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Les revenus pétroliers et gaziers de l'Algérie sur sept mois sont en hausse de 15%

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  • Les revenus pétroliers et gaziers de l'Algérie sur sept mois sont en hausse de 15%

    ALGER, 6 septembre (Reuters) - Les recettes pétrolières et gazières de l'Algérie ont augmenté de 15,22% sur les sept premiers mois de 2018 pour atteindre 22 milliards de dollars, contre 19,1 milliards de dollars pour la même période l'an dernier, a déclaré jeudi le ministère des Finances. .
    Le prix moyen du pétrole algérien Sahara Blend au cours des sept premiers mois de 2018 était de 71,82 dollars, contre 50,52 dollars au cours de la même période de l’année dernière, a indiqué la source au ministère.
    Le pétrole et le gaz représentent 95% des revenus étrangers de l’Algérie.

  • #2
    Les bénéfices énergétiques de l'Algérie au cours des sept premiers mois de l'année réduisent de moitié le déficit commercial - Données douanières
    Les bénéfices énergétiques de l’Algérie ont augmenté de 15,23% sur les sept premiers mois de cette année par rapport à la même période en 2017, réduisant le déficit commercial de 53,5%, selon des chiffres officiels publiés dimanche par Reuters.

    Les exportations de pétrole et de gaz, qui ont représenté 93,09% des ventes totales à l’étranger, ont atteint 22,021 milliards de dollars, contre 19,111 milliards de dollars en janvier-juillet de l’année dernière, selon les chiffres des douanes.
    La valeur globale des exportations a atteint 23,656 milliards de dollars contre 20,205 milliards de dollars au cours des sept premiers mois de 2017, tandis que les importations ont chuté de 1,06% à 26,908 milliards de dollars.
    Le gouvernement a approuvé des restrictions à l'importation de certains produits dans le but de réduire les dépenses après la chute des prix du pétrole depuis 2014
    Les dépenses de l’Algérie en importations de céréales, de semoule et de farine au cours des sept premiers mois de cette année ont augmenté de 11,3% par rapport à la même période en 2017, selon des données officielles.

    Le pays d'Afrique du Nord a tenté de réduire les importations de céréales et d'autres produits afin de réduire les dépenses en raison de la baisse des revenus énergétiques.
    La facture d'importation du blé dur, du blé tendre, de la semoule et de la farine est passée de 1,69 milliard de dollars en janvier-juillet 2017 à 1,88 milliard de dollars, selon les statistiques douanières.
    Il n'a donné aucun détail sur les volumes.
    L’Algérie, l’un des plus gros importateurs mondiaux de céréales, a vu sa production céréalière augmenter de 74,4% pour atteindre 6 millions de tonnes cette année, contre 3,5 millions de tonnes en 2017.
    Les dépenses globales en importations de produits alimentaires ont atteint 5,236 milliards de dollars contre 5,185 milliards de dollars au cours des ept premiers mois de 2017.

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