L'Algérie a décidé de reporter sa participation au Programme Desertec relatif aux énergies renouvelables jusqu’à 2013.
Il s’agit, rappelons-le, d’un projet visant à exploiter l’énergie solaire à partir des grands espaces désertiques. Plusieurs kilomètres carrés de panneaux solaires devraient être mis en place pour produire de l’énergie et la vendre aux pays européens. Un projet de grande envergure qui devrait s’étaler jusqu’à l’année 2050.
A travers la décision de retarder sa résolution finale jusqu’à 2013, le gouvernement algérien a visiblement voulu reconsidérer les avantages économiques qu'il peut acquérir à travers sa participation à ce projet.
Parmi les dispositions exigées par le gouvernement algérien, entre autres, la fabrication des équipements nécessaires à l’exploitation de l’énergie solaire en Algérie, ainsi que la participation d’experts algériens dans le projet.
Le budget alloué à la réalisation du projet Desertec a été fixée à entre 400 et 500 milliards d'euros, et ce, afin d’exploiter l'énergie solaire en provenance d'Algérie, de Tunisie, du Maroc, de Libye, d'Egypte et d'Arabie Saoudite et l'exporter vers l'Europe. Il est prévu de fournir jusqu'à 15% des besoins en électricité de l'Europe.
Il y a lieu de rappeler que M. Christoph Partsch, le directeur général de la Chambre algéro-allemande de Commerce et d'Industrie, avait indiqué que la prochaine série de négociations entre la partie allemande et le gouvernement algérien sera engagée, à Oran, durant le mois en cours. Des actions sérieuses devraient être décidées et rendues publiques d’ici le premier trimestre de 2013.
S: Le Financier
Il s’agit, rappelons-le, d’un projet visant à exploiter l’énergie solaire à partir des grands espaces désertiques. Plusieurs kilomètres carrés de panneaux solaires devraient être mis en place pour produire de l’énergie et la vendre aux pays européens. Un projet de grande envergure qui devrait s’étaler jusqu’à l’année 2050.
A travers la décision de retarder sa résolution finale jusqu’à 2013, le gouvernement algérien a visiblement voulu reconsidérer les avantages économiques qu'il peut acquérir à travers sa participation à ce projet.
Parmi les dispositions exigées par le gouvernement algérien, entre autres, la fabrication des équipements nécessaires à l’exploitation de l’énergie solaire en Algérie, ainsi que la participation d’experts algériens dans le projet.
Le budget alloué à la réalisation du projet Desertec a été fixée à entre 400 et 500 milliards d'euros, et ce, afin d’exploiter l'énergie solaire en provenance d'Algérie, de Tunisie, du Maroc, de Libye, d'Egypte et d'Arabie Saoudite et l'exporter vers l'Europe. Il est prévu de fournir jusqu'à 15% des besoins en électricité de l'Europe.
Il y a lieu de rappeler que M. Christoph Partsch, le directeur général de la Chambre algéro-allemande de Commerce et d'Industrie, avait indiqué que la prochaine série de négociations entre la partie allemande et le gouvernement algérien sera engagée, à Oran, durant le mois en cours. Des actions sérieuses devraient être décidées et rendues publiques d’ici le premier trimestre de 2013.
S: Le Financier