Mais en février 2007, Carlos Ghosn, patron de Renault, reçoit un appel téléphonique de Driss Jettou, Premier ministre du Maroc. « Il m’a dit qu’il passait par Paris, et m’a demandé s’il pouvait me voir, raconte Ghosn. J’ai accepté, évidemment. Ses mots ont été simples : “J’ai un rêve. J’imagine une grande usine automobile dans le nouveau port de Tanger. Que dois-je faire pour que ce rêve devienne réalité ?” » La proposition tombe à point nommé. Renault est presque dépassé par le phénomène Logan.

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