Les répercussions des amendements apportés à la loi sur les hydrocarbures par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, se font encore sentir surtout dans les milieux des compagnies Américaines, qui n’ont pas exprimé ouvertement leur mécontentement.
Des sources bien informées ont indiqué que certaines d’entre elles se préparaient à quitter l’Algérie ou arrêter leurs projets, à l’instar de « ConocoPhilips ».
Ces informations se rapprochent de celles rapportées par les médias, concernant le départ de « ConocoPhilips » un des plus importants groupes Américains, qui est entré sur le marché Algérien en 2005 après avoir acheté la compagnie « Burlington », ceci intervient également au moment où British Petrolium a officiellement annoncé son retrait du projet « Medgaz » et la vente de sa part contre 5 millions de dollars.
En dépit du fait que les compagnies étrangères travaillant en Algérie n’aient pas ouvertement exprimé leur mécontentement des amendements apportés à la loi sur les hydrocarbures, le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khalil, a organisé une rencontre qui a regroupé la majorité des compagnies étrangères, pour discuter des perspectives et des motivations de l’Algérie qui l’ont poussé à abandonner la loi de juillet 2005 et l’amender par ordonnance présidentielle. Les amendements en question incluent 19 points qui ont soulevé les réserves des grandes compagnies étrangères, en plus de l’article 32 qui accorde à Sonatrach au moins 51% des contrats de prospection, d’exploitation et de raffinage et l’exclusivité dans l’exploitation des réseaux de transport des hydrocarbures par gazoduc, les compagnies étrangères doivent dorénavant payer de nouvelles taxes sur les bénéfices des contrats de partenariat, le taux des taxes va de 5 à 50%.
Si ce mouvement n’a pas encore pris de l’ampleur et touché les plus importants projets et que les grandes compagnies n’ont jusqu’à présent pas annoncé de décision de retrait, ce genre de réserves peut affecter un nombre de projets futurs, surtout que le secteur des hydrocarbures reste très sensible et connaît une grande concurrence.
- El Khabar
Des sources bien informées ont indiqué que certaines d’entre elles se préparaient à quitter l’Algérie ou arrêter leurs projets, à l’instar de « ConocoPhilips ».
Ces informations se rapprochent de celles rapportées par les médias, concernant le départ de « ConocoPhilips » un des plus importants groupes Américains, qui est entré sur le marché Algérien en 2005 après avoir acheté la compagnie « Burlington », ceci intervient également au moment où British Petrolium a officiellement annoncé son retrait du projet « Medgaz » et la vente de sa part contre 5 millions de dollars.
En dépit du fait que les compagnies étrangères travaillant en Algérie n’aient pas ouvertement exprimé leur mécontentement des amendements apportés à la loi sur les hydrocarbures, le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khalil, a organisé une rencontre qui a regroupé la majorité des compagnies étrangères, pour discuter des perspectives et des motivations de l’Algérie qui l’ont poussé à abandonner la loi de juillet 2005 et l’amender par ordonnance présidentielle. Les amendements en question incluent 19 points qui ont soulevé les réserves des grandes compagnies étrangères, en plus de l’article 32 qui accorde à Sonatrach au moins 51% des contrats de prospection, d’exploitation et de raffinage et l’exclusivité dans l’exploitation des réseaux de transport des hydrocarbures par gazoduc, les compagnies étrangères doivent dorénavant payer de nouvelles taxes sur les bénéfices des contrats de partenariat, le taux des taxes va de 5 à 50%.
Si ce mouvement n’a pas encore pris de l’ampleur et touché les plus importants projets et que les grandes compagnies n’ont jusqu’à présent pas annoncé de décision de retrait, ce genre de réserves peut affecter un nombre de projets futurs, surtout que le secteur des hydrocarbures reste très sensible et connaît une grande concurrence.
- El Khabar
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