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L' Agence spatiale algérienne exporte ses produits en Afrique

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  • L' Agence spatiale algérienne exporte ses produits en Afrique

    Les produits de l'Agence spatiale algérienne (ASAL) sont commercialisables dans tous les pays du monde. Ils ont notamment, vendus à des pays voisins, comme la Tunisie et le Niger, a assuré mercredi à Alger, le directeur général de l'ASAL, Azzedine Oussedik.


    "Les produits de ASAL sont commercialisables dans tous les pays du monde. Nous en avons déjà vendu à la Maurétanie, la Tunisie, le Sénégal, le Niger et le Tchad", a révélé M. Oussedik, lors d'une conférence de presse, suite au lancement réussi, lundi dernier, de trois satellites algériens d'observation.

    Il a expliqué, dans ce cadre, que les produits d'Alsat2A étaient de même et parfois de meilleure qualité notamment en ce qui concerne l'image, que ceux du satellite français Spot6. Pour M. Oussedik ces systèmes spatiaux ont pour vocation de répondre à des besoins de développement, de prévention de gestion des catastrophes et du renforcement de la souveraineté nationale.

    Interrogé sur la rentabilité des trois satellites d'observation algériens, le directeur général de l'ASAL a indiqué qu'il y avait certains aspects qui peuvent être générateurs de ressources financières, qui vont ainsi amortir une partie des coûts, mais d'autres aspects qui ne le sont pas, soulignant que la protection et la sécurité du territoire n'avaient pas de prix.

    Pour ce qui est des coûts de réalisation de ces satellites, il a fait savoir qu'Alsat2A avait coûté environ 3 milliards de DA, tandis qu'Alsat2B revenait à 1,9 milliards de DA, expliquant cet écart par le fait que ce dernier avait été réalisé par des Algériens sur le sol national. M. Oussedik a soutenu que la démarche de l'ASAL, allait être "plus agressive", à travers la création d'une filiale commerciale qui va assurer de façon "indépendante et autonome" cette prestation avec les département ministériels utilisateurs de ses produits spatiaux.

    "Aujourd'hui, il y a un double souci, d'abord, répondre aux besoins économiques ensuite, assurer une rentabilité financière de ces instruments, sachant que ces études sont payantes. Il est plus intéressant pour les départements ministériels comme l'agriculture et les ressources en eaux... à le faire avec l'ASAL, qu'avec des partenaires étrangers, et cela leur reviendra moins coûteux", a-t-il expliqué.

    Trois satellites algériens (Alsat-1B, Alsat-2B et Alsat-1N), ont été lancés avec succès lundi par le lanceur indien PSLV C-35 depuis le site de Sriharikota du Centre spatial de Satich Dhawan (sud-est de l'Inde). Ce programme spatial vise, à travers ces instruments stratégiques, "à renforcer les capacités de l'Algérie en matière d'observation de la terre au service du développement durable et du renforcement de la souveraineté nationale".


    APS
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

  • #2
    Les produits ?

    On peut avoir le nom ou l'image d'un seul produit exporté par la désormais fameuse agence spatiale populaire et démocratique algerienne ?

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    • #3
      Demande le au 300 phd de l 'asal

      C est sur que c'est un autre niveau des decortoqueurs de crevettes de chez toi ou des serreurs de boulons de l usine low cost sans impôts de renault à tanger

      Bon courage
      « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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      • #4
        "Les produits de ASAL sont commercialisables dans tous les pays du monde. Nous en avons déjà vendu à la Maurétanie, la Tunisie, le Sénégal, le Niger et le Tchad", a révélé M. Oussedik, lors d'une conférence de presse, suite au lancement réussi, lundi dernier, de trois satellites algériens d'observation.
        il parle peut etre "d'image" ou "de relevé" fait par des satellites ???? ....
        tu tombe je tombe car mane e mane
        après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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        • #5
          Demande le au 300 phd de l 'asal
          C est sur que c'est un autre niveau des decortoqueurs de crevettes de chez toi ou des serreurs de boulons de l usine low cost sans impôts de renault à tanger


          Ben là!
          Il a juste demandé des infos sur les produits exportés, ca pourrait intéresser le Maroc...éventuellement. On a wahed 10 milles dollars de budget juste pour ce genre d'achats.

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          • #6
            notamment en ce qui concerne l'image, que ceux du satellite français Spot6.
            Ce passage est anthologique Spot 6 est juste l'un des meilleurs satellite d'observation du monde !

            Au moins cet article a le mérite de faire rire.

            C est sur que c'est un autre niveau des decortoqueurs de crevettes de chez toi ou des serreurs de boulons de l usine low cost sans impôts de renault à tanger
            Il vaut mieux décortiquer des crevettes ou serrer des boulons sans se mentir à soit même que de vivre de mensonge grotesque Mr Spot 6
            Dernière modification par iridium, 28 septembre 2016, 20h44.

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            • #7
              Demande le au 300 phd de l 'asal

              C est sur que c'est un autre niveau des decortoqueurs de crevettes de chez toi ou des serreurs de boulons de l usine low cost sans impôts de renault à tanger
              les décortiqueurs de crevettes, exportent des crevettes, les "serreurs" de boulons de Renault exportent des voitures Renault.

              Maintenant on veut juste savoir quel genre de produits, tes 300 phd de l'agence spatiale démocratique et populaire algerienne, exportent.

              C'est facile comme question, non ?

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              • #8
                il parle peut etre "d'image" ou "de relevé" fait par des satellites ????
                Mdr. En effet, cela ne me surprendrait pas que cet article propagandiste ridicule parle de clichés pris par les cameras sur les le satellites.

                Les produits des 300 phd de l'agence spatiale démocratique et populaire algerienne. Comme dit l'adage marocain : Lah yel3an li mayhchem.

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                • #9
                  Trés simple,
                  remplir le bon de commande.

                  http://www.asal.dz/image-alsat2a.php


                  Imagerie satellitaire : le Niger veut bénéficier de l'expérience algerienne

                  ALGER - Le Niger souhaite bénéficier de l'expérience de l'Algérie en matière d'imagerie satellitaire, notamment en ce qui concerne la lutte contre la désertification, a indiqué mardi à Alger le ministre nigérien de la Communication et des Nouvelles technologies de l'information, Salifou Labo Bouche.

                  Lors d'une visite à l'Agence spatiale algérienne (ASAL) et après avoir suivi une présentation sur le satellite algérien à haute résolution Alsat-2A, M. Bouche a fait part de son intention de solliciter l'Algérie pour bénéficier de son expérience dans le domaine de l'image satellite. Soulignant, à ce propos, le problème de désertification auquel fait face son pays, le ministre nigérien a exprimé son souhait de coopérer avec l'Algérie dans le domaine de l'imagerie satellitaire, qui concerne entre autres l'environnement, l'agriculture et la météorologie.

                  A cet effet, M. Bouche a précisé qu'il allait faire des propositions aux responsables des différents secteurs au Niger sur cette expérience algérienne et la possibilité également de former les ingénieurs nigériens dans ce domaine en Algérie.

                  Deux exposés ont été présentés à cette occasion au ministre accompagné de son homologue algérien, Moussa Benhamadi, portant sur le fonctionnement d'Alsat-2A, les actions de lutte contre la désertification à partir d'images satellites, ainsi qu'une présentation d'une vue globale de la ville de Niamey par image satellitaire d'ALSAT-2A.
                  Extrait
                  I – LE DEVELOPPEMENT RECENT DES ACTIVITES SPATIALES EN ALGERIE
                  A – Les technologies spatiales au service du développement
                  Pivot du programme spatial algérien, l’Agence spatiale algérienne (ASAL) a été créée le 16 janvier 2002. Elle a pour principaux objectifs la sécurité et le bien-être du pays. Dès lors, ses activités sont orientées prioritairement vers le développement et l’utilisation d’applications qui permettent de mettre les technologies de l’espace au service du développement économique et de l’aménagement du territoire.
                  A cet effet, l’ASAL dispose de plusieurs instruments. Le Centre national des techniques spatiales (CNTS) s’efforce de répondre aux besoins exprimés en matière de recherche et d’applications liées à l’espace. Surtout, ces institutions peuvent utiliser les ressources fournies par le microsatellite Alsat 1. Associé, dans le cadre de la mission internationale Disaster monitoring constellation, à quatre autres satellites respectivement britannique, chinois, nigérian et turc, Alsat 1 a été mis en orbite le 28 novembre 2002 depuis la base russe de Plesetsk.

                  L’essentiel des activités spatiales algériennes consiste donc en l’utilisation des images fournies par le satellite Alsat 1 afin de contribuer au développement du pays.

                  Plusieurs secteurs clés ont d’ores et déjà été identifiés, notamment en matière de prévention des risques naturels et d’aménagement du territoire.

                  Les images fournies par Alsat 1 sont ainsi utilisées pour affiner les instruments de mesure des risques sismiques. Une « carte de l’aléa et du risque sismiques » devrait être conçue à partir des données du satellite.

                  confection de ce document implique l’association de nombreuses institutions différentes, notamment internationales. L’Institut de physique du Globe de Strasbourg, rattaché à l’EOST (Ecole et observatoire des sciences de la Terre) participe à ce projet.

                  En deuxième lieu, l’ASAL a mis en place au cours de l’été 2004 un instrument de surveillance des forêts algériennes afin de mieux connaître les conséquences d’éventuels incendies. Les priorités retenues suite à cet exercice sont l’amélioration de la gestion et de la prévention des incendies ainsi qu’une meilleure compréhension du phénomène de « reprise végétale », qui désigne le reboisement naturel des forêts après un incendie, et dont l’ampleur et l’intensité est très variable suivant les zones.

                  Enfin, l’Algérie utilise son satellite pour faire face aux ravages causés par le criquet pèlerin, parfois désignés par l’expression « péril acridien ». L’Algérie a associé huit pays africains à ce programme, à savoir le Maroc, la Tunisie, la Libye, la Mauritanie, le Sénégal, le Niger, le Tchad et le Mali.

                  En plus de l’utilisation de l’imagerie satellitaire algérienne, le CNTS algérien participe à la lutte contre ce fléau en développant un système d’analyse et d’aide à la décision permettant d’intégrer différentes données relatives aux migrations acridiennes, à la fois géographiques, biologiques et météorologiques.
                  En plus de sa mission d’aide à la prévention des risques, l’ASAL poursuit des objectifs liés au développement économique du territoire algérien. Ainsi, les données transmises par le satellite Alsat 1 ont été utilisées dans le cadre d’un programme de revitalisation agricole de communes situées dans les steppes (1). Par ailleurs, des conventions ont été signées entre l’agence spatiale et les principales institutions intervenant en matière d’aménagement du territoire. Les premiers projets communs concernent le littoral et les zones protégées, mais des programmes d’une plus grande ampleur sont attendus.
                  A l’heure actuelle, l’Algérie dispose donc de structures et d’équipements permettant d’utiliser l’espace extra-atmosphérique pour aider au développement du pays. Pour autant, ce pays a très tôt montré son intérêt pour des coopérations internationales dans ce domaine afin d’accélérer son rattrapage technologique.
                  ...

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                  • #10
                    Je ne me trompais donc pas. Les produits c'est les images satellites.


                    Comme quoi il faut 300 phd pour vendre des images re-lol

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                    • #11
                      le gars il parle d'exportation en format image gif, jpg, psd....

                      ne lui faites pas dire ce qu'il n'a pas dit
                      "Qui ne sait pas tirer les leçons de 3 000 ans, vit au jour le jour."
                      Johann Wolfgang von Goethe

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                      • #12
                        Faceless:

                        les 300 phd comme tu dis ne travaillent pas tous dans le developpement de satellite, l'ASAL a différentes missions dont: le développement de satellites, mais elle assure pas mal de projets nationaux, de feux de forêts, de désertification, d'innondation et j'en passe, donc hors la vente des images, ya des chercheurs qui sont spécialisés dans les axes que je viens de citer
                        Un pied dans le superficiel et l'autre dans le Din

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                        • #13
                          Comme quoi il faut 300 phd pour vendre des images re-lol
                          quand on sait qu'il faut 11 000 travailleurs qualifies pour faire un câble électrique d'avion et que ca s'appel la technologie aéronautique

                          Commentaire


                          • #14
                            es 300 phd comme tu dis ne travaillent pas tous dans le developpement de satellite, l'ASAL a différentes missions dont: le développement de satellites, mais elle assure pas mal de projets nationaux, de feux de forêts, de désertification, d'innondation et j'en passe, donc hors la vente des images, ya des chercheurs qui sont spécialisés dans les axes que je viens de citer
                            faut allez doucement avec eux, et faut argumenter avec des exemple qu'il comprennent( babouche, tadjine , flûte pour eleveurs de serpent.....), et franchement je ne vois pas comment il peuvent te comprendre,car les exemple qu'ils comprennent n'on aucun lien avec les satellite
                            faut pas s’étonner si tu parle a un cheval d'un moteur 4 temps, il ne comprendra jamais oeilfermé

                            Commentaire


                            • #15
                              faut allez doucement avec eux, et faut argumenter avec des exemple qu'il comprennent
                              Je me le demande,

                              (1) Ils comprennent quoi par vendre des images ?,
                              peut etre des cartes postales dans les gares.

                              (2) les pays qui achetent les images satellites n'ont pas ces
                              300 phd pour vendre des images
                              et
                              (3) "Spot images"
                              il vend quoi ?

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