salam
L’ICD compte s’implanter en Algérie
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La société islamique pour le développement de secteur privé, (ICD), filiale de la Banque islamique de développement (BID), prévoit de s’installer en Algérie afin de faire du Maghreb une plate forme pour son implantation sur le marché Africain.
Les ambitions de l’installation de cette société, dont l’Algérie est membre, se multiplient, et le marché algérien compte parmi ses prochaines cibles. Apres son installation en Tunisie (en transformant un établissement de leasing en une grande banque au capital de 150 millions de dinars) et au Maroc, où elle finalise son projet d’implantation, «l’ICD prévoit de lancer des négociations pour son installation en Algérie», a indiqué Mohamed Maher Mannai, directeur de la gestion des programmes à la BID, section conseil et service et gestion des fonds.
Le choix de Magreb pour l’installation d’une plate forme est dû au fait que cette région utilise trois langues, et possède une ressources humaines qualifié par rapport au autres pays d’Afrique, a-t-il expliqué.
Cette société qui utilise le principe de la finance islamique pour soutenir les investissements, est spécialisée dans le financement du secteur privé, notamment les PME. Un domaine dont le besoin est important en Algérie, sachant que cette société est implantée dans plusieurs pays où la finance islamique est pôle position sur le marché. A l’instar du Tadjikistan, Indonésie, au Caraïbes elle et prévoit le lancement de 19 projets. Sur le marché africain, la société a déjà ouvert deux banques l’année dernière au Sénégal, et en Côte d’Ivoire.
Par ailleurs, le même responsable a révélé qu’en Algérie le problème se pose dans la réglementation, qui n'est pas adéquates, pour pratiquer les deux modes de financements. De plus, il n’y a que la Mourabaha qui est proposée, alors que d’autres produits existent sur le marché.
La finance islamique est passée d'une finance typiquement dans les pays islamique à une finance participative dans les pays industriels. Car elle est basée sur l'économie réelle, selon notre interlocuteur.
Khelifa Litamine
L’ICD compte s’implanter en Algérie
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La société islamique pour le développement de secteur privé, (ICD), filiale de la Banque islamique de développement (BID), prévoit de s’installer en Algérie afin de faire du Maghreb une plate forme pour son implantation sur le marché Africain.
Les ambitions de l’installation de cette société, dont l’Algérie est membre, se multiplient, et le marché algérien compte parmi ses prochaines cibles. Apres son installation en Tunisie (en transformant un établissement de leasing en une grande banque au capital de 150 millions de dinars) et au Maroc, où elle finalise son projet d’implantation, «l’ICD prévoit de lancer des négociations pour son installation en Algérie», a indiqué Mohamed Maher Mannai, directeur de la gestion des programmes à la BID, section conseil et service et gestion des fonds.
Le choix de Magreb pour l’installation d’une plate forme est dû au fait que cette région utilise trois langues, et possède une ressources humaines qualifié par rapport au autres pays d’Afrique, a-t-il expliqué.
Cette société qui utilise le principe de la finance islamique pour soutenir les investissements, est spécialisée dans le financement du secteur privé, notamment les PME. Un domaine dont le besoin est important en Algérie, sachant que cette société est implantée dans plusieurs pays où la finance islamique est pôle position sur le marché. A l’instar du Tadjikistan, Indonésie, au Caraïbes elle et prévoit le lancement de 19 projets. Sur le marché africain, la société a déjà ouvert deux banques l’année dernière au Sénégal, et en Côte d’Ivoire.
Par ailleurs, le même responsable a révélé qu’en Algérie le problème se pose dans la réglementation, qui n'est pas adéquates, pour pratiquer les deux modes de financements. De plus, il n’y a que la Mourabaha qui est proposée, alors que d’autres produits existent sur le marché.
La finance islamique est passée d'une finance typiquement dans les pays islamique à une finance participative dans les pays industriels. Car elle est basée sur l'économie réelle, selon notre interlocuteur.
Khelifa Litamine