(Agence Ecofin) - L’Ecole centrale de Paris (ECP) a posé, lundi 27 octobre, la première pierre de son futur campus marocain à Casablanca. Il s’agit de la troisième implantation de cette école d’ingénieurs française en dehors de ses frontières, après la Chine et l’Inde.
«Il est beaucoup plus intéressant d’être dans ces pays que d’attirer leurs étudiants vers le nôtre», explique au journal Le Monde Hervé Biausser, directeur de l’ECP. «S’implanter dans ces grands pays qui ont émergé, là où l’avenir se construit, nous apporte beaucoup. L’Afrique est une zone de forte croissance. Le continent comptera 4 milliards d’habitants en 2100, quatre fois plus qu’aujourd’hui. D’ici là, le nombre de francophones aura triplé. Pour la France, c’est une orientation naturelle. Il est important que notre système d’enseignement supérieur s’implante en Afrique, et singulièrement au Maroc, qui a une vraie vision subsaharienne», a-t-il ajouté.
Ghita Lahlou El Yacoubi, jusque là membre du top management de l’assureur marocain Saham sera la directrice de la future Ecole Centrale de Casablanca.
Gilles Gleyze, qui pilote depuis le début le projet pour Centrale Paris, est nommé pour sa part directeur adjoint du futur établissement de Casablanca. Il cumulera ses fonctions avec celles, actuelles, de directeur de la formation continue de Centrale Paris et Supélec.
L’école ouvrira à la rentrée 2015 et sa construction doit mobiliser 8,5 millions d'euros d'investissement.
A noter qu’un deuxième projet d'enseignement supérieur scientifique et technologique associant le Maroc et la France est en cours avec le projet du groupe d'école d'ingénieurs INSA à Fès.
«Il est beaucoup plus intéressant d’être dans ces pays que d’attirer leurs étudiants vers le nôtre», explique au journal Le Monde Hervé Biausser, directeur de l’ECP. «S’implanter dans ces grands pays qui ont émergé, là où l’avenir se construit, nous apporte beaucoup. L’Afrique est une zone de forte croissance. Le continent comptera 4 milliards d’habitants en 2100, quatre fois plus qu’aujourd’hui. D’ici là, le nombre de francophones aura triplé. Pour la France, c’est une orientation naturelle. Il est important que notre système d’enseignement supérieur s’implante en Afrique, et singulièrement au Maroc, qui a une vraie vision subsaharienne», a-t-il ajouté.
Ghita Lahlou El Yacoubi, jusque là membre du top management de l’assureur marocain Saham sera la directrice de la future Ecole Centrale de Casablanca.
Gilles Gleyze, qui pilote depuis le début le projet pour Centrale Paris, est nommé pour sa part directeur adjoint du futur établissement de Casablanca. Il cumulera ses fonctions avec celles, actuelles, de directeur de la formation continue de Centrale Paris et Supélec.
L’école ouvrira à la rentrée 2015 et sa construction doit mobiliser 8,5 millions d'euros d'investissement.
A noter qu’un deuxième projet d'enseignement supérieur scientifique et technologique associant le Maroc et la France est en cours avec le projet du groupe d'école d'ingénieurs INSA à Fès.
Commentaire