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Issad Rebrab honoré à Constantine

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  • #16
    Bonjour, il y a bien des Algériens qui se sont enrichi à l'étranger, Canada, France, comme le PDG d'Aigle Azur, arrêter de voir le crime partout, il n'y a que le travail qui enrichit et l'honnêteté.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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    • #17
      bonjour zek.

      je sais tres bien qu'il y'a des algeriens qui ont tres bien reussi a l'etranger et je crois meme avoir entendu parler d'un algerien qui a ete classer parmis les 100 top milliardaires du monde,mais la on parle d'un cas precis. Je n'ai rien contre le monsieur, au contraitre, je suis fier de lui qu'il s'est consacre au devellopement de son propre pays et surtout de sa region. cependant moi j'attire l'attention juste la maniere dont un capital peut croitre en si peu de temps ( 25 a 30 ans) , ce n'est pas beaucoup lorsqu'on sait que de grandes multinationales tres anciennes qui ont des strategies de croissance des plus devellopes dans le monde et qui maitrisent tres bien toute les NTI dans leur gestion ont du mal a faire ce qu'a fait le monsieur ,je dirais que c'est presque du reve pour ces compagnies.

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      • #18
        IL semble que personne n'ignore qui sont les financiers, voir donneurs d'ordres de Rebrab connu comme homme d'affaire de... Forcément, très bien placés. Ils ont le mérite d'investir sur des projets de développement plutôt cohérents... Dans une moindre mesure, ce développement des activités me fait penser à la politique de développement économique du Japon au sortir de WW2. Et il me parait vraiment ESSENTIEL de consolider le secteur des industries lourdes pour que l'Algérie dispose de son autonomie et d'autosuffisance dans la production des denrées et équipements de base pour ensuite développer d'autres activités moins nécessaires et s'attaquer, why not, au commerce extérieur (pkoi pas en développant les projets agricoles - et autres- !)
        Les activités dans lesquelles son groupe a choisi (ou eu l'opportunité) d'investir sont incontournables... Un peu trop éclectiques mais peut-être le nombre restreint d'acteurs nationaux à ce niveau permet-il encore de regrouper des activités pas forcément liées ensemble et d'assurer à un tel groupe une stabilité financière...?
        A suivre...

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        • #19
          erreur de topic !
          Dernière modification par Virginie, 23 décembre 2006, 16h20.

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          • #20
            esperons qu'on est pas en train de construire un nouveau khalifa bis

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            • #21
              Non justement !
              Mais y'a du boulot !

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              • #22
                tu sais lui aussi en son temps il etait presenté comme le super patron algerien, la gloire la reussite à l'etat pure, quelques années plus tard il est en fuite en gb
                les journaux aime bien les heros et construire des hommes

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                • #23
                  MAIS NON TOLKIEN, MALGRES DES SOUCIS AVEC LA JUSTICE IL RESTE UN ENTREPRENEUR DANS L'AME, EN PLUS EN ALGERIE SI TU FRICOTE PAS AVEC LE CÖTE OBSCURE CE DERNIER PEUT TE FAIRE MAL!
                  D’après le classement 2006 des 500 plus grandes entreprises africaines publié par Jeune Afrique, l’Intelligent, Cevital est la 6e entreprise algérienne en termes de chiffre d’affaires. Si l’on considère comme critère de classement le résultat net plutôt que le chiffre d’affaires, Cevital se hisse au 4e rang des entreprises algériennes, juste après Sonatrach, Sonelgaz et SNTA.
                  Toujours d’après Jeune Afrique, l’Intelligent, au classement africain des entreprises du secteur agro-industrie, Cevital est au 9e rang en termes de chiffre d’affaires. Si l’on considère comme critère de classement le résultat net plutôt que le chiffre d’affaires, Cevital se hisse au 3e rang après 2 entreprises sud-africaines.
                  Le plan d’affaires de Cevital comprend des investissements de plus de 90 milliards de dinars entre 2005 et 2010.
                  Une partie des investissements sont destinés à diversifier les activités dans le domaine agroalimentaire :
                  — Intégration en amont : trituration des graines oléagineuses (tournesol, colza et soja)
                  — Production d’aliments de bétail dont les intrants sont des sous-produits de la trituration, de la mélasse et des acides gras.
                  — Intégration en aval : développement de la distribution
                  — Acquisition des eaux minérales Lala Khadidja avec un plan de redressement gagnant (construction d’une unité de production moderne et nouvelle stratégie de commercialisation).
                  Une autre partie des investissements consiste à développer des industries à fort potentiel de croissance :
                  — Production de verre plat
                  — Production de bâtiments préfabriqués en béton
                  ?

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