ALGER - Le français Suez Environnement, à qui avait été confié en 2006 pour six ans la gestion des eaux d'Alger, souhaite reconduire son contrat, a déclaré jeudi son directeur général-adjoint en charge de l'international Thierry Mallet.
"Oui, on veut rester (à Alger). Et si on nous demande de rester, on va rester", a dit M. Mallet à l'AFP en réponse à une question sur des informations de presse faisant état de l'intention des autorités algériennes de mettre un terme au partenariat avec Suez Environnement.
L'Algérienne des eaux (ADE) et l'Office algérien de l'assainissement (ONA) avaient confié en mars 2006 cette gestion au français pour près de 120 millions d'euros.
Une société par actions de droit algérien, la SEAAL (société des eaux et de l'assianissement des eaux d'Alger) avait été alors créée pour réaliser les travaux.
"Notre collaboration avec le ministère algérien des Ressources en eau n'a jamais connu de problèmes. Le principal objectif (du contrat) d'assurer l'approvisionnement en eau 24 heures sur 24 de la capitale a été atteint", a affirmé M. Mallet, en marge de l'inauguration d'une station d'épuration des eaux à l'ouest d'Alger.
La rénovation des réseaux d'eau potable et d'assainissement a nécessité depuis 2006 un investissement de quelque 170 millions d'euros, a précisé le directeur général de la SEAAL, Jean-Marc Jahn.
Suez Environnement avait également remporté en février 2009 deux autres contrats d'un montant total de 133 millions d'euros.
Le premier concerne la reconstruction et le doublement de la capacité de la station d'épuration de Baraki (banlieue sud-est d'Alger) pour 108 millions d'euros.
La station traitera à terme les eaux usées de 1,8 million d'habitants de la caitale et l'extension de l'usine est entièrement financée par la Wilaya d'Alger.
Le deuxième contrat porte sur des installations qui permettront d'alimenter deux régions des hauts plateaux en eau potable et en eau d'irrigation, pour 25 millions d'euros.
(©AFP / 27 mai 2010 18h14)
"Oui, on veut rester (à Alger). Et si on nous demande de rester, on va rester", a dit M. Mallet à l'AFP en réponse à une question sur des informations de presse faisant état de l'intention des autorités algériennes de mettre un terme au partenariat avec Suez Environnement.
L'Algérienne des eaux (ADE) et l'Office algérien de l'assainissement (ONA) avaient confié en mars 2006 cette gestion au français pour près de 120 millions d'euros.
Une société par actions de droit algérien, la SEAAL (société des eaux et de l'assianissement des eaux d'Alger) avait été alors créée pour réaliser les travaux.
"Notre collaboration avec le ministère algérien des Ressources en eau n'a jamais connu de problèmes. Le principal objectif (du contrat) d'assurer l'approvisionnement en eau 24 heures sur 24 de la capitale a été atteint", a affirmé M. Mallet, en marge de l'inauguration d'une station d'épuration des eaux à l'ouest d'Alger.
La rénovation des réseaux d'eau potable et d'assainissement a nécessité depuis 2006 un investissement de quelque 170 millions d'euros, a précisé le directeur général de la SEAAL, Jean-Marc Jahn.
Suez Environnement avait également remporté en février 2009 deux autres contrats d'un montant total de 133 millions d'euros.
Le premier concerne la reconstruction et le doublement de la capacité de la station d'épuration de Baraki (banlieue sud-est d'Alger) pour 108 millions d'euros.
La station traitera à terme les eaux usées de 1,8 million d'habitants de la caitale et l'extension de l'usine est entièrement financée par la Wilaya d'Alger.
Le deuxième contrat porte sur des installations qui permettront d'alimenter deux régions des hauts plateaux en eau potable et en eau d'irrigation, pour 25 millions d'euros.
(©AFP / 27 mai 2010 18h14)
Commentaire