Le prestigieux quotidien économiste britannique, le »Financial Times » affirme, dans son édition du samedi 9 mars, que l’ex-président français est sollicité par le Qatar pour prendre la direction d’un fonds d’investissement abondé à hauteur de 500 millions d’euros.
« Sarkozy reçoit régulièrement des propositions, mais ne s’est engagé dans aucune », a réagi l’entourage de Nicolas Sarkozy, sans confirmer ni démentir cette information.
Selon le « Financial Times », le fonds souverain du Qatar associé à d’autres investisseurs débloquerait jusqu’à 500 millions d’euros. À charge ensuite pour Nicolas Sarkozy d’utiliser l’argent pour des investissements dans des pays émergents comme le Brésil, ou pour soutenir des entreprises espagnoles ou marocaines.
Depuis sa défaite, l’ancien président reçoit énormément de monde dans ses bureaux parisiens dont des patrons du CAC 40 et tient de nombreuses conférences à l’étranger. Il s’est notamment rendu à plusieurs reprises à Abu Dhabi qui possède, avec la Norvège, l’un des fonds souverains les plus importants au monde ( Abu Dhabi Investment Authority), soit plus de 600 milliards de dollars d’actifs gérés.
l'économiste maghrébin
« Sarkozy reçoit régulièrement des propositions, mais ne s’est engagé dans aucune », a réagi l’entourage de Nicolas Sarkozy, sans confirmer ni démentir cette information.
Selon le « Financial Times », le fonds souverain du Qatar associé à d’autres investisseurs débloquerait jusqu’à 500 millions d’euros. À charge ensuite pour Nicolas Sarkozy d’utiliser l’argent pour des investissements dans des pays émergents comme le Brésil, ou pour soutenir des entreprises espagnoles ou marocaines.
Depuis sa défaite, l’ancien président reçoit énormément de monde dans ses bureaux parisiens dont des patrons du CAC 40 et tient de nombreuses conférences à l’étranger. Il s’est notamment rendu à plusieurs reprises à Abu Dhabi qui possède, avec la Norvège, l’un des fonds souverains les plus importants au monde ( Abu Dhabi Investment Authority), soit plus de 600 milliards de dollars d’actifs gérés.
l'économiste maghrébin