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Agence Ecofin) - « Nous n’avons pas le même soleil que le Maroc, on en a un petit peu moins car ils sont plus proches de l’équateur terrestre. Même le vent est moins fort car (les Marocains) se trouvent sur l’Atlantique». C’est ainsi que Mongi Marzouk (photo), le ministre tunisien de l’énergie, explique le retard de la Tunisie par rapport à son voisin marocain dans le développement des énergies renouvelables.
Selon le dirigeant, les potentialités du pays en matière d’éolien et de solaire, si elles existent, sont très peu développées. « Aujourd’hui, nous partons de très loin car nous avons seulement 3% de production issue des énergies renouvelables dont la majorité provient du vent et un tout petit peu du soleil», a-t-il révélé.
Cependant, les choses devraient s’accélérer à présent puisque la loi sur les énergies renouvelables a été adoptée et que les contrats entre la Société de l’électricité et du gaz (STEG) et les investisseurs privés devraient être présentés au gouvernement d’ici deux à trois semaines. « D’ici 2020, la STEG produira grâce à l’énergie solaire et éolienne entre 200 et 250 MW», a ainsi annoncé le ministre.
A titre de comparaison, le Maroc ambitionne d’installer, d’ici 2030, 10 000 MW de centrales d’énergies renouvelables.
Selon le dirigeant, les potentialités du pays en matière d’éolien et de solaire, si elles existent, sont très peu développées. « Aujourd’hui, nous partons de très loin car nous avons seulement 3% de production issue des énergies renouvelables dont la majorité provient du vent et un tout petit peu du soleil», a-t-il révélé.
Cependant, les choses devraient s’accélérer à présent puisque la loi sur les énergies renouvelables a été adoptée et que les contrats entre la Société de l’électricité et du gaz (STEG) et les investisseurs privés devraient être présentés au gouvernement d’ici deux à trois semaines. « D’ici 2020, la STEG produira grâce à l’énergie solaire et éolienne entre 200 et 250 MW», a ainsi annoncé le ministre.
A titre de comparaison, le Maroc ambitionne d’installer, d’ici 2030, 10 000 MW de centrales d’énergies renouvelables.
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