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La forte présence en Algérie de British Petroleum (BP), comme plus grand investisseur étranger, dénote la réussite du Royaume-Uni dans sa stratégie d’implantation dans la région du Proche-Orient et d’Afrique du Nord, a indiqué mercredi la ministre britannique des Affaires étrangères, Mme Margaret Beckett. Les développements de la situation au Proche-Orient ne doivent pas éclipser les impressionnantes “avancées” du Royaume-Uni, a-t-elle souligné, en référence à la grande percée réalisée par les investissements britanniques dans la région arabe.
Mme Beckett, qui présentait un exposé sur la politique étrangère britannique au Proche-Orient et en Afrique du Nord, lors d’une séance consacrée par la Chambre des communes au dossier irakien, a évoqué la présence en force de British Petroleum en Algérie et en Égypte où les investissements britanniques sont passés à 5 milliards de dollars. La visite effectuée en 2006 par le président de la République Abdelaziz Bouteflika au Royaume-Uni avait ouvert de larges horizons aux relations de coopération bilatérale, a rappelé la ministre britannique, précisant que son pays aspire à développer davantage ses relations économiques avec l’Algérie pour les étendre à des secteurs aussi importants que celui des prestations, le secteur bancaire, des infrastructures, des ressources en eau, de l’industrie pharmaceutique et des communications.
source : Liberté
Mme Beckett, qui présentait un exposé sur la politique étrangère britannique au Proche-Orient et en Afrique du Nord, lors d’une séance consacrée par la Chambre des communes au dossier irakien, a évoqué la présence en force de British Petroleum en Algérie et en Égypte où les investissements britanniques sont passés à 5 milliards de dollars. La visite effectuée en 2006 par le président de la République Abdelaziz Bouteflika au Royaume-Uni avait ouvert de larges horizons aux relations de coopération bilatérale, a rappelé la ministre britannique, précisant que son pays aspire à développer davantage ses relations économiques avec l’Algérie pour les étendre à des secteurs aussi importants que celui des prestations, le secteur bancaire, des infrastructures, des ressources en eau, de l’industrie pharmaceutique et des communications.
source : Liberté