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Algérie - La destination Algérie est actuellement l’une des plus recommandées chez les investisseurs étrangers, la stabilité sécuritaire et la croissance économique enregistrées favorisent de plus en plus cette nouvelle donne. L’Algérie d’aujourd’hui reflète tant bien que mal ses richesses et ses potentialités, même si ces dernières demeurent quasiment inexploitées. En effet, l’Allemagne est l’un des pays qui s’intéressent de près à l’Algérie, selon le directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie algéro-allemande, M. Andreas Hergnother.
«Le volume des investissements allemands en Algérie est évalué à un milliard d’euros», a rapporté l’APS, tout en précisant que celui-ci a souligné que ces relations bilatérales «n’ont cessé de se développer durant ces dernières années». Pour preuve, il citera les entreprises allemandes qui ont investi en Algérie, Fnauf Engineering Gmbh (matériaux de construction), Siemens, Man, celles-ci comptent développer leur investissement, alors que d’autres, «comme Pleiderer Europoles GmBh&Co [construction des mâts de béton], ont des projets qui sont en cours de concrétisation», a-t-il ajouté. Ces déclarations ont été faites, mercredi dernier, lors de la tenue du «Forum économique sur l’Algérie», organisé à la Chambre de commerce et d’industrie de Munich (Allemagne).
L’intensification des relations économiques algéro-allemandes et notamment avec la Bavière, le centre industriel allemand par excellence, est l’un des points essentiels sur lesquels ont insisté les chefs de près de 200 entreprises, parmi les plus importantes de ce pays, lors de cette occasion, précise la même source. Intervenant à cette rencontre, le ministre bavarois de l’Economie, M. Erwin Huber, et le directeur général de la Chambre de commerce de Munich, M. Reinhard Dorfler, ont fait part de leur volonté d’approfondir la coopération algéro-bavaroise. «Je tiens à vous dire combien nous sommes intéressés par le marché algérien, non seulement en termes d’échanges commerciaux mais également dans l’investissement», a déclaré le ministre bavarois.
Dans la même optique, il précisera : « un processus de privatisation, des projets de construction d’infrastructures d’envergure, des réformes économiques importantes, l’Algérie est devenue la deuxième importante économie africaine et les chiffres de sa croissance, de sa situation financière sont autant d’opportunités pour nos entreprises qui doivent les saisir face à la concurrence déjà rude». Pour sa part, l’ambassadeur d’Algérie à Berlin, M. Hocine Meghar, a présenté le programme de privatisation des entreprises algériennes. «Ce processus répnd aux objectifs de notre économie et intègre tous les aspects répondant à sa diversification», a-t-il expliqué. Présent au forum, le premier responsable de l’ANDI (Agence nationale de développement des investissements), M. Abdelmadjid Baghdadi, n’a pas manqué lors de son intervention d’expliquer les différentes phases de montage des projets qui ne distinguent pas entre l’investissement national et international.
L’orateur a mentionné, entre autres, les grands projets annoncés pour 2007 : 16 opérations d’investissement dans les secteurs de l’hôtellerie, 8 projets concerneront la restauration et centres d’affaires, quatre nouveaux projets seront destinés à la réalisation de stations de dessalementde l’eau de mer, deux autres projets concerneront la production d’électricité et enfin deux autres projets toucheront à la production de fertilisants. Notons enfin que les travaux de ce forum ont donné lieu également à des entretiens entre chefs d’entreprise allemandes et leurs homologues algériens représentant les deux secteurs privé et public et à des séances-débats. La destination Algérie est actuellement l’une des plus recommandées chez les investisseurs étrangers, la stabilité sécuritaire et la croissance économique enregistrées favorisent de plus en plus cette nouvelle donne.
L’Algérie d’aujourd’hui reflète tant bien que mal ses richesses et ses potentialités, même si ces dernières demeurent quasiment inexploitées. En effet, l’Allemagne est l’un des pays qui s’intéressent de près à l’Algérie, selon le directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie algéro-allemande, M. Andreas Hergnother. «Le volume des investissements allemands en Algérie est évalué à un milliard d’euros», a rapporté l’APS, tout en précisant que celui-ci a souligné que ces relations bilatérales «n’ont cessé de se développer durant ces dernières années». Pour preuve, il citera les entreprises allemandes qui ont investi en Algérie, Fnauf Engineering Gmbh (matériaux de construction), Siemens, Man, celles-ci comptent développer leur investissement, alors que d’autres, «comme Pleiderer Europoles GmBh&Co [construction des mâts de béton], ont des projets qui sont en cours de concrétisation», a-t-il ajouté.
Ces déclarations ont été faites, mercredi dernier, lors de la tenue du «Forum économique sur l’Algérie», organisé à la Chambre de commerce et d’industrie de Munich (Allemagne). L’intensification des relations économiques algéro-allemandes et notamment avec la Bavière, le centre industriel allemand par excellence, est l’un des points essentiels sur lesquels ont insisté les chefs de près de 200 entreprises, parmi les plus importantes de ce pays, lors de cette occasion, précise la même source. Intervenant à cette rencontre, le ministre bavarois de l’Economie, M. Erwin Huber, et le directeur général de la Chambre de commerce de Munich, M. Reinhard Dorfler, ont fait part de leur volonté d’approfondir la coopération algéro-bavaroise.
«Je tiens à vous dire combien nous sommes intéressés par le marché algérien, non seulement en termes d’échanges commerciaux mais également dans l’investissement», a déclaré le ministre bavarois. Dans la même optique, il précisera : « un processus de privatisation, des projets de construction d’infrastructures d’envergure, des réformes économiques importantes, l’Algérie est devenue la deuxième importante économie africaine et les chiffres de sa croissance, de sa situation financière sont autant d’opportunités pour nos entreprises qui doivent les saisir face à la concurrence déjà rude». Pour sa part, l’ambassadeur d’Algérie à Berlin, M. Hocine Meghar, a présenté le programme de privatisation des entreprises algériennes. «Ce processus répond aux objectifs de notre économie et intègre tous les aspects répondant à sa diversification», a-t-il expliqué.
Présent au forum, le premier responsable de l’ANDI (Agence nationale de développement des investissements), M. Abdelmadjid Baghdadi, n’a pas manqué lors de son intervention d’expliquer les différentes phases de montage des projets qui ne distinguent pas entre l’investissement national et international. L’orateur a mentionné, entre autres, les grands projets annoncés pour 2007 : 16 opérations d’investissement dans les secteurs de l’hôtellerie, 8 projets concerneront la restauration et centres d’affaires, quatre nouveaux projets seront destinés à la réalisation de stations de dessalement de l’eau de mer, deux autres projets concerneront la production d’électricité et enfin deux autres projets toucheront à la production de fertilisants. Notons enfin que les travaux de ce forum ont donné lieu également à des entretiens entre chefs d’entreprise allemandes et leurs homologues algériens représentant les deux secteurs privé et public et à des séances-débats.
Par Radia Djouzi - La Tribune, le 9 décembre 2006.
Algérie - La destination Algérie est actuellement l’une des plus recommandées chez les investisseurs étrangers, la stabilité sécuritaire et la croissance économique enregistrées favorisent de plus en plus cette nouvelle donne. L’Algérie d’aujourd’hui reflète tant bien que mal ses richesses et ses potentialités, même si ces dernières demeurent quasiment inexploitées. En effet, l’Allemagne est l’un des pays qui s’intéressent de près à l’Algérie, selon le directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie algéro-allemande, M. Andreas Hergnother.
«Le volume des investissements allemands en Algérie est évalué à un milliard d’euros», a rapporté l’APS, tout en précisant que celui-ci a souligné que ces relations bilatérales «n’ont cessé de se développer durant ces dernières années». Pour preuve, il citera les entreprises allemandes qui ont investi en Algérie, Fnauf Engineering Gmbh (matériaux de construction), Siemens, Man, celles-ci comptent développer leur investissement, alors que d’autres, «comme Pleiderer Europoles GmBh&Co [construction des mâts de béton], ont des projets qui sont en cours de concrétisation», a-t-il ajouté. Ces déclarations ont été faites, mercredi dernier, lors de la tenue du «Forum économique sur l’Algérie», organisé à la Chambre de commerce et d’industrie de Munich (Allemagne).
L’intensification des relations économiques algéro-allemandes et notamment avec la Bavière, le centre industriel allemand par excellence, est l’un des points essentiels sur lesquels ont insisté les chefs de près de 200 entreprises, parmi les plus importantes de ce pays, lors de cette occasion, précise la même source. Intervenant à cette rencontre, le ministre bavarois de l’Economie, M. Erwin Huber, et le directeur général de la Chambre de commerce de Munich, M. Reinhard Dorfler, ont fait part de leur volonté d’approfondir la coopération algéro-bavaroise. «Je tiens à vous dire combien nous sommes intéressés par le marché algérien, non seulement en termes d’échanges commerciaux mais également dans l’investissement», a déclaré le ministre bavarois.
Dans la même optique, il précisera : « un processus de privatisation, des projets de construction d’infrastructures d’envergure, des réformes économiques importantes, l’Algérie est devenue la deuxième importante économie africaine et les chiffres de sa croissance, de sa situation financière sont autant d’opportunités pour nos entreprises qui doivent les saisir face à la concurrence déjà rude». Pour sa part, l’ambassadeur d’Algérie à Berlin, M. Hocine Meghar, a présenté le programme de privatisation des entreprises algériennes. «Ce processus répnd aux objectifs de notre économie et intègre tous les aspects répondant à sa diversification», a-t-il expliqué. Présent au forum, le premier responsable de l’ANDI (Agence nationale de développement des investissements), M. Abdelmadjid Baghdadi, n’a pas manqué lors de son intervention d’expliquer les différentes phases de montage des projets qui ne distinguent pas entre l’investissement national et international.
L’orateur a mentionné, entre autres, les grands projets annoncés pour 2007 : 16 opérations d’investissement dans les secteurs de l’hôtellerie, 8 projets concerneront la restauration et centres d’affaires, quatre nouveaux projets seront destinés à la réalisation de stations de dessalementde l’eau de mer, deux autres projets concerneront la production d’électricité et enfin deux autres projets toucheront à la production de fertilisants. Notons enfin que les travaux de ce forum ont donné lieu également à des entretiens entre chefs d’entreprise allemandes et leurs homologues algériens représentant les deux secteurs privé et public et à des séances-débats. La destination Algérie est actuellement l’une des plus recommandées chez les investisseurs étrangers, la stabilité sécuritaire et la croissance économique enregistrées favorisent de plus en plus cette nouvelle donne.
L’Algérie d’aujourd’hui reflète tant bien que mal ses richesses et ses potentialités, même si ces dernières demeurent quasiment inexploitées. En effet, l’Allemagne est l’un des pays qui s’intéressent de près à l’Algérie, selon le directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie algéro-allemande, M. Andreas Hergnother. «Le volume des investissements allemands en Algérie est évalué à un milliard d’euros», a rapporté l’APS, tout en précisant que celui-ci a souligné que ces relations bilatérales «n’ont cessé de se développer durant ces dernières années». Pour preuve, il citera les entreprises allemandes qui ont investi en Algérie, Fnauf Engineering Gmbh (matériaux de construction), Siemens, Man, celles-ci comptent développer leur investissement, alors que d’autres, «comme Pleiderer Europoles GmBh&Co [construction des mâts de béton], ont des projets qui sont en cours de concrétisation», a-t-il ajouté.
Ces déclarations ont été faites, mercredi dernier, lors de la tenue du «Forum économique sur l’Algérie», organisé à la Chambre de commerce et d’industrie de Munich (Allemagne). L’intensification des relations économiques algéro-allemandes et notamment avec la Bavière, le centre industriel allemand par excellence, est l’un des points essentiels sur lesquels ont insisté les chefs de près de 200 entreprises, parmi les plus importantes de ce pays, lors de cette occasion, précise la même source. Intervenant à cette rencontre, le ministre bavarois de l’Economie, M. Erwin Huber, et le directeur général de la Chambre de commerce de Munich, M. Reinhard Dorfler, ont fait part de leur volonté d’approfondir la coopération algéro-bavaroise.
«Je tiens à vous dire combien nous sommes intéressés par le marché algérien, non seulement en termes d’échanges commerciaux mais également dans l’investissement», a déclaré le ministre bavarois. Dans la même optique, il précisera : « un processus de privatisation, des projets de construction d’infrastructures d’envergure, des réformes économiques importantes, l’Algérie est devenue la deuxième importante économie africaine et les chiffres de sa croissance, de sa situation financière sont autant d’opportunités pour nos entreprises qui doivent les saisir face à la concurrence déjà rude». Pour sa part, l’ambassadeur d’Algérie à Berlin, M. Hocine Meghar, a présenté le programme de privatisation des entreprises algériennes. «Ce processus répond aux objectifs de notre économie et intègre tous les aspects répondant à sa diversification», a-t-il expliqué.
Présent au forum, le premier responsable de l’ANDI (Agence nationale de développement des investissements), M. Abdelmadjid Baghdadi, n’a pas manqué lors de son intervention d’expliquer les différentes phases de montage des projets qui ne distinguent pas entre l’investissement national et international. L’orateur a mentionné, entre autres, les grands projets annoncés pour 2007 : 16 opérations d’investissement dans les secteurs de l’hôtellerie, 8 projets concerneront la restauration et centres d’affaires, quatre nouveaux projets seront destinés à la réalisation de stations de dessalement de l’eau de mer, deux autres projets concerneront la production d’électricité et enfin deux autres projets toucheront à la production de fertilisants. Notons enfin que les travaux de ce forum ont donné lieu également à des entretiens entre chefs d’entreprise allemandes et leurs homologues algériens représentant les deux secteurs privé et public et à des séances-débats.
Par Radia Djouzi - La Tribune, le 9 décembre 2006.
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