et l'Algérie patissent de l'image jadis mauvaise de la destination algérie
les touristes US canadiens et asiatique ne parlent que de l'afrique du nord
un attentat en algérie touche aussi l'image du Maroc et de la Tunisie et vice versa
Le jour ou l'algérie aura un positionnement positif dans le marché touristique mondiale les voisins ne pourrons qu'en profiter.
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''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
Napoléon III
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Pihman,
Il commence à y avoir des investissements touristiques privés intéressants en Algérie. Ce n'est qu'un début.
Complexe Touristique SABRI à Annaba :
http://www.hotelsabri.com
Chaine Eden à Oran (Eden Palace) :
http://www.chaineeden.comDernière modification par icosium, 18 août 2009, 20h32."Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)
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