L’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes (ANSEJ) vient de dégeler l’octroi de crédits pour certaines activités comme le transport public, la conservation frigorifique des produits, la torréfaction, la location de matériels agricoles, le conditionnement, la bijouterie et l’entretien des espaces verts.
« Les décisions relatives au gel des crédits étaient administratives. Ces décisions ont exclu beaucoup de jeunes qui peuvent investir dans ces créneaux. Il appartient aux comités de sélection et de validation des wilayas d’accorder les crédits ou non », a justifié Mohamed Tahar Chaâlal, secrétaire général de l’ANSEJ, invité mercredi de la chaîne III de la radio nationale.
L’Agence oriente, selon lui, les jeunes vers les activités plus rentables et plus viables. « Les jeunes promoteurs doivent convaincre les comités de validation pour avoir les crédits bancaires pour leurs projets. Lorsqu'un projet est validé par le comité régional, il ne pourra pas être rejeté par la banque », a-t-il assuré précisant que l’élevage ovin et bovin aux frontières demeure exclu de l’aide de l’ANSEJ. « C’est une mesure préventive par rapport à la contrebande », a-t-il expliqué.
Depuis le lancement de l’ANSEJ en 1997, 140 000 micro-entreprises ont été créées dans le pays. Le taux de mortalité de ces entreprises avoisine les 20 %. « Le fonds de garantie a traité presque 4000 projets. Nous sommes en train d’accompagner les autres projets en difficulté. Les difficultés de certaines entreprises viennent de la gestion et de l’environnement économique. Nous allons vers une courbe ascendante. La bouteille est plus qu’à moitie pleine », a-t-il souligné. Il a relevé que le fonds de garantie a pour mission de rassurer les cinq banques publiques qui financent les projets de micro-entreprises.
D’après lui, des micros-entreprises créées il y a dix ans sont aujourd'hui passées au stade de PME avec la réalisation de chiffres d’affaires importants. Elles activent, entre autres, dans les travaux publics et le bâtiment. « Il ne faut donc pas coller à l’ANSEJ cette image des activités de service et de transport uniquement », a-t-il dit.
« Les décisions relatives au gel des crédits étaient administratives. Ces décisions ont exclu beaucoup de jeunes qui peuvent investir dans ces créneaux. Il appartient aux comités de sélection et de validation des wilayas d’accorder les crédits ou non », a justifié Mohamed Tahar Chaâlal, secrétaire général de l’ANSEJ, invité mercredi de la chaîne III de la radio nationale.
L’Agence oriente, selon lui, les jeunes vers les activités plus rentables et plus viables. « Les jeunes promoteurs doivent convaincre les comités de validation pour avoir les crédits bancaires pour leurs projets. Lorsqu'un projet est validé par le comité régional, il ne pourra pas être rejeté par la banque », a-t-il assuré précisant que l’élevage ovin et bovin aux frontières demeure exclu de l’aide de l’ANSEJ. « C’est une mesure préventive par rapport à la contrebande », a-t-il expliqué.
Depuis le lancement de l’ANSEJ en 1997, 140 000 micro-entreprises ont été créées dans le pays. Le taux de mortalité de ces entreprises avoisine les 20 %. « Le fonds de garantie a traité presque 4000 projets. Nous sommes en train d’accompagner les autres projets en difficulté. Les difficultés de certaines entreprises viennent de la gestion et de l’environnement économique. Nous allons vers une courbe ascendante. La bouteille est plus qu’à moitie pleine », a-t-il souligné. Il a relevé que le fonds de garantie a pour mission de rassurer les cinq banques publiques qui financent les projets de micro-entreprises.
D’après lui, des micros-entreprises créées il y a dix ans sont aujourd'hui passées au stade de PME avec la réalisation de chiffres d’affaires importants. Elles activent, entre autres, dans les travaux publics et le bâtiment. « Il ne faut donc pas coller à l’ANSEJ cette image des activités de service et de transport uniquement », a-t-il dit.
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