Tunisie : La ligne maghrébine de grande vitesse en débat à Tunis
Samedi 29 Mai 2010
Dans le cadre du 3éme Salon International des Services et de la Logistique du Transport , une conférence maghrébine ayant pour thème « le rail vecteur d’intégration maghrébine » , a eu lieu hier à Tunis.
Des représentants de sociétés de chemins de fer des cinq pays maghrébins en l'occurrence l'Algérie, la Libye, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie ont pris part à cette conférence. Ils ont débattu des questions relatives au rôle du transport ferroviaire dans l’intégration maghrébine, des perspectives de développement de la grande vitesse dans les pays maghrébins et de sujets se rapportant à la logistique de transport et au corridor Euro – Maghrébin de fret.
Présidant l'ouverture de la rencontre, M. Abderrahim Zouari, ministre du Transport, a appelé à unifier les choix techniques relatifs aux projets maghrébins de chemins de fer et de train de grande vitesse.
Il a également recommandé la création d'un organisme maghrébin chargé de l'échange d'informations et de partage d'expertises en la matière rappelant que le cahier de charges relatif à l'étude du projet de train maghrébin de grande vitesse a été adopté. Le financement, a-t-il dit, demeure le principal défi à relever dans ce domaine.
Selon des interventions présentées au cours de cette conférence sur la partie tunisienne de la ligne maghrébine de grande vitesse, cette partie doit s'étendre sur 780 km.
Les coûts de réalisations sont estimés, selon Fayçel Klibi, directeur général de l'exploitation à la société nationale de chemins de fer de Tunisie (SNCFT), à 8 milliards de dinars.
Quant à l'étude de certaines parties de cette ligne notamment le point de raccordement avec la partie algérienne objets de plusieurs scénarios, elle est en cours.
Walid BA
Samedi 29 Mai 2010
Dans le cadre du 3éme Salon International des Services et de la Logistique du Transport , une conférence maghrébine ayant pour thème « le rail vecteur d’intégration maghrébine » , a eu lieu hier à Tunis.
Des représentants de sociétés de chemins de fer des cinq pays maghrébins en l'occurrence l'Algérie, la Libye, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie ont pris part à cette conférence. Ils ont débattu des questions relatives au rôle du transport ferroviaire dans l’intégration maghrébine, des perspectives de développement de la grande vitesse dans les pays maghrébins et de sujets se rapportant à la logistique de transport et au corridor Euro – Maghrébin de fret.
Présidant l'ouverture de la rencontre, M. Abderrahim Zouari, ministre du Transport, a appelé à unifier les choix techniques relatifs aux projets maghrébins de chemins de fer et de train de grande vitesse.
Il a également recommandé la création d'un organisme maghrébin chargé de l'échange d'informations et de partage d'expertises en la matière rappelant que le cahier de charges relatif à l'étude du projet de train maghrébin de grande vitesse a été adopté. Le financement, a-t-il dit, demeure le principal défi à relever dans ce domaine.
Selon des interventions présentées au cours de cette conférence sur la partie tunisienne de la ligne maghrébine de grande vitesse, cette partie doit s'étendre sur 780 km.
Les coûts de réalisations sont estimés, selon Fayçel Klibi, directeur général de l'exploitation à la société nationale de chemins de fer de Tunisie (SNCFT), à 8 milliards de dinars.
Quant à l'étude de certaines parties de cette ligne notamment le point de raccordement avec la partie algérienne objets de plusieurs scénarios, elle est en cours.
Walid BA
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