Le mariage à trois n’aura pas lieu. Mercredi, Renault-Nissan et General Motors «sont tombés d'accord pour arrêter les discussions concernant une possible alliance».
Selon un communiqué commun, «GM souhaitait que Renault-Nissan accepte de compenser financièrement GM pour entrer dans l'alliance, notamment au motif que l'investissement significatif de Renault-Nissan dans GM l'empêcherait d'envisager d'autres opportunités d'alliances». Problème : «Renault et Nissan considèrent que le principe même de compensation est contraire à l'esprit de toute alliance performante».
Malgré tout, les groupes ont toutefois «mutuellement reconnu que des synergies significatives résulteraient d'une telle alliance». Mais au final, les parties n’ont pu se mettre d'accord, «ni sur le montant total de ces synergies ni sur la répartition des bénéfices».
Les constructeurs avaient entamé le 14 juillet des discussions sur ce projet de rapprochement qui aurait donné naissance à une entité contrôlant un quart du marché mondiale de l'automobile. Un projet initié par le milliardaire Kirk Kerkorian, le principal actionnaire de GM. Réticent, le PDG Rick Wagoner s’était finalement laissé convaincre, espérant qu’une alliance avec les groupes présidés par Calos Ghosn permettrait de sortir GM de ses difficultés.
source : le figaro
Selon un communiqué commun, «GM souhaitait que Renault-Nissan accepte de compenser financièrement GM pour entrer dans l'alliance, notamment au motif que l'investissement significatif de Renault-Nissan dans GM l'empêcherait d'envisager d'autres opportunités d'alliances». Problème : «Renault et Nissan considèrent que le principe même de compensation est contraire à l'esprit de toute alliance performante».
Malgré tout, les groupes ont toutefois «mutuellement reconnu que des synergies significatives résulteraient d'une telle alliance». Mais au final, les parties n’ont pu se mettre d'accord, «ni sur le montant total de ces synergies ni sur la répartition des bénéfices».
Les constructeurs avaient entamé le 14 juillet des discussions sur ce projet de rapprochement qui aurait donné naissance à une entité contrôlant un quart du marché mondiale de l'automobile. Un projet initié par le milliardaire Kirk Kerkorian, le principal actionnaire de GM. Réticent, le PDG Rick Wagoner s’était finalement laissé convaincre, espérant qu’une alliance avec les groupes présidés par Calos Ghosn permettrait de sortir GM de ses difficultés.
source : le figaro