Tweet
Tous les systèmes de sécurité des entreprises privées employant du personnel étranger sont passés au peigne fin, au même titre que les entreprises publiques.
Objectif : éviter la réédition du scénario de Tiguentourine et parer à toute tentative de sabotage ou d’atteinte à la vie des personnels des entreprises, qu’ils soient nationaux ou étrangers. Une source sécuritaire révèle que les responsables de la sécurité interne de ces entreprises ont été saisis par les services de sécurité, tous corps confondus. Un contrôle de l’équipement, de l’appareillage et des systèmes d’alerte a été lancé. Des recommandations ont été faites, après contrôle par les services de sécurité, aux chefs d’entreprise et aux responsables afin de pallier les insuffisances relevées dans leur système de sécurité interne ; des conseils ont été fournis pour le renforcement des capacités d’intervention.
Notre source indique que les personnels retenus par les entreprises de sous-traitance de la sécurité auxquelles recourent les filiales des multinationales installées en Algérie font également objet d’une attention particulière. «Les systèmes de sécurité en vigueur au niveau de notre entreprise prévoient des mesures à prendre en cas de danger (manipulation de produits dangereux, incendie, explosion, vol…) et la mise à la disposition de nos personnels des moyens adéquats pour l’intervention d’urgence. Les normes internationales et les standards de qualité auxquels nous sommes soumis (les normes ISO par exemple) ont déjà fixé les procédures à respecter liées à la santé et à la sécurité des personnels et de la sécurisation des usines. C’est valable par exemple pour la traçabilité des produits dangereux employés ou la mobilité des personnes.
Mais les consignes que viennent de nous donner les responsables locaux des services de sécurité sont d’un grand apport concernant la sécurité de nos employés à l’extérieur du lieu de travail», confie un chef d’entreprise privée dans le secteur industriel à Alger, dont une partie du personnel d’encadrement est originaire de pays européens. Les services de sécurité ont recommandé, entre autres, aux «expatriés» de ne pas s’éloigner des zones d’agglomération et de se conformer aux plannings tracés par leurs employeurs. Selon une récente étude rendue publique par les services du ministère du Commerce, plus de 4000 entreprises emploient du personnel étranger. La plus grande concentration d’expatriés est dans le Sud et à Alger, selon la même source.
Fatima Arab- El Watan
Objectif : éviter la réédition du scénario de Tiguentourine et parer à toute tentative de sabotage ou d’atteinte à la vie des personnels des entreprises, qu’ils soient nationaux ou étrangers. Une source sécuritaire révèle que les responsables de la sécurité interne de ces entreprises ont été saisis par les services de sécurité, tous corps confondus. Un contrôle de l’équipement, de l’appareillage et des systèmes d’alerte a été lancé. Des recommandations ont été faites, après contrôle par les services de sécurité, aux chefs d’entreprise et aux responsables afin de pallier les insuffisances relevées dans leur système de sécurité interne ; des conseils ont été fournis pour le renforcement des capacités d’intervention.
Notre source indique que les personnels retenus par les entreprises de sous-traitance de la sécurité auxquelles recourent les filiales des multinationales installées en Algérie font également objet d’une attention particulière. «Les systèmes de sécurité en vigueur au niveau de notre entreprise prévoient des mesures à prendre en cas de danger (manipulation de produits dangereux, incendie, explosion, vol…) et la mise à la disposition de nos personnels des moyens adéquats pour l’intervention d’urgence. Les normes internationales et les standards de qualité auxquels nous sommes soumis (les normes ISO par exemple) ont déjà fixé les procédures à respecter liées à la santé et à la sécurité des personnels et de la sécurisation des usines. C’est valable par exemple pour la traçabilité des produits dangereux employés ou la mobilité des personnes.
Mais les consignes que viennent de nous donner les responsables locaux des services de sécurité sont d’un grand apport concernant la sécurité de nos employés à l’extérieur du lieu de travail», confie un chef d’entreprise privée dans le secteur industriel à Alger, dont une partie du personnel d’encadrement est originaire de pays européens. Les services de sécurité ont recommandé, entre autres, aux «expatriés» de ne pas s’éloigner des zones d’agglomération et de se conformer aux plannings tracés par leurs employeurs. Selon une récente étude rendue publique par les services du ministère du Commerce, plus de 4000 entreprises emploient du personnel étranger. La plus grande concentration d’expatriés est dans le Sud et à Alger, selon la même source.
Fatima Arab- El Watan