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Reprenant à son compte une idée de Microsoft , Google réinvente les stock-options en permettant au personnel de Google de vendre ses stock-options à des institutions financières.
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Une fois n'est pas coutume : Google reprend à son compte une idée testée il y a deux ans par Microsoft. Le géant du secteur Internet pense avoir trouvé un moyen pour rassurer ses employés incertains de la valeur instantanée de leurs stock-options.
À compter d'avril 2007, le personnel de Google pourra vendre ses stock-options à des institutions financières par le biais d'un système d'enchères privées gérées par Morgan Stanley et Smith Barney (Citigroup).
Tout employé, à l'exception des dirigeants de la société, pourra ainsi vendre cash ses options, y compris celles qui paraissent sans valeur si le cours de l'action Google n'est pas assez élevé. Depuis janvier, le titre Google n'a gagné que 3 %, ce qui semble bien maigre au regard du gain de 370 % de l'action d'août 2004 à janvier 2006.
En théorie, la valeur des stock-options de Google, émises pour 10 ans, est censée s'envoler avec le temps, beaucoup plus vite que le cours de l'action. En théorie aussi, les stock-options doivent fidéliser sur le long terme l'employé et le faire profiter du succès de l'entreprise.
Ill suffira bientôt à l'employé de consulter en ligne le prix offert par les enchères pour se faire une idée de la valeur de ses options. En rendant son marché d'options plus transparent et plus liquide, Google espère recruter davantage de salariés motivés.
Par le Figaro
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Une fois n'est pas coutume : Google reprend à son compte une idée testée il y a deux ans par Microsoft. Le géant du secteur Internet pense avoir trouvé un moyen pour rassurer ses employés incertains de la valeur instantanée de leurs stock-options.
À compter d'avril 2007, le personnel de Google pourra vendre ses stock-options à des institutions financières par le biais d'un système d'enchères privées gérées par Morgan Stanley et Smith Barney (Citigroup).
Tout employé, à l'exception des dirigeants de la société, pourra ainsi vendre cash ses options, y compris celles qui paraissent sans valeur si le cours de l'action Google n'est pas assez élevé. Depuis janvier, le titre Google n'a gagné que 3 %, ce qui semble bien maigre au regard du gain de 370 % de l'action d'août 2004 à janvier 2006.
En théorie, la valeur des stock-options de Google, émises pour 10 ans, est censée s'envoler avec le temps, beaucoup plus vite que le cours de l'action. En théorie aussi, les stock-options doivent fidéliser sur le long terme l'employé et le faire profiter du succès de l'entreprise.
Ill suffira bientôt à l'employé de consulter en ligne le prix offert par les enchères pour se faire une idée de la valeur de ses options. En rendant son marché d'options plus transparent et plus liquide, Google espère recruter davantage de salariés motivés.
Par le Figaro