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Comment l'Algérie prépare sa future banqueroute

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  • #76
    Dur de dur de faire une explosion sociale avec de tels chiffres.
    Corréler un niveau d'exportations (ridicule au vu de celui des importations -Le double) avec la paix sociale n'a aucun sens.

    Que le gouvernement touche au prix du pain ou à celui du butane et cette image reviendra au triple galop.



    La paix sociale, c'est des emplois, des salaires décents, des transferts sociaux à la mesure des besoins de la populations ... Pour cela il ne faut pas importer le double de ce qu'on exporte, avoirs une balance de paiement déficitaire, posséder des réserves qui ne sont même pas à hauteur du niveau de la dette ...

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    • #77
      Jawzia désolé mais les chiffres sont les chiffres l'Algérie est un pays mono exportateur et dépendant d'une seule ressource les exportations marocaines sont plus diversifiées. Les chiffres sont les chiffres ça ne change rien à la réalité

      Voici les chiffres

      _ L'industrie automobile .........=> 36,934 milliards DH => (env 4 milliards $)
      _ Phosphates et dérivés ........=> 34,700 milliards DH => (env 3.85 milliards $)
      _ Agriculture et agro-industrie => 33,158 milliards DH => (env 3.6 milliards $)
      _ Textiles ...........................=> 30,568 milliards DH => (env 3.4 milliards $)
      _ Électronique .....................=> 8,084 milliards DH .=> (env 800 millions $)
      _ Aéronautique ....................=> 6,667 milliards DH .=> (env 740 millions $)
      Dernière modification par iridium, 30 décembre 2014, 13h11.

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      • #78
        bataille pas laisse le rever le baril baisse donc plus d assistanat on ont raparlera dans quelque temps

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        • #79
          bataille pas laisse le rever le baril baisse donc plus d assistanat on ont raparlera dans quelque temps
          Dans quelque temps le Maroc aura un très gros concurrent, avec qui il va devoir partager des touristes et des IDE

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          • #80
            Tu peux aussi étaler les chiffres, il n'en reste pas moins que le Maroc importe deux fois ce qu'il exporte, que la balance des paiements est déficitaire depuis 2008, que l'endettement s'approche des 80% du PIB, ... si à partir de là, tu trouves que c'est dur d'envisager une explosion sociale

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            • #81
              Tu es HS nous parlions de diversité des exportations tu as eu les chiffres qui prouvent cette diversité. Pour le reste ouvre un autre sujet
              Dernière modification par iridium, 30 décembre 2014, 21h17. Motif: ortho et gram

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              • #82
                ne t inquietes pas le maroc comme tu le sais si tu es objectif na pas peur de la concurence au contraire on a l habitude par contre vous la concurence vous allez avoir du mal

                Commentaire


                • #83
                  Tu es HS
                  Tu regrettes déjà d'avoir écrit :
                  Dur de dur de faire une explosion sociale avec de tels chiffres.
                  http://www.algerie-dz.com/forums/sho...5&postcount=70
                  Dès que tu te sens coincé, tu nous sors HS.

                  Allez, je te laisse tranquillement exhiber les chiffres de l'usine française, ceux de la maticha et les coutures sur les revers de slips et soutiens gorge.

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                  • #84
                    ne t inquietes pas le maroc comme tu le sais si tu es objectif na pas peur de la concurence au contraire on a l habitude par contre vous la concurence vous allez avoir du mal
                    on verra dans quelque temps ...

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                    • #85
                      oui on verra c est bien la concurence ca oblige les entreprises a ce remettre toujours en question et ne pas dormir sur leur laurrier et d evoluer sinon on laisse la place

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                      • #86
                        Tu regrettes déjà d'avoir écrit :

                        Dur de dur de faire une explosion sociale avec de tels chiffres.
                        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...5&postcount=70
                        Pas du tout au contraire c'était une réponse claire et percutante avec chiffre à l'appui... Après que cela te plaise ou non... Ça c'est une autre débat !

                        Dès que tu te sens coincé, tu nous sors HS.

                        Allez, je te laisse tranquillement exhiber les chiffres de l'usine française, ceux de la maticha et les coutures sur les revers de slips et soutiens gorge.
                        Non, non, non Mr Jawzia nous avons commencé sur un sujet donc restons dessus ne cherche pas a faire dévier la discussion des que tu bloques... Tu as voulu parler de diversité d'exportation... tu as eu tes chiffres... Tu as eu ceux de l'Algérie, montrant un pays mono exportateur et ceux du Maroc montrant un pays aux exportations diversifiées, (Pour reprendre ta remarque et pour ce qui est de la maticha sache que c'est tout le mal que je vous souhaite... Pourvu qu'un jour vos exportations HH réussissent à faire mieux que la maticha ça serait déjà un truc super pour vous) Sinon concernant les autres sujets tu es libre d'ouvrir d'autres threads je serais heureux d'en discuter avec toi et de parler chiffre
                        Dernière modification par iridium, 30 décembre 2014, 21h56.

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                        • #87
                          on verra dans quelque temps ..
                          cne
                          Tu veux parler de l'Algerie car c'est déjà la crise chez toi quant au Maroc c'est tout bénef que le baril baisse avec une pluviométrie très favorable.
                          Les exportations du Maroc devraient croître de 3,6% en 2015



                          Un surplus de 8,4 milliards de DH qui sera généré en grande partie par les produits chimiques, agroalimentaires et électriques/électroniques. Ce sont l’Inde, la Chine, l’Afrique et quelques partenaires européens, notamment la Hollande et l’Angleterre qui draineront cette hausse. Le coût du travail dans l’industrie automobile et aéronautique reste trois fois moins cher au Maroc qu’en Europe de l’Est.
                          Le Maroc exportera plus de biens et de services en 2015 malgré le tassement de la croissance mondiale. D’après l’Observatoire du commerce extérieur d’Euler Hermès, qui vient de tenir sa deuxième édition, la demande étrangère adressée au Royaume sera en hausse de 8,4 milliards de DH, à 240 milliards de DH, soit un taux de croissance de 3,6% par rapport à la valeur des exportations estimée pour 2014. «Il s’agit d’une prévision qui s’appuie sur une hypothèse basse, compte tenu d’une croissance mondiale qui ne dépassera pas 3% pour la quatrième année consécutive», précise Hicham Alaoui Bensaid, directeur des engagements d’EH Acmar. De son côté, Ludovic Subran, économiste en chef de l’assureur-crédit, affirme que l’évaluation de ce volume additionnel s’est basée sur une conjoncture économique mondiale caractérisée par une multitude de risques qui continuent de peser sur les bilans des entreprises, notamment la stagnation de la demande des marchés émergents, le rétablissement très fragile de la croissance en Europe, la problématique de liquidité et les risques géopolitiques qui prévalent dans plusieurs pays.
                          Face à cela, le salut viendra essentiellement de l’Inde, la Chine, l’Afrique et quelques partenaires européens, notamment la Hollande, l’Angleterre et l’Espagne dans une moindre mesure.
                          Par secteur, ce sont les produits chimiques, l’agro-alimentaire et l’industrie électrique et électronique qui vont participer le plus à cette hausse des exportations. Selon M. Subran, les exportations de phosphates et dérivés du Maroc (2e en production et 1er en réserves) vont subir l’effet conjugué d’une demande très importante des pays de l’Afrique subsaharienne, caractérisés par des populations jeunes qui ont besoin de se nourrir, et du ralentissement de la demande du Brésil dont la croissance est moins forte.
                          L’industrie électrique et électronique gagne des marchés en Afrique subsaharienne
                          Pour l’agro-alimentaire, comme le souligne M. Bensaid, l’économie marocaine a développé une expertise, notamment dans les agrumes, la pêche, les conserves et quelques produits spécifiques, à l’image du melon. «Le Maroc bénéficie de richesses agricoles très diversifiées. Or, l’industrie alimentaire ne représente encore que le quart des exportations nominales du pays et a de ce fait un véritable potentiel pour pénétrer plus de marchés, surtout au Moyen-Orient», analyse M. Subran.
                          Le secteur des composants et équipements électriques et électroniques est également attendu pour participer à la hausse des exportations marocaines en 2015. «Les expéditions de ce secteur vont augmenter de 1,2 milliard de DH suite à la demande émanant de l’Angleterre et la Hollande en plus de l’Algérie, qui constitue un marché à potentiel», anticipent les experts de l’observatoire. De plus, M. Bensaid relève que le secteur se développe énormément en Afrique, notamment au Congo, au Burkina Faso et au Sénégal, où sa compagnie commence à être sollicitée pour des contrats d’assurance de la part d’opérateurs nationaux voulant exporter des composants et des équipements à destination de ces marchés.
                          «Nos engagements ont crû de 300% au titre des opérations d’assurance concernant ce secteur», souligne-t-il.
                          Cela dit, l’Observatoire du commerce extérieur, qui met en évidence annuellement les opportunités d’exportation s’offrant aux entreprises marocaines, a identifié l’automobile, l’aéronautique et le tourisme comme des secteurs qui pourraient aussi offrir un surplus d’exportations par rapport à 2014 malgré la concurrence que livrent d’autres pays. «En dépit de la hausse du coût du facteur travail, le Maroc reste trois fois moins cher que l’Europe de l’Est. De plus, le pays a accumulé une expertise et un savoir-faire qui positionnent idéalement l’industrie automobile et aéronautique pour fournir l’Europe», résume l’économiste en chef d’Euler Hermès.
                          Naoufel Darif. La Vie éco


                          2014-11-26

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                          • #88
                            L'Alérie a tout fait pour faire oublier à la population les années noires ,ce qui est une bonne chose ,mais le revers de la médaille ,elle a poussé vers une société de consommation tout azimut ,sans préparer l'alternative avec des réformes de son système économique piégée par la rente
                            haddou est déconnecté Signaler un message hors-charte


                            A quoi servent le pétrole et gaz si on ne sait pas gérer.Les pays du golfe
                            sont un éxemple à copier.Mais là aussi il faut trouver bons les technocrates
                            loin de l'Ecole Benbouzid.
                            "Para alcanzar lo imposible, uno debe intentar lo más absurdo".
                            Miguel de Cervantes.

                            Commentaire


                            • #89
                              le probleme de l algerie ce situe par ceux qui la tiennent ils ne sont pas ok entre eux et ne veulent pas que l algerie evolue parce que sinon il devront rendre des comptes au peuples et aux invesstisseurs etrangers pk ne reforme t ils pas le secteur bancaire pk n investissent pas dans les marches etrangers les bedouins du quatar et autres sont beaucoup plus clean que la mafia d algerie

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                              • #90
                                Non, non, non Mr Jawzia nous avons commencé sur un sujet donc restons dessus ne cherche pas a faire dévier la discussion des que tu bloques..
                                Le sujet était les "prédictions" du FMI sur l'économie algérienne, avant que tu y insères le Maroc.

                                Ai je encore le droit de commenter une telle ineptie ?
                                Dur de dur de faire une explosion sociale avec de tels chiffres.
                                Pour dire qu'il n'est pas dur (bien au contraire) d'entrevoir une explosion sociale lorsque
                                • les exportations (ces fameux chiffres) ne représentent en fait que la moitié de ce qui est exporté,
                                • que les avoirs sont ridiculement bas,
                                • que le Maroc perd de l'argent (déficit de balance des paiement) depuis bientôt une décennie,
                                • que la dette culmine à des niveaux alarmants (80% du PIB)
                                • que les transferts sociaux sont inexistants, ...

                                Ce sont ces chiffres qui font ou défont une paix sociale. Pas ceux de l'usine française, ceux de la Maticha ou ceux des coutures sur les revers de slips et soutiens gorge.


                                Allez bonne année à toi.

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