Obligation de recours au chèque bancaire pour toute transaction financière : La somme passera de 500 000 à 50 000 D.A.
Les autorités concernées ont l'intention de revoir, à la baisse, la somme devant transiter par la banque pour toute transaction financière, apprend-t-on de source proche du ministère des Finances.
Toute transaction dont la valeur financière dépasse les 50 millions de centimes doit, avec la nouvelle loi devant entrer en vigueur le 11 septembre 2011, être effectuée avec chèque, pour les besoins de la traçabilité de sommes d'argent et lutter, de cette façon, contre le blanchiment d'argent et financement du terrorisme.
Cette initiative avait déjà été prise il y a quelques années, fixant cette somme à 5 millions de centimes, mais n'a pas fait long feu à cause de problèmes d'ordre pratique. "On ne peut pas, par exemple, obliger un maquignon à exiger un chèque pour la vente d'un mouton pour la fête de l'Aïd El Adha", explique cette source.
Quelques années plus tard, cette initiative refait surface avec, cette fois, le plafonnement de la somme tolérée pour toute transaction financière à 50 millions de centimes, le temps que les algériens s'adaptent à ces pratiques et revoir, ainsi, cette somme à la baisse, au fur et à mesure, pour atteindre celle de 50 millions de centimes", selon cette source.
La cellule de traitement du renseignement financier (CTRF) est l'un des artisans de la nouvelle loi.
Echourouk
Les autorités concernées ont l'intention de revoir, à la baisse, la somme devant transiter par la banque pour toute transaction financière, apprend-t-on de source proche du ministère des Finances.
Toute transaction dont la valeur financière dépasse les 50 millions de centimes doit, avec la nouvelle loi devant entrer en vigueur le 11 septembre 2011, être effectuée avec chèque, pour les besoins de la traçabilité de sommes d'argent et lutter, de cette façon, contre le blanchiment d'argent et financement du terrorisme.
Cette initiative avait déjà été prise il y a quelques années, fixant cette somme à 5 millions de centimes, mais n'a pas fait long feu à cause de problèmes d'ordre pratique. "On ne peut pas, par exemple, obliger un maquignon à exiger un chèque pour la vente d'un mouton pour la fête de l'Aïd El Adha", explique cette source.
Quelques années plus tard, cette initiative refait surface avec, cette fois, le plafonnement de la somme tolérée pour toute transaction financière à 50 millions de centimes, le temps que les algériens s'adaptent à ces pratiques et revoir, ainsi, cette somme à la baisse, au fur et à mesure, pour atteindre celle de 50 millions de centimes", selon cette source.
La cellule de traitement du renseignement financier (CTRF) est l'un des artisans de la nouvelle loi.
Echourouk
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