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La politique monétaire en Islam

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  • #16
    Emploi des fonds par la banque islamique :

    Modaraba :
    C’est un instrument particulier d’association capital-travail, Ce procède s'apparente au terme de partenariat de nos jours par la participation de celui qui possède les capitaux et celui qui possède le savoir faire, le premier contribue avec les fonds nécessaires au projet et le second par son expérience dans le domaine. Ils investissent et s'accordent à partager les bénéfices selon des taux préalablement définit et non pas sur une somme d'argent faute de quoi cet accord s'entachera de pratique usuraire


    Dans ce cas, le client apporte son expertise et la banque apporte le financement nécessaire à la réalisation de l'opération. La gestion incombe uniquement au Modareb (le client qui utilise l'argent dans le travail). En cas de profit, le client est rémunéré par son travail et son expertise, alors que la banque est rémunérée par son apport en capital. En cas de perte, le client perd son travail s'il n'est pas prouvé que la perte est due à une négligence de gestion de sa part et la banque perd ses fonds. S'il y a eu négligence de gestion par le client, la perte est supportée par les deux parties.


    Musharaka :

    El musharaka se diffère d'el moudaraba du fait que la premier partenaire qui fournit son savoir-faire détient aussi un capital mais insuffisant au lancement de son projet ce qui l'obligerait à chercher un co-financier pour combler le manque en capital et les deux parties s'accorderont à partager les bénéfices comme d'ailleurs les pertes s’il y a lieu, selon des taux conclus et préalablement définis entre eux. La participation au capital n’est pas matérialisée par des titres, comme dans le cas de la modaraba
    la Moucharaka peut être de deux sortes

    a- Moucharaka définitive :
    Le partenaire qui a contribue avec ses fonds seulement perçoit périodiquement sa part des bénéfices jusqu'a la cessation du projet ou de l'activité.

    b- Moucharaka dégressive
    le prometteur qui a lance le projet avec son savoir-faire et ses fonds ainsi que la participation de son partenaire peut utilise une partie de ses bénéfices au remboursement du capital investit par ce dernier jusqu'au dernier règlement et l'opération se clôturera par la suite

    La mourabaha :

    La mourabaha est utilisé pour des financement à court terme . La banque achète les marchandises ou les matériaux à des fournisseurs sur ordre d’un client pour les revendre à ce dernier avec une marge de bénéfice fixée à l’avance qui tient compte des facteurs suivants :

    La rentabilité de la marchandise pour le client lus elle sera forte ,plus la marge prélevée par la banque sera importante

    Son degré de nécessité pour un consommateur moyen : ainsi, la marge sur le produit alimentaires de première nécessité sera plus faible que pour d’autres biens

    Sa provenance de la marchandise : locale ou importé (marge supérieure dans ce cas, liée à un degré de risque plus grand)

    Le délai de remboursement dépend du casch flow et peut aller de trois à dix huit mois. Le contrat contient des indications sur la marchandise, les délais et le lieu de livraison. Trois opérations sont simultanées : une promesse d’achat du client, une promesse de vente à la banque, un contrat de vente à bénéfices après l’entrée en jouissance de la marchandise par l’acheteur. La banque paye donc le fournisseur et se fait rembourser par le client.

    Quant aux critiques adressées à ce type de technique ,elles portent principalement sur le fait qu’il ne s’agit pas ,en fait ,d’un financement participatif,mais d’une « ruse » visant simplement à contourner l’interdiction du riba .

    Les responsable des banques islamiques ont données les arguments sont :

    La mourabaha comporte deux risques :un qui est lié à l’opération d’achat et qui est inhérent à tous les contrats d’achat de marchandises (détérioration ,mauvaise qualité retards dans les délais de livraison ) un autre lié à la vente au client, et qui résulterait éventuellement d’un défaut de paiement de celui-ci

    La banque entreprend toutes les études « marketing » préalable à l’achat .elle le fait avec expertise et en offrant des garanties des garantis qui font que les fournisseurs étrangers sont désireux de traiter avec elle

    Enfin, de ce fait, elle peut proposer après négociation des prix à son client plus intéressants que ceux qu’il obtiendrait par lui même.Par conséquent, la rémunération de la banque dans ce genre d’opération ne peut être assimilée à un taux d’intérêt déguisé, les deux éléments essentiels du financements « islamique étant ici : travail effectif et risque.

    Passi passi werrana dipassi!

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    • #17
      suite....

      L’ISTISNA’A
      L’ISTISNA’A est un contrat d’entreprise en vertu duquel une partie (MOUSTASNI’I) demande à une autre (SANI’I) de lui fabriquer ou construire un ouvrage moyennant une rémunération payable d’avance, de manière fractionnée ou à terme.
      Comparé aux pratiques commerciales de notre temps, l’ISTISNA’A s’identifie au contrat d’entreprise défini par l’article 549 du Code Civil Algérien comme suit : « Le contrat d’entreprise est le contrat par lequel l’une des parties s’oblige à exécuter un ouvrage ou à accomplir un travail moyennant une rémunération que l’autre partie s’engage à lui payer ».

      Il offre une solution de remplacement conforme aux préceptes de l’Islam à la technique des avances sur marché grâce au procédé du double ISTISNA’A

      Le principe de base est que la rémunération de la banque dans le cadre de ISTISNA’A se justifié par son intervention en qualité d’entrepreneur responsable de la réalisation des travaux afférents à la construction de l’ouvrage ‘objet du contrat, que cette intervention ait lieu directement ou par l’entremise de sous-traitants.

      La formule de l’ISTISNA’A, mise en pratique par une Banque Islamique peut revêtir l’aspect d’une opération triangulaire faisant intervenir aux côtés de la Banque, le Maître de l’ouvrage et l’Entrepreneur dans le cadre d’un double ISTISNA’A.


      Déroulement de l’opération :

      Les demandes de financement par ISTISNA’A peuvent se présenter sous l’une des formes suivantes :
      • financement de la réalisation d’un bien meuble ou immeuble à la demande du client (construction d’un local ou fabrication d’un équipement )
      • L’intervention de la banque peut revêtir l’une des deux formes suivantes :Banque SANI’I et Client MOUSTASNI’I :
      1. La banque charge un Entrepreneur ,choisi généralement par le client lui-même , de réaliser l’ouvrage demandé en vertu d’un deuxième contrat ISTISNA dans lequel la banque joue le rôle de Maître de l’ouvrage et l’Entrepreneur de SANI’I. Le paiement des prestations de l’entrepreneur se fait sur production de pièces justificatives .Il peut aussi revêtir la forme d’avances sur travaux d’acomptes à déduire des paiement ultérieurs. Le paiement des prestations de la Banque par le Maître de l’ouvrage peut revêtir la forme de provisionnement partiels et progressifs du compte ISTISNA’A. Il peut également se faire par des versements échelonnés à compter de la date de livraison du bien construit par la Banque sur une durée convenue contractuellement.
      2. Banque MOUSTASNI’I et Client SANI’I : La Banque, Maître et propriétaire de l’ouvrage charge le client de lui réaliser l’ouvrage objet du financement. Le client adresse à la Banque une facture pro forma ou un devis reprenant la consistance de l’ouvrage à réaliser et les éléments de décompte du prix à payer La Banque règle au client le montant de la facture en mettant à sa disposition le financement convenu à la signature du contrat, au fur et à mesure de l’avancement des travaux ou à la livraison de l’ouvrage .
      Salam

      Si la Moucharaka, la Moudharaba, le Leasing et la Mourabaha permettent à la Banque Islamique de répondre dans une large mesure aux besoins de sa clientèle en matière de financement des cycles de création, d’investissement et d’exploitation des entreprises, ces différentes techniques s’avèrent insuffisantes à elles seules pour couvrir la totalité de ces besoins.

      Il en est ainsi à titre d’exemple des besoins de financement du fond de roulement, de certaines charges d’exploitation telle que les salaires, les impôts et taxes, les droits de douanes...etc.
      Ces besoins nécessitant souvent un apport monétaire direct, exigent par conséquent un mode de financement plus approprié que la Mourabaha, celui-ci devant se traduire obligatoirement pour des raisons de conformité aux principes de la Charia, par l’achat de stocks et leur revente par la Banque elle-même. C’est pourquoi la banque a introduit un autre type de financement appelé Salam.
      Salam peut être défini comme un contrat de vente avec livraison différée de la marchandise.
      Il présente l’avantage de permettre à la Banque d’avancer directement des fonds à son client, en se positionnant en tant qu’acheteur vis à vis de lui et en lui concédant un délai pour la livraison des marchandises achetées.



      Modalité pratique de la transaction
      La Banque (acheteur) passe une commande à son client pour une quantité donnée de marchandises, d’une valeur correspondant à son besoin de financement.
      Le client (vendeur) adresse à la Banque une facture pro forma indiquant la nature, les quantités et le prix des marchandises commandées.
      Les deux parties, une fois d’accord sur les conditions de la transaction, signent un contrat de Salam reprenant les clauses convenues (nature des marchandises, quantités, prix, délais et modalités de livraison et/ou de vente pour le compte de la Banque etc.).
      Parallèlement, les deux parties signent un contrat de vente par procuration par lequel la Banque autorise le vendeur à livrer ou à vendre (selon le cas) les marchandises à une tierce personne. Le vendeur s’engage, sous sa pleine responsabilité à recouvrer et à verser le montant de la vente à la Banque.
      le Salam pourrait constituer une formule de remplacement à la pratique de l’escompte commercial. Les effets et/ou valeurs en possession du client seront prises à titre de garantie du financement Salam que la Banque pourrait lui consentir.


      voilà pour les différentes techniques utilisées par les banques "islamiques".
      Passi passi werrana dipassi!

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      • #18
        Merci Leconomiste,

        Je ne savais pas que le systeme economique islamique proposait un modele economique claire et pragmatique.

        J'ai une question si je peux te la poser en tant qu'expert Comment tu vois le modèle Islamique par rapport au modèle capitaliste?

        Sont-ils en complete contradiction? Se sont des modèles complementaires? ou bien incomparables?

        Car cette question me rappelle un article de Hakim Bey. H. Bey est plus connu pour ses TAZ (Temporary Autonomous Zone). Mais il aborde egalement dans un autre article comment les principes d'une econmie base sur l'Islam peut contredire le modèle capitaliste; et comment cela est percu comme une nouvelle menace sur 'our [occident] way of life' comme la communisme l'a ete.

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        • #19
          @GAbdelkader

          je suis loin d'être "spécialiste"...et puis on ne peut l'être! on a toujours quelque chose à apprendre des autres. S'il y a une personne à remercier c'est bein: Stanislas qui a eu l'idée brillante de traiter ce sujet.

          à mon avis, la différence entre les deux conceptions, réside principalement dans le principe de partage des profits et pertes et le rôle de l'Etat.
          Aux premiers temps de l’islam, la forme de financement couramment appliquée consistait à associer le prêteur et l’emprunteur ; un marchand aisé finançait une opération menée par un entrepreneur, et partageait à égalité profits et pertes. Cette forme de finance associative - qui inspirera le système de commandite en droit français - relève d’une logique similaire à celle du capital-risque popularisé par la
          « nouvelle économie ».


          Le principe du partage des profits et pertesreprésente la seule alternative au taux d’intérêt prédéterminé. Ce principe s’appuie sur deux éléments essentiels : le travail et le risque, et non pas le travail et le capital, comme c’est le cas dans le système financier capitaliste .Le principe implique une certitude de partage (les pourcentages répartis entre la banque et ses clients étant déterminés par les termes du contrat) dans l’incertitude des résultats (profits et pertes)

          C’est autour de ce principe que s’organise la finance islamique .la notion de partage des profits et pertes, y est à la base de la rémunération du préteur. Ce dernier reçoit une part ,définie à l’avance ,des revenus engendrés par l’opération qu’a permis son prêt .Le montant n’est donc pas connu à l’avance et ,en cas d’échec ,le prêteur ne reçoit pas de rémunération .Il s’agit en d’autre termes d’opération de capital -risque . Celles -ci ont de multiples avantages : resserrer les liens entre le prêteur et l’emprunteur, impliquer plus fortement le premier au contenu du projet du second et à la qualité de sa gestion, moduler l’effort financier de l’emprunteur en fonction de ses flux de revenus, par essence variables contrairement à un intérêt fixe.

          Développer à l’exemple de la finance islamique, le capital-risque, permettrait sans doute une meilleure répartition des financements dans de nombreux cas, comme par exemple, certains débats l’ont montré, le cas des règlements de dettes de pays de l’Est européen (la charge du règlement de la dette est répartie entre les agents productif, en fonction de leurs résultats).

          pour le rôle de l'Etat, Stanislas nous a illustré atout au début les principales source de financement. Cependant, de nombreuses obligations financières de l'Etat indiquent l'importance des ressources de l'Etat islamique et de leur diversité. Cette importance et cette diversité sont liées au rôle important que la législation islamique a conféré à l'Etat dans plusieurs domaines. Ce rôle a requis de grandes dépenses pour le concrétiser. Le but sublime que l'Islam cherche à atteindre à travers ces dépenses est la réalisation de la justice distributive en particulier et de la justice sociale de façon générale. Pour cela, la politique financière de l'Etat a cherché à influencer la production et à influencer la distribution à travers une politique de dépense réaliste.
          En effet, l'Etat ne limite pas son rôle seulement à l'accomplissement des responsabilités traditionnelles comme l'établissement de la justice, la vigilance sur la sécurité intérieure et la préparation de la protection contre les attaques extérieures comme c'était le cas dans les pays occidentaux jusqu'au début du vingtième siècle. Au contraire, sa responsabilité va au delà de toutes ces charges pour englober de nouvelles charges, car il accomplit plusieurs fonctions économiques directes et indirectes, de même que les dépenses sociales, éducatives et sanitaires et la sécurité sociale.

          L'idéologie de la Finance Islamique est noble, mais à mon avis elle reste difficile à appliquer...d'ailleurs plusieurs pays ont tenté l'exprérience, mais ça été couronné d'échec. Toutefois, cela ne remet pas en cause cette idéologie, mais peut être que c'est dû à la nature humaine de vouloir toujours plus, de gagner plus que les autres..cette espèce de volonté d'être plus individualiste que collectiviste. ( ce qui explique également à mon avis l'echec de l'idéologie socialiste).
          cordialement.


          Passi passi werrana dipassi!

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          • #20
            Leconomiste

            Un grand merci pour tous ces points trés complet.
            Néanmoins, il est difficile de répondre sur tout ça à la fois. Je résume par ce qui suit :
            Justification économique :
            " Une théorie présente l’intérêt comme une récompense à l’épargne ou encore à la non consommation. Les savants musulmans pensent qu’une récompense ne serait acceptable que si cette épargne débouche, par le placement qui en est fait, sur la création de richesses.
            Cette réponse des savants, ne répond absolument pas, comme d'ahabitude. Si le tx d'interet est une récompense à l'investisseur, il n'y qu'à assortir les contrats de conditions, pour que l'argent aille à l'investissement réel. Et il deviendra cela, ce n'est absolument pas ses conditions qui remettent en cause cette définiition.
            Entre un système incitatif, tel que l'interet qui sert dans ce cas envisagé, tel un moteur de l'investissment, et donc au plein emploi, ou un système coercitif, tel la Zakat, qui "défiscalise", ou libère de l'impot, toute personne n'ayant pas gardé en dépot un capital non investi (car c'est la notion de Hawl, et Niçab), le rôle est le même.
            Il faut pousser à l'investissement, avec cette particularité, que le taux d'interet n'est pas que cela.

            "- Une autre théorie présente l’intérêt comme ce que rapporte le capital productif. Selon les savants musulmans, il faut distinguer charge d’utilisation de la monnaie (véritable définition de l’intérêt) et produit du capital productif."
            En fait je ne suis pas d'accor non plus, que ce soit la charge ou le produit, li'dée c'est que l'interet est par définition,comme vous l'avez mentionné un %.
            Et que ce soit la charge ou le bénéfice, comment passe -ton du montant au %?

            En fait selon mon avis, la différence réside, dans le fait que l'interet est un indicateur, et une référence, et c'est bien là que les savants musulmans peinent à donner une réponse.
            Encore une fois merci pour toutes ces infos.
            "L'éternité c'est long surtout vers la fin" W.Allen

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            • #21
              les intérêts bancaires

              ceux-ci étant haram, savez-vous si on peut les donner à la famille très proche?
              Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

              Dionysios Solomos

              Commentaire


              • #22
                Ya pas longtemp je parler justement des interets, et justement je demander si on peux donner à sa famille par exemple du bled, qui sont pas pauvre el hamdouliLlah, mais celà pourrai les aider..
                Et bien il c'est avére que non..

                Parce que enfin de compte tu donne ton argent qui est illicite a ta famille, donc c'est comme si tu te les redonner à toi meme!

                les interet tu sais que c'est haram, et Allah a maudit ceux ki les font, ceux ki sont temoins et ceux ki les accepte, l'objectif c de se debarassé de cet argent haram.
                On ne peux donc pas l'investir dans la construction des mosquées
                j'ai espoir qu'on peut les donné a des pauvre mais faut savoir que ça n'a pas la valeur d'une sadaqa, et ça ne s'appele pas une sadaqa..

                Allahu a'lem..
                InchaAllah, j'avais une conversation sans preuve concréte, mais je tacherais d'en trouver.

                Mais à premiére vu, mieux vaut les donner a quelquns qui est vraiment dans le besoin.
                Au plaisir..
                Je ne suis pas une balance gratuite, je suis simplement une balance facilement corruptible.
                J'attends vos propositions ...

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                • #23
                  Salam,

                  Je suis très surpris par ce post! Si je comprends bien, épargner son argent ayant un taux d'interêt et interdit?

                  Je ne comprends pas le but de cette interdiction. Il faudrait avoir que des comptes courant si c'est le cas (et encore aujourd'hui, ces comptes deviennent rémunérés). Eclairez moi svp...

                  Amicalement à vous!

                  Commentaire


                  • #24
                    @amrima

                    Salam
                    tu sais si tu donen ect argent a un pauvre ça ne seras pas une "sadaka"
                    car au yeux de l'islam cette argent est illicite
                    des oulama ont dis que cette argent doit etre dépenssé dans des truc public(canalisations...ect)
                    le RIBA est quelque chose de trés grave en islam c'est beacoup plus grave que le zina; dans hadith que je connais pas par coeur le prophéte SWS a dis un dirham de RIBA et aussi grave que commetre 100 fois le zina
                    des verssete sur le riba y'en a pas male
                    l'ideal c'est de mettre sans argent la ou y'a pas d'interet wa allahou a3lem
                    et que dieu nous guide vers se qu'il y'a du mieux pour nous

                    Commentaire


                    • #25
                      Salam


                      dans le coran Dieu a fait la difference entre la vente et AR RIBA ( l'argent des interets )

                      c'est illicite d'accepter cet argent mais il y a des économistes musulmans qui voient le contraire disant qu'il y a une difference




                      http://www.algerie-dz.com/forums/showthread.php?t=14027

                      Commentaire


                      • #26
                        des oulama ont dis que cette argent doit etre dépenssé dans des truc public(canalisations...ect)
                        alors dans ce cas la , tu peux garder cette argent et payer les impots avec , parceque automatiquement ça revient a l'intéret public ,non ?.....
                        enfin c'est une suggestion .
                        j'avoue que je savais pas que c'est haram cette argent .
                        Dernière modification par Space, 07 janvier 2006, 16h23.
                        "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

                        Commentaire


                        • #27
                          moi c'est ce qu'on m'a toujours dit et aussi je savais que le donner n'était pas compté comme un bonne action vu que c'est de l'argent illicite...jusqu'à présent je m'en suis toujours débarrassée en le donnant à un oncle profondément dans le besoin..mais j'ai un doute et j'ai rien trouvé de concluant...il y a beaucoup de contradictions...y en a même qui disent que c'est pas haram les intérets bancaire et qu'ils sont à différencier de la conception d'usure (ribba)...je suis perdue!
                          Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

                          Dionysios Solomos

                          Commentaire


                          • #28
                            @amarrima

                            chere dame
                            je suis toute a afait d'accord avec toi sur un point
                            on peut trés faccielemtn se retrouvé perdu ...........; :22:
                            mais comme le prophéte SWS a dis "le licite et claire l'illcite et claire et se qu'il y'a entre les deux et douteux"
                            et il a dis aussi "laisse se qui te met en doute a se qui te mais a l'aise"
                            c'est vrai qu'il y'as des oulama qui disent que tu peut prendre c'est interet mais la plus part disent que non et que c'est du RIBA et que tu ne peut même pas mettre ton argent dans une banque qui traite avec le du RIBA
                            et dans le coran c'est claire prendre le RIBA c'est trés trés trés ........ trés grave comme péché
                            essaye de pensé a la qst et analyse et aprés tu vas vers la solution qui te met le plus a l'aise et la ou il y'a ton confort
                            en tout les cas moi c'est comme ça que je prend les choses
                            personnelement je met pas mon argent dans les banques pour évité tout soupçon;je préfére les PTT avec tout les emmerdes qu'il y a :22:j'èvite au max tout se qui est en relation avec le RIBA car j'ai fini par comprendre a quel point c'est grave et je tien a préciser que se n'etai pas tjr le cas
                            avant j'avait un compte d'epargne a la CNEP et je prené les intéréts et tout
                            rabi yaghferli inchalah :22:


                            et que dieu nous guide vers se qui est bien

                            Commentaire


                            • #29
                              @malika

                              salam
                              pour la proposition que tu a faite je sais pas trop allahou a3lem
                              personnellement je n'est pas le savoir qu'il faut avoir pour dir qu'on ne peut où qu'on en peut pas faire faut poser la question a quele'un qui a se savoir
                              et aussi je n'ai pas le savoir qu'il faut pour faire auncune proposition
                              tout se que je peut faire c'est de transmétre se que dont je suis sure et que j'ai lus de source sure ou entendu de source sure

                              Commentaire


                              • #30
                                non en fait là où je suis perdue c'est pour savoir si je peux le donnerà ma famille ou pas...
                                Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

                                Dionysios Solomos

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