La centrale hybride solaire-gaz de Hassi R’Mel sera opérationnelle avant la fin 2010. L’annonce a été faite, jeudi matin à la chaîne 3 de la radio nationale par Salim Kahal, directeur adjoint du Centre du développement de l’énergie renouvelable. Cette centrale, qui aura une capacité de production d’énergie électrique de 160 mégawatts, a coûté 350 millions d’euros.
Il a qualifié de futuriste le projet Desertec, initié par les Allemands et soutenu par le groupe algérien Cévital. “Le lancement de ce projet se fera en 2025. Toutes les études scientifiques démontrent que l’Algérie, de part son potentiel solaire et sa situation géographique, peut couvrir tous les besoins de l’Europe. Il faut se mettre à table et négocier”, a-t-il dit. Selon lui, les pays européens nucléaires, à l’image de la France, sont les plus frileux par rapport à l’initiative Desertec. “Ils tergiversent car ils veulent amortir leur investissement en énergie nucléaire”, a-t-il expliqué.
D’après lui, le fond national des énergies renouvelables, crée par la loi de finances complémentaire 2009, est un véritable acquis. “Ce fonds va être alimenté par 0,5 % des taxes pétrolières. Il va combler le manque de financement pour le développement des énergies renouvelables. C’est un premier pas car d’autres sources plus conséquentes vont irriguer ce fonds”, a-t-il dit suggérant un financement à 0,5 % du prix du baril de pétrole. L’Algérie doit, selon lui, rattraper un immense retard en matière d’énergies renouvelables. Il a rappelé le lancement d’un projet de ferme éolienne à Adrar de 10 mégawatts et a annoncé le début d’une étude pour la construction une petite centrale solaire à tours à Blida.
tsa
Il a qualifié de futuriste le projet Desertec, initié par les Allemands et soutenu par le groupe algérien Cévital. “Le lancement de ce projet se fera en 2025. Toutes les études scientifiques démontrent que l’Algérie, de part son potentiel solaire et sa situation géographique, peut couvrir tous les besoins de l’Europe. Il faut se mettre à table et négocier”, a-t-il dit. Selon lui, les pays européens nucléaires, à l’image de la France, sont les plus frileux par rapport à l’initiative Desertec. “Ils tergiversent car ils veulent amortir leur investissement en énergie nucléaire”, a-t-il expliqué.
D’après lui, le fond national des énergies renouvelables, crée par la loi de finances complémentaire 2009, est un véritable acquis. “Ce fonds va être alimenté par 0,5 % des taxes pétrolières. Il va combler le manque de financement pour le développement des énergies renouvelables. C’est un premier pas car d’autres sources plus conséquentes vont irriguer ce fonds”, a-t-il dit suggérant un financement à 0,5 % du prix du baril de pétrole. L’Algérie doit, selon lui, rattraper un immense retard en matière d’énergies renouvelables. Il a rappelé le lancement d’un projet de ferme éolienne à Adrar de 10 mégawatts et a annoncé le début d’une étude pour la construction une petite centrale solaire à tours à Blida.
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