Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Maroc L'Etat en manque d'argent : casse-tête pour Mezouar

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    "et qui n'ont rien investi pour creer une economie multipolaire a plusieurs locomotives."/Ayoub

    excate, comme les fruits/légumes, l hotelerie/tourisme et l artisanat et les call center , galik multipolaire à plusieurs locomtives waw

    Commentaire


    • #17
      Maroc L'Etat en manque d'argent : casse-tête pour Mezouar
      Je n'ai eu cesse de le pointer !
      • Lorsque j'avais évoqué le déficit de la balance commerciale. Déficit non seulement structurel mais l'écart entre les recettes d'exportation et les dépenses d'importation ne faisaient que se creuser.

      • Lorsque j'ai évoqué le déficit (attendu et prévisible) de la balance de paiement.

      • Lorsque j'ai évoqué la 'fonte" des avoirs extérieurs avec un recul de plus de 1.1 milliards de dollars rien que sur les trois premiers mois de 2010.

      • Lorsque j'ai évoqué le mansue de liquidités des banques marocaines


      Maintenant on y est !!!

      Commentaire


      • #18
        "et qui n'ont rien investi pour creer une economie multipolaire a plusieurs locomotives."/Ayoub

        excate, comme les fruits/légumes, l hotelerie/tourisme et l artisanat et les call center , galik multipolaire à plusieurs locomtives waw
        Nan ca, ce sont les secteurs traditionnels du Maroc, par multipolaire, je parlais de ca + tout le reste, je ne vais pas tous te les enumerer, mais il y en a au moins un que tu devrais connaitre tres bien : le secteur de la construction automobile..

        Les amis, le Maroc est a l'image d'une entreprise en developpement. Comme toute entreprise en croissance, elle peut contracter des credits pour se developper et etre serrée ou meme deficitaire, la n'est pas le point. Le point est pourquoi le Maroc s'endette-t-il et est-ce que cet argent finance des projets qui permettront de rembourser les emprunts. A mon avis, la reponse est clairement oui. le Maroc est en train de batir des projets structurants qui construiront l'economie de demain.

        Commentaire


        • #19
          Jolie conclusion
          et ben Dieu ne nous pas gratifié du pompage
          le tourisme et autres c'est le travail de l'homme qu'il fallait

          Commentaire


          • #20
            Rapport Economique et Financier du Ministère pour l'année budgétaire 2010 : http://www.finances.gov.ma/depf/publ...ef_2010_fr.pdf

            On lit notament vers la fin:


            4.4.3. Déficit et besoin de financement

            Le déficit budgétaire résultant des évolutions prévisibles des recettes et des dépenses pour l’exercice 2010 serait de 4% du PIB, dû essentiellement à l’augmentation des dépenses d’investissement. L’ensemble de ces évolutions se traduirait par la stabilisation du taux d’endettement direct du Trésor autour de 48% du PIB en 2010.

            Conclusion
            La préparation du projet de la Loi de Finances 2010 intervient dans un contexte caractérisé par un environnement international marqué par une période d’instabilité financière sans précédent. En outre, malgré le redressement des indicateurs avancés composites, des incertitudes continuent à se manifester quant à une reprise réelle de l’activité et de l’emploi en 2010.

            Les pays qui disposent d’un espace budgétaire relativement soutenable ont réussi à appuyer la demande. La crise a mis en évidence l’importance de disposer de pareilles marges pour financer des mesures contra-cycliques en cas de ralentissement économique. Pour la plupart, les pays ont procédé à cette stimulation budgétaire à partir de l’année 2009 à travers la mise en oeuvre des plans de relance de grande envergure. Il en a résulté un retour vers le financement de l’économie par des déficits publics parfois inégalés.

            Pour le cas propre du Maroc, la politique fiscale volontariste menée par les pouvoirs publics depuis le début de cette décennie a permis une amélioration des recettes fiscales mettant nos finances publiques en position de supporter les effets de la crise. Cette amélioration a non seulement favorisé la réduction du taux d’endettement et insufflé un nouvel élan à l’investissement public mais elle a aussi permis d’assurer le financement nécessaire des réformes économiques et financières engagées par notre pays au cours des dernières années.

            Partie IV. Finances publiques

            De nombreux facteurs contribuent à atténuer les effets de la crise sur l’économie nationale. Les plus importants d’entre eux sont d’une part les mesures prévues pour soutenir l’activité dans son ensemble et de l’autre la situation initiale des finances publiques marocaines qui laissait entrevoir des marges de manoeuvre relativement confortables et de nature à permettre aux pouvoirs publics de prendre des mesures de relance de l’économie nationale. Parmi ces mesures, il y a lieu de citer la relance prévisible de la consommation des ménages par le biais de la baisse de l’impôt sur le revenu, la poursuite de la concrétisation des programmes d’investissement initiés par le Gouvernement et le maintien de l’élan des réformes notamment celles tendant à réduire les déficits sociaux du pays et à améliorer sa compétitivité.

            L’orientation actuelle des finances publiques est à la faveur d’une croissance positive relativement supérieure à celle attendue par nos principaux partenaires. La contribution de l’Etat à cet élan de croissance passe par l’effort consenti pour baisser la pression fiscale et par l’engagement à soutenir l’activité par le biais des dépenses tant au niveau de la consommation qu’au niveau de l’investissement. Cette politique, si elle autorisait un supplément de croissance non négligeable, elle pourrait néanmoins donner lieu à un creusement relatif du déficit budgétaire. Le financement de ce déficit ne poserait cependant pas de problème particulier, en raison notamment de la situation soutenable des finances publiques marocaines et de la qualité de la signature du Maroc auprès des bailleurs de fonds.

            Toutefois, la question de la soutenabilité de la balance des paiements s’impose comme étant une préoccupation majeure qui exige la conjugaison des efforts pour l’identification des mesures à même de garantir la préservation d’un niveau confortable de réserves de change qui devient un élément déterminant dans la définition des priorités stratégiques notamment pour ce qui concerne la nature et la qualité de l’offre exportable et de manière générale au niveau de la compétitivité nationale.
            Dernière modification par ayoub7, 10 juin 2010, 00h00.

            Commentaire


            • #21
              le tourisme et autres c'est le travail de l'homme qu'il fallait
              ouarf...

              le jour ou pour vos phosphates, et vos peches vous aurez lequivalent de la sonatrach pour le gaz algerien....

              les poules auront des dents (de grand requin blanc !)


              dici la...il faut boucler le budget :

              FMI

              www.imf.org
              700 19th Street Northwest
              Washington, DC 20431-0002, United States
              (202) 623-7104
              peut etre que strauss-khan lachera la monnaie a moins de 10 pour cent dinterets.....

              mais vous ne pourrez pas eviter le plan dajustement strucurel

              a moins quil ne vous envoie chez les grecs !!!

              Commentaire


              • #22
                ouarf...

                le jour ou pour vos phosphates, et vos peches vous aurez lequivalent de la sonatrach pour le gaz algerien....

                les poules auront des dents (de grand requin blanc !)
                Le jour ou la Sonatrach et votre petrole ira autre part qu'en Suisse, les poules auront des mollaires

                Au moins, au Maroc, l'argnet du phosphate, du tourisme, des peches, de l'offshoring, de l'industrie, etc... cree de l'emploi et permet de diversifier l'economie et permet a l'etat d'investir ans des projets porteurs structurels.

                peut etre que strauss-khan lachera la monnaie a moins de 10 pour cent dinterets.....
                Il a interet, il est né et a étudié au Maroc

                mais vous ne pourrez pas eviter le plan dajustement strucurel
                hihi, avec 5% de croissance, on ne risque pas mon ami.

                a moins quil ne vous envoie chez les grecs !!!
                on n'a pas la chance de faire partie d'un bloc solidaire comme l'UE. Dieu ne nous a pas gaté coté géographie malheureusement. Le premier pays qui nous entoure prend au marocain 2% de son PIB annuel. Mais en parlant de Dieu, il lui fait payer ca pleinement avec un Boutef a sa tete. Tiens un autre marocain...

                Commentaire


                • #23
                  Le financement de ce déficit ne poserait cependant pas de problème particulier, en raison notamment de la situation soutenable des finances publiques marocaines et de la qualité de la signature du Maroc auprès des bailleurs de fonds.
                  enfin !!

                  on finit par admettre le recours au FMI

                  ils preteront....mais en echange : plan dajustement structurel


                  ca va faire mal

                  Commentaire


                  • #24
                    enfin !!
                    on finit par admettre le recours au FMI
                    ils preteront....mais en echange : plan dajustement structurel
                    ca va faire mal
                    Euuuh, si l'Algerie avec ses milliards en caisse a recours au financement europeen, pourquoi le Maroc n'y aurait pas droit? comme tous les autres pays du monde. il n'y a qu'en Algerie ou l'on pense qu'avoir recours a un "credit" est humiliant... J'ai jamais compris cet autre complexe.

                    Pour le plan d'ajustement structurel, le Maroc est DEJA passé par la, lorsque la sitiuation etait beaucoup plus difficile avec des croissances negatives. Et devines quoi, ce sont ces plans d'ajustement structurel qui ont poussé le pays a reformer, a assainir et a gerer intelligement ses ressources. le Maroc aujour'dhui, est tres loin d'un PAS, si son economie etait tributaire de la montee ou la descente du petrole, je dirais qu'il y a un risque... Mais comme on a bien lu dans le rapport du ministere, le Maroc s'endette pour financer son developpement et non pas pour des "surcouts" de projets qui ne verront jamais le jour.

                    Pour l'histoire du PAS, malgré les plans d'ajustement structurels imposés a l'Algerie,MEME AVEC un plan d'ajustement structurel sous tutelle ET du FMI ET des insititutions de Bretton Woods ET de la Banque Mondiale... Alger n'a pas su diversifier son economie et adopter des methodes de gestions saines. La seule chose qui la sauve d'un PAS aujourd'hui, c'est le petrole, sinon ce serait le Zimbabwe (je m'excuse aupres du zimbabze pour la comparaison). Car peut etre que tu ne le sais pas mais:


                    http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89c...27Alg%C3%A9rie

                    Crise d’endettement, intervention des institutions de Bretton Woods et début de la libéralisation [modifier]

                    En 1988 les premiers contacts de l’Algérie avec la Banque mondiale (BIRD) ont été entrepris. L’Algérie avait préféré alors négocier avec la banque mondiale un financement destiné à l’ajustement structurel devant toucher l’ensemble des secteurs économiques. En ce moment, et selon la Banque d’Algérie, les recettes des exportations avaient encore chuté en 1988 de 12% par rapport à 1987 après avoir déjà reculé de 35% entre 1985 et 1986 passant de 13,08 M$ à 8,06M$. Les importations qui étaient pour une grande partie incompressibles ont été ramenés de 8,8 M$ en 1985 à hauteur de 7,88 M$ en 1986. Au moment où les exportations et les importations ont baissé, le montant de la dette arrivée à échéance passe de 4,93 M$ en 1985 à 4,95 M$ en 1986, portant ainsi le ratio : service de la dette / exportation de 35% à 54,3%, contre 27,6% en 1979 ; 29,63% en 1982 et environ 33 à 35 % entre 1982 et 1984.

                    En fin de l’année 1988 ce ratio a fait une montée dramatique à 78,2% des recettes des exportations. Dans une telle situation, il n’était pas surprenant d‘arriver à un niveau de déficit de la balance des comptes courants de plus de 2,09 M$ soit l’équivalent de 30% des importations. Les prévisions pour l’année 1989 ne prêtaient pas non plus à l’optimum. L’instabilité du marché pétrolier mondial duquel dépendait fortement l’économie nationale était telle qu’était difficile de voir clairement l’avenir. C’est ainsi que le gouvernement a été contraint de relancer les discussions de Bretton Woods.

                    La possibilité d’élargir les négociations au FMI, sans aller toutefois jusqu’à solliciter un programme de stabilisation tel que connu et conçu par cette institution, n’étant pas écartée. Ce qui a été fait par la suite puisqu’un premier accord Stand Bay été signé entre l’Algérie et le FMI le 31 mai 1989. Cet accord a été accompagné d’une Facilité de financement compensatoire (FFC) pour un montant de 560 m $. Un second accord similaire a été signé en juin 1991 pour un financement de 400 m$. La consommation de ce crédit n’était pas totale, car la quatrième tranche a été bloquée par le créancier en raison de non respect par l’Algérie, de certaines closes en relation avec le critère de performance. Un troisième accord Stand Bay a été signé en mai 1993.
                    Plus de lecture ludique pour savoir ce qu'est censé achever un PAS et pour comprendre que ca n'a rien avoir avec un gouvernement qui essaie de boucler son budget (ce qui arrive a tous les gouvernements du monde..)

                    http://www.revues-plurielles.org/_up...pdf/9_21_8.pdf
                    Dernière modification par ayoub7, 10 juin 2010, 00h46.

                    Commentaire


                    • #25
                      il n y a pas de honte a avoir recours au FMI, bien sur que non

                      mais les conditionnalités sont sans pitié....le maroc le sait, lalgerie na pas oublié

                      si les grecs se voient imposer un plan dajustement structurel impitoyable...alors quils sont dnas la zone euro

                      jimagine quelle sera la couleur de ce meme plan pour le maroc...


                      ca va faire mal, tres mal...


                      et personne de serieux ne sen rejouis, crois moi sur parole

                      on a deja gouté la potion, elle est tres amere

                      Commentaire


                      • #26
                        il n y a pas de honte a avoir recours au FMI, bien sur que non

                        mais les conditionnalités sont sans pitié....le maroc le sait, lalgerie na pas oublié
                        Et le Maroc et l'Algerie le savent tres bien, c'est pour cela qu'il faut travailler a creer des economies diversifiees et perennes a partir de reformes STRUCTURELLES, meme si ces dernieres necessitent de creuser le deficit pour investir dans le futur. Le bleme se pose quand un pays consomme sans creer aucun systeme de "backup" au cas ou les choses tournent mal. Ce qu'on appelle plus communement economie rentiere.

                        si les grecs se voient imposer un plan dajustement structurel impitoyable...alors quils sont dnas la zone euro
                        Les grecs, meme avec leur PAS "impitoyable" seront mieux lotis que les nord d'africains, tu peux en etre sur... Lorsque tu verras des grecs traverser la mediterrannee en risquent leur peau pour venir faire fortune a Bab El oued, on pourra reparler de la grece..

                        jimagine quelle sera la couleur de ce meme plan pour le maroc...

                        ca va faire mal, tres mal...
                        hahaha, le mec croit vraiment que le Maroc est au bord d'un PAS. je vois la demarche, attendons donc ce moment.. tu risques d'attends cher ami. On a plus de chance de voir l'algerie refaire un autre PAS de que le petrole degringolera (on sait tous qu'elle est a bout avec son nouveau budget de 286 milliards de dollars ou personne ne sait comment il sera financé et a quoi il servira reellement...) qu'un Maroc qui fait du 5% de croissance.

                        et personne de serieux ne sen rejouis, crois moi sur parole
                        on a deja gouté la potion, elle est tres amere
                        Je te crois.. pas..

                        Tres amere la potion, surtout quand un PAS n'apporte absolument rien dans l'amerlioration de la gestion d'un pays, suivez mes yeux...
                        Dernière modification par ayoub7, 10 juin 2010, 09h16.

                        Commentaire


                        • #27
                          Nul besoin d’être un expert en macro économie pour déduire qu’un pays à économie libérale, largement ouvert sur l’extérieur subira forcément un jour ou l'autre l’impact négatif de la crise que traverse la majeure partie du monde depuis quelques années !
                          Par ailleurs, dire que les balances (commerciales et de paiement) du Maroc sont chroniquement déficitaires c’est enfoncer des portes ouvertes !
                          On le sait depuis des lustres : le Maroc importe plus qu’il n’exporte et de ce fait les déficits de ses balances sont une fatalité …pour de nombreuses années encore, dés lors qu’il a entrepris une politique d’investissements effrénée certes mais judicieuse, il faut bien le reconnaître (infrastructures, mise à niveau, ) !
                          Naturellement ces déficits évoluent au gré de deux principales variables aléatoires : les aléas climatiques et le prix du baril de pétrole !

                          Le tout est de savoir contenir ces déficits dans des limites supportables dés lors qu’elles impactent les avoirs en devises du pays.

                          Ces avoirs ont effectivement chuté de près de 50 %entre 2007 et 2009 (elles ne couvriraient que 6 mois d’importation) conséquence certes de la hausse de la facture pétroliére, du recul des exportations, des recettes touristiques, et tout et tout…mais également et peut être surtout d’investissements marocains en devises à l’étranger aussi bien de la part du secteur public (CDG…) que privé (Banques, Maroc Télecom..)
                          Et ces investissements là généreront plus tard des rentrées de dividendes au pays !
                          N’oublions pas non plus le rachat en devises sonnantes et trébuchantes (810 millions d’euros) des parts des actionnaires étrangers de Méditel par les actionnaires autochtones !
                          Et ce rachat là…évitera à l'avenir des sorties de dividendes au pays !

                          Cela dit, sans doute la situation de "trésorerie" du pays est actuellement préoccupante ; mais elle est loin de ressembler à celle qui prévalait lors de la mise en place du fameux PAS !

                          Les "fondamentaux" de ce pays se sont sensiblement amélioré et avec son accession à "l’investment grade", il ne devrait pas avoir trop de difficultés à lever des fonds sur le marché mondial…si besoin est !
                          Dernière modification par ould omar, 10 juin 2010, 02h06.

                          Commentaire


                          • #28
                            il y a deux sorte de dettes

                            les ''bonnes dettes'' ces ceux qui sont utilisé pour l'infrastructure (routes, autoroutes,ports, aeroports, chemins de fer, etc), ces infrastructure augmente la productivité d'un pays et qui dit productivité dit augmentation revenu (Y).

                            on trouves ces bonnes dettes aussi dans l'investissement en capital humain ( instruire le peuple) et toujours dans le but d'augmenter sa productivité. car cette économie de savoir a une forte valeur ajoutée.

                            Et il y a les ''mauvaises dettes'', ceux emprunter dans un marché pour arrondir les fins de mois.

                            pour de plus ample analyse j'aimerai bien que qqun nous dise le ratio dette/ PIB du maroc, question de se donner une échelle de grandeur.

                            Commentaire


                            • #29
                              pour de plus ample analyse j'aimerai bien que qqun nous dise le ratio dette/ PIB du maroc, question de se donner une échelle de grandeur
                              toi t as pas lu l'arcticle!

                              il est interessant, et fait le tour de la conjoncture actuelle....tu trouveras aussi ce que tu cherches...

                              Commentaire


                              • #30
                                Par ailleurs, dire que les balances (commerciales et de paiement) du Maroc sont chroniquement déficitaires c’est enfoncer des portes ouvertes !
                                On le sait depuis des lustres
                                D'abord, tout le monde n'est pas "analyste financier", quelques rappels pédagogiques ne sont pas de trop, Deuxio, je peux te sortir la réaction (très singulière) de quelques "amis" lorsque j'ai évoqué le caractère structurel du déficit commercial. Tertio, il est faux de dire que le déficit de la balance de paiement date de quelques lustres.

                                Le déficit remonte à 2008. Néanmoins, les analystes ( et au vu de la courbe) prédisait depuis quelques années sans nul doute que le niveau de la balance de paiement passerait irrémédiablement en dessous de l'axe des abscisses.

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X