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Le FMI relève ses prévisions de croissance pour l’Algérie en 2010

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  • #16
    salamine

    Et pour ta gouverne sache que L ALGÉRIE dans les années a venir vendra plus de gaz que de pétrole ,et q elle engrangera de plus en plus de dividende et de bénefs ,tu sera plus de se monde que L ALGÉRIE se gavera encore .
    permet moi de te rectifier...au lieu de """l'algérie""", tu devrais mettre """généraux"""..................c'est plus juste, puisque le simple citoyen ne reçoit que les miettes........

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    • #17
      La croissance se calcule en volume.
      deflatté = croissance-t% d'inflation!!

      gallek la croissance c'est en volume, de quoi?? de valeur ajouté??
      leternel debat entre ovistes et animalculistes

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      • #18
        deflatté = croissance-t% d'inflation!!

        gallek la croissance c'est en volume, de quoi?? de valeur ajouté??
        Stp arrete.
        En volume veux dire en prix constants, pas en pommes et oranges.
        Tu as vu ''volume'' ton esprit a pensé m3.

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        • #19
          ça sert à koi de deflater la croissance d'une économie caractérisée par un tx de chomage à 2 chiffre

          dans une économie en développement c'est la croissance à prix constant qui importe le plus, la priorité dans ce cas de figure est plutot de diminuer le tx de chaomage ke de booster la consommation (croissance par l'investissement). dans une économie développée où la croissance permet en premier lieu d'accroitre les salaires vu que le tx chomage n'est pas important, la priorité devient la consommation (la croissance par la conommation) et là on peut parler d'inflation et de déflation...
          Dernière modification par absent, 23 avril 2010, 01h28.

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          • #20
            Washington envisage un déclin de la production de pétrole mondiale à partir de 2011
            Le département de l’énergie américain reconnaît qu’“il existe une chance pour que nous fassions l’expérience d’un déclin” de la production mondiale de carburants liquides entre 2011 et 2015 “si les investissements font défaut”, selon un entretien exclusif avec Glen Sweetnam, principal expert officiel du marché pétrolier au sein de l’administration Obama.
            Cette alerte sur les capacités mondiales de production pétrolière lancée depuis Washington intervient au moment où la demande mondiale de pétrole repart à la hausse, et tandis que de nombreux projets d’extraction ont été gelés à cause la chute des cours du brut et de la crise financière.
            Glen Sweetnam, qui dirige la division internationale, économique et des gaz à effet de serre au sein de l’administration de l’information sur l’énergie du DoE, ne dit pas que les investissements nécessaires feront “défaut”. Toutefois, la réponse au problème de savoir où, quand et dans quelles quantités des sources supplémentaires de pétrole pourront être mises en exploitation demeure largement “non identifiée” aux yeux du plus proéminent analyste officiel en matière d’énergie au sein de l’administration Obama.

            Le Département de l’énergie américain (DoE) rejette la théorie du “peak oil”, d’après laquelle la production mondiale de brut devrait décroître de façon irréversible dans un avenir proche, faute de réserves suffisantes encore exploitables. L’administration Obama de l’énergie défend l’hypothèse alternative dite du “plateau ondulant”. Lauren Mayne, en charge de la prospective sur les carburants liquides au sein du DoE, explique : “Une fois que la production mondiale maximale de pétrole sera atteinte, celle-ci sera ensuite à peu près maintenue pendant plusieurs années, créant un plateau ondulant. Après cette période de plateau, la production déclinera.”
            Glen Sweetnam, responsable du rapport international annuel du DoE, convient que ce qu’il identifie comme un possible déclin de la production de carburants liquides entre 2011 et 2015 pourrait constituer le premier stade d’un “plateau ondulant” qui débutera “une fois que la production mondiale maximale de pétrole sera atteinte”.

            M. Auzanneau – A partir de 2011 et jusqu’en 2015, reconnaissez-vous que si les investissements nécessaires ne sont pas mis en oeuvre, il existe une chance pour que nous fassions l’expérience du premier stade du “plateau ondulant” que vous décrivez ?

            GLEN SWEETNAM – Je suis d’accord, si les investissements font défaut, il existe une chance pour que nous fassions l’expérience d’un déclin. Si tel est le cas, je suppose que l’investissement dans de nouvelles capacités de production augmenterait, si la demande de pétrole est toujours là.

            Glen Sweetnam reconnaît l’éventualité d’une chute proche et non-anticipée de la production mondiale de pétrole et des autres carburants liquides dans un entretien par courriel, au terme de plusieurs échanges consécutifs à une demande de clarification au sujet d’une table-ronde d’économistes du pétrole que M. Sweetnam a tenue le 7 avril 2009 à Washington.
            La table-ronde d’avril 2009, intitulée “Répondre à la demande croissante de (carburants) liquides” était semi-publique. Elle est pourtant restée inaperçue, et injustement, car elle met en avant des pronostics bien plus pessimistes qu’aucune analyse publiée jusqu’ici par le DoE.
            A la page 8 du document de présentation de la table-ronde, un graphique montre que le DoE s’attend à un déclin de la production de la somme de toutes les sources connues de carburants liquides à partir de 2011.
            Le graphique qualifie de “projets non identifiés” l’ensemble des projets de production supplémentaires nécessaires afin de combler dès 2011 l’écart croissant entre une demande de plus en plus forte et une production connue sensée décroître à partir de cette année-là, d’après le DoE. Cette décroissance concerne la production déjà existante ainsi que les projets nouveaux qui doivent être mis en route avant 2012.
            L’administration de l’information sur l’énergie du DoE prédit que le déclin des sources identifiées de production sera régulier et fort : - 2 % par an, de 87 millions de barils par jour (Mb/j) en 2011 à seulement 80 Mb/j en 2015. A cette date, la demande mondiale de pétrole et des autres carburants liquides aura grimpé à 90 Mb/j, d’après le document de présentation de la table-ronde.
            Les projets “non identifiés” de production de carburants liquides auraient donc à combler un écart de 10 Mb/j entre offre et demande en moins de 5 ans. 10 millions de barils par jour, c’est presque l’équivalent des extractions de l’Arabie Saoudite, premier producteur mondial avec 10,8 Mb/j.
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #21
              La demande mondiale de pétrole, après avoir traversé un trou d’air en 2009, devrait reprendre son l’essor en 2010, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui conseille les pays riches de l’OCDE. Evaluée à 86,5 millions de barils par jour, elle est revenue à un niveau légèrement supérieur à celui de 2008, lorsque la crise financière a débuté. La totalité de la croissance de la demande provient désormais des pays extérieurs à l’OCDE. Dans les pays en développement, cette croissance devrait se poursuivre à un rythme soutenu au cours des prochaines années, estime l’AIE.
              D’après la présentation et la transcription de la table-ronde d’avril 2009 du DoE, de nombreuses régions pétrolifères devraient voir leurs extractions diminuer avant 2015.
              La production de pétrole conventionnel hors pays de l’Opep (soit plus de la moitié de la production mondiale de brut aujourd’hui) serait d’ores et déjà en déclin, passant de 46,9 Mb/j en 2008 à 44,8 Mb/j en 2011, selon le graphique à la page 8 du document de présentation de la table-ronde.
              La production totale de carburants liquides hors pays de l’Opep est sable depuis 2008, souligne l’AIE à Paris. Mais l’AIE ne fournit pas de chiffres concernant les seules extractions de pétrole conventionnel. En 2005, l’économiste en chef de l’AIE, Fatih Birol, prédisait dans Le Monde que la production de pétrole hors Opep décroîtra “juste après 2010″.
              Le DoE suppose que d’ici à 2015, parmi les 15 principaux pays producteurs de pétrole, seuls 6 seront capables d’augmenter significativement leurs productions, d’après le graphique à la page 9 du document de présentation de la table-ronde.
              __________________
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill


              7 des 15 plus gros producteurs mondiaux auront à faire face à des réductions substantielles de leurs extractions sur la période allant de 2007 à 2015, selon le DoE : la Russie (- 0,15 Mb/j), la Chine (- 0,2), l’Iran (- 0,4), le Mexique (- 0,9), les Emirats Arabes Unis (- 0,3), le Venezuela (- 0,25) et la Norvège (- 0,7).
              Les extractions de l’Irak et du Koweit ne devraient connaître qu’une faible augmentation.
              Le département de l’énergie américain considère que la plus forte hausse de la production devra venir des Etats-Unis : une poussée de + 1,8 Mb/j en huit ans (de 2007 à 2015), équivalente à plus du quart de la production américaine actuelle. Depuis le début des années 70, la production de brut des Etats-Unis s’effrite de façon régulière.


              Le “décollage de la production d’éthanol” devrait permettre d’assurer l’augmentation énorme de la production américaine de carburants liquides attendue par le DoE, a affirmé Glen Sweetnam lors de la table-ronde d’avril 2009, selon la transcription de celle-ci.

              Ce décollage de la production d’éthanol, initié durant l’ère Bush, pourrait même représenter un volume supérieur à la hausse de 1,8 Mb/j attendue par le DoE, puisque les extractions américaines de brut décroissent depuis quatre décennies, et parce qu’aucune nouvelle réserve de taille importante n’est prête à être mise en exploitation en Alaska ou ailleurs aux Etats-Unis.
              Le quart des récoltes américaines de céréales est déjà destiné à la distillation d’agrocarburants tels que l’éthanol, d’après une analyse de chiffres de 2009 du département de l’agriculture américain publiée par le Earth Policy Institute, un groupe de chercheurs écologistes basé à Washington.

              De nouveaux projets “non identifiés” seront-ils capables de compenser le déclin des sources existantes de production, afin de combler en moins de 5 ans, d’ici à 2015, l’écart de 10 Mb/j annoncé par le DoE entre demande et offre identifiée ?

              Il faut au moins 7 ans pour lancer un nouveau projet d’extraction pétrolière, reconnaît le DoE.
              Glen Sweetnam a déclaré lors de la conférence d’avril 2009 que les récentes découvertes de pétrole ultra-profond au large du Brésil constituaient “en quelque sorte le seul point positif (…) en attendant que nous allions dans l’Arctique”.

              Le secrétaire général de l’Opep, Abdalla Salem El-Badri, a fait savoir en février 2009 que sur les 135 nouveaux projets pétroliers annoncés pour les prochaines années, les membres de l’Opep en ont gelés 35 jusqu’en 2013, parce que “les prix actuels menacent la pérennité même des investissements prévus”.

              Malgré d’importants profits, les 5 premières compagnies pétrolières internationales consacraient à peine 6 % de leurs ressources à la prospection en 2007, contre 34 % au rachat de leurs propres actions, selon une étude de l’université Rice citée par le New York Times. En 1994, ces mêmes compagnies investissaient 15 % de leurs ressources dans la prospection. De nombreux experts soulignent que ce changement de stratégie a été forcé par un manque d’accès à de nouvelles réserves de brut, et ceci bien que le monde réclame toujours plus de pétrole.

              Les perspectives que le département de l’énergie américain met désormais en avant sont bien plus pessimistes que celles publiées jusqu’ici. En 2004, sous l’administration Bush, le DoE délivrait une étude selon laquelle la production pétrolière mondiale pourrait continuer à s’accroître au moins jusqu’en 2037.
              En 2008, Glen Sweetnam publiait un scénario de référence à long terme d’après lequel le “plateau ondulant” ne devait être atteint qu’en 2030 et serait maintenu jusqu’en 2090, avant que la production pétrolière mondiale n’amorce son déclin terminal.
              Mais l’étude de 2008 de M. Sweetnam proposait également un scénario “plus défavorable” dans lequel le plateau ondulant intervient au cours de la présente décennie.

              Glen Sweetnam, qui supervise à Washington la rédaction du prochain rapport annuel de l’administration de l’information sur l’énergie, paraît aujourd’hui juger que son scénario “plus défavorable” est peut-être le bon, lorsqu’au cours de notre entretien, il envisage la possibilité d’un déclin de la production de carburants liquides à partir de 2011.

              Une telle incertitude de la part de Washington est sans précédent. Le DoE figure d’habitude parmi les sources les plus optimistes lorsqu’il est question de l’épuisement des réserves mondiales de pétrole.

              L’inquiétude que révèle M. Sweetnam fait suite à une longue série d’alertes pointant un danger imminent du côté offre du marché pétrolier mondial. Ces alertes ont été rendues publiques au cours des dernières années par un grand nombre de sources, notamment le Wall Street Journal, le Houston Chronicle (quotidien de la capitale mondiale du négoce de brut), le PDG de la compagnie brésilienne Petrobras, un ex-n°2 de la compagnie pétrolière nationale saoudienne Aramco, un expert anonyme de l’Agence internationale de l’énergie, l’économiste en chef de l’AIE lui-même, une Industry Taskforce on Peak Oil & Energy Security britannique (au sein de laquelle figure la compagnie aérienne Virgin), ou encore le prospecteur légendaire devenu magnat des énergies renouvelables T. Boone Pickens.
              Matthieu Auzanneau
              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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              • #22
                bof
                que ca deflat ou flotflot
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #23
                  Solas...les schistes bitumineux, une alternative au pétrole

                  L'administration américaine pour l'information sur l'énergie (United States Energy Information Administration) estime les réserves mondiales de schiste bitumineux à 2 800 à 3 100 milliards de barils de pétrole (450 à 520×109 m3) potentiellement exploitables, dont 1 000 à 1 200 milliards de barils aux Etats-Unis.
                  Gaz : les nouvelles techniques aux USA bouleversent le marché mondial
                  11.03.2010 HOUSTON (Etats-Unis) - Révolution sur le marché du gaz: les nouvelles techniques d'extraction dans les roches souterraines dopent la production des Etats-Unis, dont les réserves sont désormais estimées à plus de 100 ans, et bouleversent les équilibres mondiaux.
                  Selon une étude publiée mercredi par le cabinet IHS Cera, ces techniques dites "non-conventionnelles", ignorées de l'industrie il y a cinq ans, ont permis de plus que doubler l'estimation de ressource disponible en Amérique du Nord, à 85.000 milliards de m3.
                  "C'est la plus grande innovation en terme d'énergie depuis l'an 2000", a estimé Daniel Yergin, président d'IHS Cera, lors de la conférence CeraWeek à Houston (sud des Etats-Unis).
                  "On a vu le gaz naturel passer d'une situation d'offre limitée, à une situation d'abondance. Cela modifie la nature de la concurrence dans l'énergie, cela modifie le débat", a-t-il ajouté.
                  Les techniques d'extraction des gaz contenus dans les schistes ont connu un développement spectaculaire ces dernières années, ramenant les compagnies vers des régions où l'on croyait les ressources épuisées, comme dans l'Etat de New York (est). Elles consistent à casser la roche en y injectant sous haute pression un liquide contenant des produits chimiques qui libèrent le gaz et le font remonter à la surface, puis à forer à l'horizontale pour suivre les couches de la roche.
                  Alors qu'ils ne représentaient que 1% de la production américaine en 2000, les gaz de schiste atteignent aujourd'hui 20% de la production et pourraient dépasser 50% d'ici 2030, selon l'étude d'IHS Cera.
                  A l'échelle mondiale, cette évolution fulgurante du marché américain a eu un effet spectaculaire: les Etats-Unis ont ravi en 2009 à la Russie la place de premier producteur mondial de gaz.
                  Le géant russe Gazprom s'est récemment inquiété de cette "révolution", qui "peut modifier fondamentalement le marché du gaz".
                  Avec un excès de production aux Etats-Unis, l'offre mondiale de gaz naturel liquéfié (GNL) s'est redirigée vers l'Europe, faisant concurrence à l'offre russe, dont certains pays voudraient être moins dépendants vu les conflits à répétition entre Moscou et l'Ukraine sur l'acheminement des hydrocarbures.
                  Jean-François Cirelli, vice-président du groupe français GDF Suez, qui achemine du GNL aux Etats-Unis, a noté mercredi à Houston qu'il ne voyait "pas l'intérêt de construire des nouveaux terminaux de GNL" en Amérique du Nord.
                  Selon des chiffres cités par Philippe Boisseau, président des activités gaz et énergie du groupe français Total, autre gros fournisseur de GNL, le gaz "non-conventionnel" pourrait représenter 5 à 7% de la production mondiale en 2030.
                  "Cela veut dire que c'est important, c'est un sujet qui suscite beaucoup d'intérêt", a-t-il estimé. "Cela va être bienvenu si on du mal à produire suffisamment de GNL pour répondre à la demande, mais cela ne va pas changer notre vision à long terme de l'équilibre offre et demande, qui à notre avis va rester tendu".
                  Le pétrolier français a créé au début de l'année une co-entreprise avec l'Américain Chesapeake Energy Corporation dans les gaz de schiste. Il s'empare ainsi, pour 800 millions de dollars, de 25% du portefeuille de l'américain dans les "Barnett Shales" (les schistes de Barnett), au Texas.
                  Autre grande manoeuvre dans le secteur, le géant américain ExxonMobil a déboursé fin 2009 la somme colossale de 41 milliards de dollars pour racheter XTO Energy, spécialisé dans les ressources "non conventionnelles".
                  "La révolution du gaz naturel non conventionnel a réduit les perspectives de prix du gaz naturel, et l'a rendu plus compétitif, tout en encourageant des attentes plus élevées en terme de sécurité de l'offre: c'est un changement spectaculaire par rapport à ce qu'on voyait il y a tout juste cinq ans", souligne l'IHS Cera.
                  Le cabinet estime que l'abondance du gaz aux Etats-Unis soutiendra la consommation, notamment celle des centrales électriques qui pourrait doubler d'ici 2035.


                  http://www.fedre.org/content/gaz-les...marche-mondial




                  BP chief hails American breakthrough in gas supplies from shale rocks

                  BP's Tony Hayward tells World Economic Forum of 'game changer' technique to serve world's energy needs Thursday 28 January 2010 15.01 GMT



                  Tony Hayward, chief executive of BP at a session at the World Economic Forum in Davos wher he spoke of gas extraction from shale. Photograph: Arnd Wiegmann/Reuters

                  A controversial method of extracting gas from shale rocks and coal seams pioneered in the US has been described by the head of BP as a "complete game changer" that would transform the future of energy in that country over the next 100 years.

                  http://www.guardian.co.uk/business/2...as-shale-rocks
                  Dernière modification par Rif1979, 23 avril 2010, 12h10.

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                  • #24
                    Entre 96 et 2005 le Maroc a connu une décennie de sécheresse, et pourtant le pays a bien progréssé, on a même changé de roi sans aucun problème te réalisés des réformes et de bonnes performances économiques.

                    Je me demande si le pétrole stagne à 40$ pendant 10ans où en sera l'Algérie.

                    En 1996 on a fait une croissance négative de -12%, une contreperformance remarquable, mais c'était une année où il n'a quasiment pas plût du tout.

                    En 2007, années de sécheresse terrible, le pays réalise 3% de croissance.

                    Donc certes il y'a une dépendance à l'eau, mais on en sort progressivement.

                    Dans 10 ans secheresse ou pas on fera 5% de croissance.
                    En Algérie dans 10 ans ce sera pareille, Pétrole en hausse 5%, pétrole en baisse 1%. exportations 99% hydrocarbures, effets sur le peuple O, smic 15000 DA, DA=0,01 $...




                    Sans pétrole

                    A global construction report compiled by Oxford Economics found that, over the next 20 years, Morocco's economy will experience one of the highest levels of growth in the MENA region.
                    source: Oxford Economics

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                    • #25
                      http://www.eia.doe.gov/conference/20...3/Sweetnam.pdf
                      rif 79
                      bonne lecture
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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