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L’Algérie est classée la 136ème dans le monde en matière de gouvernance électronique a affirmé, ce mercredi, le chercheur Toumi Abderrahmane lors d’un séminaire international sur la gouvernance électronique et le service public dans les pays arabes organisée par la Facultés des sciences économiques, commerciales et sciences des gestions de l’université M’hamed Bougara de Boumerdès (UMBB).
Le pays est classé derrière même la Libye, un pays instable depuis plusieurs années. Selon l’universitaire qui a animé une communication sur le thème l’e-gouvernement et l’amélioration de la qualité de service dans les pays Arabes, ce classement a été rendu public après l’enquête de l’organisation des nations Unies (ONU) sur l’indice de développement de l’e-gouvernement au courant de l’année 2014.
« L’Algérie caracolait en 2012 avec un classement de 132ème sur un total de 195 pays. En deux ans, le pays a perdu 4 points », a-t-il ajouté avant d’énumérer les causes. Selon l’universitaire, ce recul est causé par l’absence d’une volonté politique claire en raison de la sensibilité du concept lui-même.
L’orateur a indiqué également, que ce recul est provoqué par plusieurs facteurs liés au manque de compétences, à l’absence de formation et le vide qui caractérise le volet législation. Le rapport des Nations Unies indique encore que plusieurs pays Africains notamment les Seychelles, le Maroc et la Tunisie (classée première), devancent l’Algérie.
Le continent Africain reste le mauvais élève en matière d’e-gouvernance avec le score de 0,27 sur 1 en dessous de la moyenne mondiale de 0,47. Au niveau mondial, la Corée de Sud est classé championne dans l’e-gouvernance sur plusieurs années consécutives avec un indice de 0,928.
Z.Youcef
El Watan
Le pays est classé derrière même la Libye, un pays instable depuis plusieurs années. Selon l’universitaire qui a animé une communication sur le thème l’e-gouvernement et l’amélioration de la qualité de service dans les pays Arabes, ce classement a été rendu public après l’enquête de l’organisation des nations Unies (ONU) sur l’indice de développement de l’e-gouvernement au courant de l’année 2014.
« L’Algérie caracolait en 2012 avec un classement de 132ème sur un total de 195 pays. En deux ans, le pays a perdu 4 points », a-t-il ajouté avant d’énumérer les causes. Selon l’universitaire, ce recul est causé par l’absence d’une volonté politique claire en raison de la sensibilité du concept lui-même.
L’orateur a indiqué également, que ce recul est provoqué par plusieurs facteurs liés au manque de compétences, à l’absence de formation et le vide qui caractérise le volet législation. Le rapport des Nations Unies indique encore que plusieurs pays Africains notamment les Seychelles, le Maroc et la Tunisie (classée première), devancent l’Algérie.
Le continent Africain reste le mauvais élève en matière d’e-gouvernance avec le score de 0,27 sur 1 en dessous de la moyenne mondiale de 0,47. Au niveau mondial, la Corée de Sud est classé championne dans l’e-gouvernance sur plusieurs années consécutives avec un indice de 0,928.
Z.Youcef
El Watan
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