Bonjour, le Cheikh lance un nouveau concept qui risque de mettre à la remise les boutiques de luxe, comme quoi le pétrole peut donner des idées.
On le surnomme le « cheikh du chic ». A 34 ans, Majed al-Sabah, le neveu de l'émir du Koweït, s'est taillé une réputation de prince de la mode au Moyen-Orient en fondant Villa Moda en avril 2002. Un magasin de 9 000 mètres carrés réunissant les plus grands noms de la mode et du design.
En décembre dernier, un nouveau temple des vanités a ouvert ses portes à Dubaï dans un décor de science-fiction.
Des sacs Gucci aux créations de Stella McCartney ou du styliste Yohji Yamamoto, plus de 90 griffes, des plus connues au plus pointues, y sont représentées. Ateliers privés, fêtes, restaurants, bar à jus de fruits et à Botox, ce produit injectable qui vous déride en un clin d'oeil, à Villa Moda, tout est fait pour occuper une clientèle riche et oisive. Une simple carte à puce mémorise tous les achats, et les paquets attendent la cliente à la sortie. Majed al-Sabah n'entend pas s'arrêter aux portes du désert. Après un Villa Moda au Qatar, programmé pour cette année.
Il compte exporter son concept en Inde et, murmure-t-on, jusque sur les berges de la Tamise.
http://www.lexpansion.com/art/6.0.112109.0.html
http://www.architectureweek.com/cgi-...32_image_3.jpg
On le surnomme le « cheikh du chic ». A 34 ans, Majed al-Sabah, le neveu de l'émir du Koweït, s'est taillé une réputation de prince de la mode au Moyen-Orient en fondant Villa Moda en avril 2002. Un magasin de 9 000 mètres carrés réunissant les plus grands noms de la mode et du design.
En décembre dernier, un nouveau temple des vanités a ouvert ses portes à Dubaï dans un décor de science-fiction.
Des sacs Gucci aux créations de Stella McCartney ou du styliste Yohji Yamamoto, plus de 90 griffes, des plus connues au plus pointues, y sont représentées. Ateliers privés, fêtes, restaurants, bar à jus de fruits et à Botox, ce produit injectable qui vous déride en un clin d'oeil, à Villa Moda, tout est fait pour occuper une clientèle riche et oisive. Une simple carte à puce mémorise tous les achats, et les paquets attendent la cliente à la sortie. Majed al-Sabah n'entend pas s'arrêter aux portes du désert. Après un Villa Moda au Qatar, programmé pour cette année.
Il compte exporter son concept en Inde et, murmure-t-on, jusque sur les berges de la Tamise.
http://www.lexpansion.com/art/6.0.112109.0.html
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