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Le Maroc, un futur géant du gaz?

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  • #16
    Des indices positifs permettent d’espérer une production de milliards de m3 de gaz dans les années à venir.
    A condition que le prolongement du bassin de Tindouf a l’intérieur du Maroc soit exploitable .

    Mais pourquoi le ministre ne dit pas que c'est du Gaz de Schiste ???
    "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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    • #17
      on ne trouve pas de pétrole off-shore au maroc .c'est bizarre non ? les nappes de pétrole et gaz se succèdent depuis l'asie centrale en passant par le moyen-orient,l'afrique du nord puis s'arrêtenet au pied de l'atlas marocain.
      pour reprendre de plus belle de l'autre côté de l'atlantique.(golfe du mexique). surtout quand on sait que cette partie de l'amérique était collée a l'afrique du nord.

      il suffit de regarder une carte en relief pour comprendre le pourquoi du comment.

      la plateforme continentale (c.a.d les côtes du maroc) font intégralement parti du maroc.et donc la géologie est exactement la même que sur le continent.il y a juste de l'eau de mer par dessus.

      donc si le maroc a perdu son pétrole c'est a cause du continent qui pousse vers le nord depuis des millions d'années.cela a retourné le substrat dans tous les sens.on peut penser que le pétrole marocain a immigré vers les pays voisins avec le temps.

      et une autre partie des hydrocarbures marocain n'a même pas eu le temps de se former en liquide ou gaz .cela a donné le pétrole de schiste présent au maroc mais très couteux a extraire.(et polluant).en fait il faut terminer dans des usines ce que mère nature n'a pas su faire.ou plutôt n'a pas eu le temps de faire .

      par contre de l'autre côté de l'océan,les terrains sont restés stables.on voit bien que tout le texas ,louisiane jusqu'a la côte est du mexique et leur prolongement dans la mer est bien plat,pas de montagnes etc .

      on retrouve la même stabilité et des bassins sédimentaires plats dans le moyen-orient(golfe persique),delta du niger(pétrole,gaz),delta du nil (gaz).orenonque etc

      c'est rare de trouver du pétrole dans les pays montagneux(suisse,autriche,bouthan,nepal,maroc,pér ou,chili etc)
      Dernière modification par samarkand777, 05 décembre 2015, 01h27.

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      • #18
        je vois que tu as toute une theorie sur l'abscence des hydrocarbures au maroc, c'est à presenter à chevron, total & co, qui je suis sur qu'il ne sont pas au courant que le maroc a perdu son petrole et qu'il a emmigré vers les pays voisins

        bref, ça nous fait une autre theorie
        "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
        Johann Wolfgang von Goethe

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        • #19
          j'ai jamais dit qu'il n'y avait pas de petits gisements au maroc mais pour des géants....non.ça passe pas inaperçu.

          s'il y avait du pétrole en off shore les îles canaries auraient trouvé depuis longtemps .au moins les bords d'un gisement.

          en algérie il y a plus de 1000 gisements alors qu'au maroc voisin il y en a combien ? c'est comme chercher du pétrole dans le nord de l'algérie...on ne trouvera que des indices ou des petits gisements c'est tout.

          en algérie on ne trouve pas de pétrole a la frontière du maroc .pourquoi a ton avis ? regarde une carte et tu comprendras...

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          • #20
            @Samarkand

            Je pense que tu as tord le pétrole ne s'arrette pas a hassi messaoud ni le gaz a Hassi Rmel.

            Cette année le senegal a trouver du petrole au large de ses côte et la mauritanie a trouver un important gisement au large de ses côte il y'a un moi. De même le maroc a trouver du gaz de bonne qualité près de laayoun et les travaux continue pour déterminer le potentiel de la zone.
            Selon des compagnie petroliere le bassin de tinfouf s'etandant au sahara (occidental) contiendrait dans la zone compris au maroc 2000 milliards de m3 de gaz et 5 milliards de baril(estimation).

            petrole senegal:

            Pétrole : Le Sénégal attend un milliard de barils de ses terres
            On en sait un peu plus sur les capacités du Sénégal en termes de gisements de pétrole. Selon Cairn Energy il s’agit de près d’un milliard de barils.

            Mauritanie:
            (Agence Ecofin) - Kosmos Energy, pétro-gazier coté à New-York, a annoncé le 27 avril la découverte d’une importante accumulation de gaz épaisse de 107 m avec le puits d’exploration Tortue-1 dans le prospect Tortue Ouest sur le bloc C-8 au large de la Mauritanie.

            Tortue-1 a atteint une profondeur totale de 4630 m et a entrecoupé un système net d’hydrocarbures de 107 m, a précisé la compagnie pétrolière américaine.

            Kosmos Energy fait état d’une zone de trois réservoirs d’excellentes qualités de 88 m d’épaisseur dans un intervalle d’hydrocarbures de 160 m entrecoupé dans le Cénomanien inférieur et d’une quatrième zone épaisse de 19 m dans un intervalle d’hydrocarbures de 150 m dans un objectif secondaire du Cénomanien supérieur.

            Sahara occ

            (Agence Ecofin) - San Leon Energy Plc, coté à Londres, a annoncé le 30 septembre avoir entrecoupé, dans le puits Laayoune-4 sur les permis de recherche onshore Tarfaya, des manifestations de gaz dans des grès d’une épaisseur de 23 m dans un réservoir du Tertiaire renfermant un intervalle atteignant 18 m.

            Selon la compagnie d’exploration pétrolière britannique, ce puits, auparavant El Aaiun-4, qui devrait atteindre une profondeur totale d’environ de 2000 m, a entrecoupé le réservoir en question à une profondeur à 100 m de moins que prévue. « La confirmation de la présence des indices de gaz et d’un réservoir de bonne qualité est très encourageante en ce qui concerne le potentiel du bloc et amène, naturellement, à postuler pour une nouvelle licence de huit ans dans cette zone de sorte à effectuer des relevés sismiques sur l’ensemble des chenaux », a expliqué Oisin Fanning, président exécutif de San Leon.

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            • #21
              Et si le Maroc devenait un gros producteur de gaz naturel ?

              Des indices positifs permettent d’espérer une production en milliards de m3 dans les quelques années à venir. Ces découvertes pourraient concerner le Gharb, Essaouira, le Sud et même le Nord du Royaume.

              Le Maroc pourra bientôt produire des milliards de mètres cubes de gaz naturel! C’est en tout cas l’espoir nourri par Abdelkader Aâmara, ministre de l’énergie, des mines, de l’environnement et de l’eau. Ce dernier va encore plus loin en prédisant que la confirmation pourrait avoir lieu dans «les deux à trois prochaines années». Fini donc le temps de la prudence. Jusque-là, les pouvoirs publics sont toujours intervenus pour relativiser l’optimisme des sociétés d’exploration. Lors du dîner-débat organisé par La Vie éco pour parler des défis de la libéralisation des hydrocarbures, le ministre semblait plutôt très confiant. «Au regard des indices dont nous disposons aujourd’hui, nous pensons que d’ici deux à trois ans, le Maroc passera d’un potentiel de production de 100 à 200 millions de m3 de gaz naturel à quelques milliards de m3 par an».

              M. Aâmara précise toutefois que «pour le pétrole, la situation est différente». En effet, les nombreuses études menées jusque-là, ainsi que les résultats des forages effectués font ressortir que le Maroc dispose bien de réserves de pétrole, mais pas de la qualité pouvant être exploitée dans le contexte actuel. «Nous disposons d’indicateurs sur la présence de réserves de pétrole lourd. Les cours à l’international n’aidant pas, son exploitation ne peut être rentable», précise le ministre. Pour exploiter ces réserves, il faudrait en effet d’importants investissements que les compagnies partenaires du Royaume ne pourront rentabiliser que si les cours de l’or noir atteignent de nouveaux records.

              Le gaz naturel est jusqu’à 25% moins polluant que le pétrole
              Pour ce qui est du gaz en revanche, le Maroc a toutes les raisons d’y croire. D’abord, parce qu’il dispose de 900 000 km2 de bassins sédimentaires et qu’à peine la moitié est explorée actuellement. Le Royaume dispose donc d’importantes marges pour découvrir de nouvelles poches de gaz. Ensuite, à en croire le ministre, des indices sérieux ont été décelés dans les massifs de Boujdour en offshore, dans la zone d’Essaouira et dans le Nord du Royaume. «Il suffira d’une première grosse découverte pour encourager de nouvelles sociétés à tenter l’exploration dans le Royaume», prédit Abdelkader Aâmara. Pour le moment, une question se pose avec acuité : des réserves de gaz naturel sont-elles finalement plus intéressantes que des réserves de pétrole ? D’après le ministre, la réponse est affirmative.

              Le gaz a la particularité d’être jusqu’à 25% moins polluant que le pétrole. Dans le contexte actuel où tous les regards sont tournés vers la protection de l’environnement et la limitation du réchauffement climatique, le gaz devient donc une véritable carte à jouer pour le Maroc. De plus, les cours à l’international, rapportés au coût d’exploitation du gaz, sont intéressants. A ceci s’ajoute la demande mondiale qui est en nette croissance. Les experts internationaux prédisent même une explosion de la demande dans les cinq années à venir vu qu’il a été prouvé que le coût de l’énergie a tendance à baisser avec l’introduction du GNL. C’est d’ailleurs le pari qu’a fait le Maroc en lançant, en décembre 2014, la nouvelle feuille de route pour le développement de son utilisation. Selon les premiers échos, il semblerait que le road-show qui a emmené le ministre au Qatar, en Russie et aux Etats-Unis ait démontré un intérêt particulier pour le projet marocain.

              Une découverte de gaz naturel, même s’il faudrait attendre quelques années supplémentaires avant d’entamer l’exploitation, devrait conforter le choix du Royaume de miser sur cette matière vu qu’il pourra s’assurer un approvisionnement à moindre coût.

              En attendant, les dernières statistiques disponibles auprès de l’Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM) révèlent que la production de gaz naturel s’est élevée à 44,34 millions NM3 en 2014. Ajoutée aux 5 184 tonnes de condensât produit, cette production a généré un chiffre d’affaires global de 190,53 MDH. Les principaux clients sont des opérateurs économiques installés dans le Gharb et à Essaouira, soit à proximité des bassins exploités.
              • Exploration : état des lieux

              A fin juin 2015, 32 sociétés pétrolières internationales, parmi lesquelles des majors, des super-indépendants et des indépendants, opèrent dans différentes régions du Maroc aussi bien en offshore qu’en onshore. C’est ce que révèlent les statistiques de l’ONHYM. Des puits sont en train d’être creusés dans les zones les plus avancées en termes d’exploration. Dans le bassin du Gharb, des poches de gaz découvertes par Circle Oil, Cabre et Gulfsands alimentent les industries de la région. Repsol a récemment annoncé en avoir découvert dans la partie offshore du même bassin. A Sidi Mokhtar, dans la région d’Essaouira, et à Tendrara, région des hauts plateaux, des indices ont été découverts par Longreach et MPE.
              Pour ce qui est du pétrole, de l’huile lourde a été mise à jour par Cairn et Genel, au large de Tarfaya ; Genel en a fait autant au large de Sidi Ifni. Globalement, sur la période 2000 à 2015, plus de 21 milliards de DH ont été investis par l’ONHYM et ses partenaires dans l’exploration, dont 95% pris en charge par ces derniers. Sur le seul premier semestre 2015, 2,5 milliards de DH ont été investis.
              La Vie Éco

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              • #22
                hdidane je parlais des gisements géants. on est jamais a l'abri d'une surprise mais demande toi pourquoi tous les gros gisements du monde ont été découverts il y a 50/70 ans .malgré toute la technologie actuelle on ne trouve quasiment plus de super gros gisements dans le monde.

                je pense qu'il y a du pétrole et du gaz au maroc mais plus une succession de gisements petits ou moyens. peu ou pas rentables mais qui pourraient suffire a la conso interne. ce qui serait déja très bien pour un pays comme le maroc.

                et je parlais surtout du maroc sans sahra occidental .car dans ce dernier cas le potentiel est plus important car resté stable dans le temps. s'il y a un gisement géant il risque d'être au sahra occidental a mon avis.

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                • #23
                  Au Maroc il y'a 0.04 forage sur 100km2 la moyenne international étant de 10 forages sur 100 km2 ça fait des milliers de forage de deficit.

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                  • #24
                    l'egypte a decouvert le plus grand gisement de gaz en mediterannée il y'a quelque moi les decouverte n'en finisse pas. ceux qui pense que le sahara marocain en contient que du phosphate se trompent et l'avenir nous le dira.

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                    • #25
                      samarkand

                      arrete avec tes theories, on disait la meme chose pour la mediterrannée mais une fois les gisements trouvé(gaza, chypre, egypte, liban, algerie), les theoriciens ont fait le necessaire pour s'aligner et revoir leurs lunettes, "Ah c'est vrai, on s'est trompé"

                      une theorie est tojours sujet à revision, correction
                      "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                      Johann Wolfgang von Goethe

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                      • #26
                        c'est juste mon avis. j'ai le droit de penser ainsi non ?

                        le delta du nil fait partie du bouclier saharien.il est resté stable.et son prolongement naturel sous la mer méditerranée est propice aux hydrocarbures comme l'est le delta du niger ou de l'orenonke.tu ne peux pas comparer avec les côtes du nord du maroc. s'il y avait du pétrole, l'espagne l'aurait découvert depuis belle lurette ! il faut tenir de la géologie. le pétrole a besoin de bassins stables pour rester en place .

                        si ma théorie est fausse bah explique moi pourquoi malgré tous les forages on a découvert aucun gisement dans le nord maghreb ?? maroc algerie tunisie . en dehors de qq petits gisements.

                        le pétrole ne s'arrête pas a l'atlas par hasard.il y a bien une raison que j'ai essayé d'expliquer c'est tout.

                        le plus grand potentiel au maroc se trouve au sahra occidental car justement lui recèle un bassin sédimentaire qui a peu bougé depuis 200 millions d'années.

                        ceci dit je vous souhaite de trouver du pétrole et gaz.
                        Dernière modification par samarkand777, 08 décembre 2015, 12h13.

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                        • #27
                          Il y'a deux bassin sedimentaire au sahara celui de laayoun qui comprend toute la cote jusqua lagouira et celui de tindouf qui comprend la region de tindouf jusqu'au porte de laayoune.

                          ici concernant le bassin de tindouf côté marocain:

                          The Zag Basin (known as the Tindouf Basin in Algeria) is the western most of the hydrocarbon prolific North African Paleozoic basins. Located on the western edge of the Sahara Desert, the Zag Basin is virtually unexplored(...)EIA expect 75 TCF of gas and 5 billion BO to reside within the Moroccan Zag Basin

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                          • #28
                            Il y'a aussi du Fer de l'Or de l'Uranium du Titane du Cuivre etc.. au sahara dans la region de dakhla,région situé en face du minerai de fer de Zouérate en mauritanie.

                            Region dakhla minerai en exploration:




                            carte minerai d'or et de fer en Mauritanie:

                            Dernière modification par hdidane48, 08 décembre 2015, 13h07.

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                            • #29
                              Envoyé par samarkand777 Voir le message
                              c'est juste mon avis. j'ai le droit de penser ainsi non ?
                              tout à fait, je fais valoir mon droit d'ignorer
                              "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                              Johann Wolfgang von Goethe

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                              • #30
                                je suis de l'avis de Samarkand on espérant me tromper.

                                Commentaire

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