Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Immobilier/ Baisse des prix de 30 à 40% dans les mois à venir

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Immobilier/ Baisse des prix de 30 à 40% dans les mois à venir

    Immobilier/ Baisse des prix de 30 à 40% dans les mois à venir
    Eco-Business, Une décembre 13, 2015 Abdou Semmar

    Les prix du logement sont en baisse en Algérie. C’est ce qu’a révélé, aujourd’hui, dans une déclaration à l’APS, le président de la Fédération nationale des agences immobilières (FNAI), Abdelhakim Aouidat. Selon lui, les prix proposés par les promoteurs, mais aussi par les particuliers, ont connu, depuis le début de l’année, une baisse de 10%.

    Cette tendance est appelée à s’accentuer durant les mois à venir, ajoute-t-il, et sera de l’ordre de 30 à 40 %. Pour M. Aouidat, cette baisse n’est nullement «anormale». C’est un «ajustement naturel» puisque les prix pratiqués habituellement sont extrêmement élevés et ne reflètent pas la réalité du coût d’un logement. C’est beaucoup plus le résultat de la spéculation.

    D’ailleurs, c’est en partie ces fortes hausses qui ont provoqués ce «ralentissement» du marché. Mais la cause principale reste liée aux différents programmes de logements lancés par les autorités, surtout ceux des formules AADL et LPP. Les prix de ces deux formules, même celui du LPP, reste très loin de ceux pratiqués par les promoteurs immobiliers et les particuliers. «Les différents programmes de logements lancés par le gouvernement et le fait que beaucoup de demandeurs se soient rabattus sur la location sont des facteurs favorisant la baisse des prix de cession», a déclaré Aouidat.

    Deux autres facteurs pourraient y être également liés. D’un côté, il y a la mesure prise par le gouvernement de récupérer l’argent de l’informel. Les barons du secteur avaient, en effet, pour habitude d’investir dans l’immobilier, alors que désormais ils peuvent bancariser leurs fonds sans risque d’être inquiété. D’un autre coté, il y a l’obligation d’établir un chèque dès que la somme de la transaction dépasse les 500 millions de centimes (5 millions de dinars).

    Elyas Nour

  • #2
    ceux qui ont acheté recemment vont le regretter.

    Commentaire


    • #3
      Tout dépend de pourquoi ils ont achetés. ....

      Commentaire


      • #4
        Enfin une bonne nouvelle

        Commentaire


        • #5
          l'argent du petrole etait converti en immobilier ,comme le petrole ne vaut presque plus rien il n'y aura plus de transavasement de l'argent de l'oil vers l'immo et donc la chute sera beaucoup plus importante que les 40% annoncés. Personne n'achete en algerie sur la base du salaire lié a un travail avec les prix actuels- l'argent des achats est illegal ,detourné de sa fonction premiere ou est lié au blanchiment.

          Commentaire


          • #6

            l'argent du petrole etait converti en immobilier ,comme le petrole ne vaut presque plus rien il n'y aura plus de transavasement de l'argent de l'oil vers l'immo et donc la chute sera beaucoup plus importante que les 40% annoncé

            Euh, une petite explication please !
            .


            Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

            Commentaire


            • #7
              l'argent du petrole etait converti en immobilier ,comme le petrole ne vaut presque plus rien il n'y aura plus de transavasement de l'argent de l'oil vers l'immo et donc la chute sera beaucoup plus importante que les 40% annoncés. Personne n'achete en algerie sur la base du salaire lié a un travail avec les prix actuels- l'argent des achats est illegal ,detourné de sa fonction premiere ou est lié au blanchiment.
              un autre théoricien du dimanche?

              Commentaire


              • #8
                azouz75

                Euh, une petite explication please !
                N'y comptes pas trop !!!

                C'est une autre prophétie du grand prophète...


                Immobilier/ Baisse des prix de 30 à 40% dans les mois à venir
                Eco-Business, Une décembre 13, 2015 Abdou Semmar
                Allah y barek !!!
                "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                Commentaire


                • #9
                  une baisse de l'ordre de 30 a 40% je n y crois pas, si c'est vrai alors on appelle ça une crise immobilire, un crash immobilier mais en aucun cas une simple baisse.

                  Commentaire


                  • #10
                    Asam .. on a pas le droit aux bonne nouvelles apparemment

                    Commentaire


                    • #11
                      Masha malheureusement dans nos pays sous develloppés les bonnes nouvelles sont rare, mais oui le malheur des uns fait le bonheur des autres, si cette baisse s'avère réel, alors ceux qui ont beaucoup d'epargnes peuvent investir dans l'immobilier et attendre l'augmentation des prix
                      Dernière modification par asam16, 13 décembre 2015, 21h00.

                      Commentaire


                      • #12
                        Algérie: la bulle immobilière risque d'éclater

                        Le marché de l'immobilier privé semble gagné par la déprime sous l'effet combiné des programmes publics de l'habitat, des prix excessivement élevés des logements proposés par les promoteurs privés ainsi que des effets de la crise économique.

                        Ce ralentissement commence à se traduire par un début de réduction des prix proposés aussi bien par les propriétaires que par les promoteurs immobiliers, alors que la location gagne, en revanche, du terrain.

                        Depuis ces derniers mois, d'aucuns constatent une profusion sans précédent d'annonces publicitaires lancées par les promoteurs privés pour écouler leurs logements neufs.

                        "Les différents programmes publics de réalisation de logements (AADL, LPP...) ont eu un impact certain sur l'activité des promoteurs immobiliers privés", souligne à l'APS un promoteur immobilier à Oran et ancien président de l'Union nationale des promoteurs immobiliers (UNPI), Larbi Chemmam.

                        "Ces programmes publics ont poussé certains promoteurs privés à réduire leur cadence, mais il faut dire que les promoteurs les plus vulnérables sont généralement les moins professionnels", relève-t-il.

                        Une baisse des prix de 30 à 40% attendue à court terme

                        Dans ce sens, le président de la Fédération nationale des agences immobilières (FNAI), Abdelhakim Aouidat, observe que depuis le début de l'année 2015, les prix du logement ont baissé de 10%, et si la situation se poursuit au même rythme, cette baisse pourrait être de l'ordre de 30 à 40% d'ici à quelques mois.

                        Cette tendance baissière représente, selon lui, un ajustement naturel des prix qui ont atteint des seuils exagérément élevés, provoquant une baisse brutale de la demande.

                        "Les différents programmes de logements lancés par le gouvernement et le fait que beaucoup de demandeurs se soient rabattus sur la location sont des facteurs favorisant la baisse des prix de cession", estime-t-il.

                        Selon lui, un logement coûte actuellement, en moyenne, cinq fois plus que sa vraie valeur, en pointant du doigt les acteurs informels de l'immobilier qui contrôlent, avance-t-il, 80% du marché.

                        Dans la plupart des pays du monde, poursuit-il, le prix du terrain représente 30% de la valeur du bâti, alors qu'en Algérie, le terrain coûte jusqu'à 10 fois le prix du bâti à cause de la spéculation, tandis qu'en raison des prix relativement stables des matériaux de construction, la spéculation sur le prix du bâti est plus difficile.

                        Pour un autre agent immobilier, la cherté des logements amène de plus en plus les gens à se rabattre sur la location pour laquelle une forte demande est exprimée.

                        Concernant le foncier, ce sont surtout les grands terrains qui connaîtront probablement une baisse de prix, contrairement aux petites parcelles, et ce, du fait que les grands terrains se trouvent principalement en dehors des grandes villes alors que peu de gens souhaitent quitter les grands centres urbains.

                        Plusieurs agents immobiliers considèrent que la lutte contre le marché informel est l'une des actions prioritaires à engager en vue de mettre de l'ordre dans le marché.

                        Dans ce sens, ils proposent que ne soient officialisées que les transactions supervisées par un agent immobilier agréé.

                        En fait, l'explosion des prix de l'immobilier dans les grandes villes, entamée il y a une quinzaine d'années, est étroitement liée à l'ouverture de l'économie du pays: l'implantation de nombreuses sociétés étrangères en Algérie a poussé de nombreux propriétaires à louer ou à vendre des locaux au prix fort: "Un véritable effet de contagion s'en est suivi et les prix de l'immobilier ont flambé", affirment-ils.

                        Mais dans le sillage de la crise financière de 2008 qui a touché les pays occidentaux, les sociétés étrangères installées en Algérie ont commencé à investir moins et la demande sur les locaux a commencé à fléchir.

                        Bas de chaussettes pour les bourses moyennes

                        Le ralentissement du marché de la promotion immobilière privée est aussi dû à d'autres facteurs dont la réticence des acquéreurs potentiels à l'acquisition en raison de la crise financière que traverse le pays.

                        "Beaucoup de gens préfèrent ne pas dépenser leur argent, craignant de s'exposer aux risques générés par la baisse des prix du pétrole", selon M. Chemmam.

                        De surcroît, expliquent d'autres promoteurs, des détenteurs de l'argent informel, qui avaient l'habitude d'investir dans l'immobilier, commencent, chez certains, à se détourner progressivement de ce créneau à la faveur de la mesure de la loi de finances complémentaire 2015 qui leur permet de bancariser leur argent contre une taxation forfaitaire.

                        S'ajoute également l'autre mesure introduite par le décret exécutif de juin dernier rendant obligatoire, depuis juillet 2015, le paiement par chèque ou tout autre moyen de paiement scriptural toutes les transactions dépassant le seuil de cinq (5) millions DA pour les transactions immobilières.

                        Avec l'impact de l'ensemble de ces facteurs, "les promoteurs immobiliers ont dû réduire leur marge bénéficiaire, la demande n'étant plus au niveau d'avant", observe M. Aouidat.

                        Les différents programmes de logements lancés par les pouvoirs publics, conjugués à d'autres facteurs "poussent certains promoteurs immobiliers à changer de stratégie", avance M. Rim, promoteur immobilier à Alger.

                        "Il n'y a aucun doute sur le fait que la demande sur les logements a baissé ces dernières années, et que les prix pratiqués par les promoteurs immobiliers vont sensiblement baisser durant les deux à trois années à venir", pronostique-t-il.

                        D'après lui, les promoteurs immobiliers se préparent à une nouvelle phase dans laquelle ils proposeront leurs logements à la location plutôt qu'à la vente.

                        "D'ici deux ou trois ans, il ne sera plus rentable pour les promoteurs immobiliers de vendre. La location s'imposera comme la meilleure solution face à la concurrence des programmes de logements publics", table-t-il.

                        "En ce qui me concerne, j'ai dû réduire les prix de 18% par rapport à ceux que je pratiquais il y a deux ans. Beaucoup d'autres promoteurs ont ressenti les effets de la baisse de la demande", admet une autre promotrice immobilière


                        Maghrèb émergent

                        Commentaire


                        • #13
                          les raisons de cette baisse sont multiples :

                          1- La construction massive de logements sociaux et privés à taux très bas

                          2- La baisse du blanchiment d'argent sale des années 90

                          3- Les mesures étatiques qui visent à capter l'argent qui circule dans le circuit informel

                          Commentaire


                          • #14
                            une baisse de l'ordre de 30 a 40% je n y crois pas, si c'est vrai alors on appelle ça une crise immobilire, un crash immobilier mais en aucun cas une simple baisse.
                            plutot un retour à une situation normale ..

                            Commentaire


                            • #15
                              Cicino
                              plutot un retour à une situation normale ..
                              Le crash de l'immobilier en 2008 a ramener le marché de l'immobilier aux USA a une situation normale

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X