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C’est parti pour la 1re usine du chinois Dicastal à Kénitra

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  • C’est parti pour la 1re usine du chinois Dicastal à Kénitra

    Elle sera spécialisée dans la fabrication de jantes automobiles
    Une deuxième unité est prévue
    Le coût global de l’investissement avoisine les 350 millions d’euros

    L’écosystème automobile de la zone industrielle de Kénitra se renforce avec l’arrivée d’un nouveau poids lourd. Il s’agit du chinois Citic Dicastal, leader mondial de la production de jantes en aluminium.
    Le groupe a opté pour Kénitra pour implanter sa première usine au Maroc.
    Juste après la signature de la convention d’investissement avec l’Etat marocain, fin juillet dernier, l’opérateur chinois est passé à l’action.
    Ce lundi 10 septembre, les travaux de construction du projet ont été lancés.
    Ils ont été confiés au groupe marocain SGTM.
    «Nous prévoyons une deuxième unité au Maroc.
    Mais nous n’avons pas encore arrêté notre choix concernant le site d’implantation.
    Nous examinons deux options: la zone industrielle de Kénitra ou celle de Tanger», révèle Badr Lahmoudi, DG de Dicastal Morocco Africa.
    En tout cas, le groupe chinois a déjà mobilisé 12 ha au niveau du site de Kénitra, permettant la réalisation de deux usines.

    Le coût de l’investissement pour la réalisation des deux unités avoisine 350 millions d’euros.
    Leur capacité de production est estimée à 6 millions de jantes aluminium par an, dont une grande partie destinée à l’export, notamment vers l’Europe.
    Tous les efforts seront déployés pour que cette unité soit opérationnelle avant fin 2019.
    Le management du groupe précise que le projet de construction s’étalera sur 8 mois, entre construction et installation des process. «La livraison des ateliers s’opèrera par étape, ce qui permettra de travailler en parallèle pour la mise en marche des machines», est-il précisé.
    Pour respecter les délais de mise en service de cette première usine, le groupe a déjà entamé l’opération de recrutement du personnel dont l’effectif total atteindra 650 personnes.
    «Une partie des équipes sera envoyée en formation dans les usines du groupe en Chine.

    Des équipes de support viendront également de Chine, ce qui favorisera le transfert technique au profit des cadres marocains», précise Lahmoudi.
    Avec le projet de Kénitra,
    le groupe chinois vise à renforcer le positionnement de son réseau à travers le Monde.
    Il dispose de 30 unités de production en Europe, en Amérique du Nord et en Chine, dédiées à la production de composants légers et de jantes en aluminium.
    Parmi ses clients figurent les principaux constructeurs automobiles, comme Renault-Nissan, PSA, GM, Ford, Toyota, Volkswagen, BMW, Audi…
    Par Noureddine EL AISSI






  • #2
    Automobile: L’indien Varroc parie sur le Maroc

    Le groupe décroche un prêt de 170 millions de DH de la Berd
    Pour financer une usine et un centre de développement à Tanger
    Il fournira Renault et PSA en systèmes d’éclairage externe

    Et encore un investisseur indien qui mise sur le Maroc.
    Après Rajneesh Mittal, qui a récemment mobilisé 100 millions de dollars pour la construction d’une usine de plastique PET à Tanger, c’est au tour de Varroc de tenter l’aventure marocaine.
    L’équipementier automobile a récemment signé un accord de prêt portant sur 16 millions d’euros (près de 170 millions de DH) avec la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).
    Le montant servira à financer l’installation d’une usine à la Tanger Automotive City, et la création d’une centaine d’emplois sur la période 2018-2024.
    L’unité spécialisée dans les systèmes d’éclairage fournira les chaînes d’assemblage de Renault à Tanger, et celles de PSA à Kénitra.
    Varroc fait partie des 26 équipementiers du secteur de l’automobile ayant signé, en décembre 2017, des contrats d’investissements avec l’Etat dans le domaine de l’équipement automobile.

    Varroc avait annoncé à l’époque son objectif de mettre en place une véritable base industrielle.
    Elle comprendra, outre l’usine, un centre de développement de produits, dont l’investissement n’a pas été dévoilé.
    L’usine et le centre prévus devront participer à la création de plusieurs centaines d’emplois dans différentes spécialités, selon l’équipementier.
    La production concernera des systèmes d’éclairage externe de nouvelle génération pour l’industrie automobile.
    La proximité avec le complexe portuaire TangerMed, l’un des plus grands d’Afrique, est aussi un élément supplémentaire d’attractivité pour Varroc.
    L’équipementier pourrait, d’un côté, sécuriser ses approvisionnements en matière première, et de l’autre, s’assurer un accès direct aux routes maritimes internationales.

    Cela lui permettra de fournir tout client, en particulier les usines automobiles européennes.
    Pour Varroc, il s’agit d’un pas de plus dans le cadre de son développement international après la Pologne, où une première installation vient d’être effectuée, et le Brésil où de nouvelles unités viennent d’être inaugurées.
    A noter que Varroc Lighting Systems fournit des systèmes d’éclairage complets, ainsi que des systèmes de contrôle électroniques dédiés à plusieurs constructeurs de quatre ou deux roues, dont des marques prestigieuses comme Audi, Range Rover ou Honda.
    Son histoire démarre en 2012 avec le rachat de la filiale éclairage de
    Visteon, qui a derrière elle plus d’un siècle d’existence en tant que fournisseur en solutions d’éclairage, notamment pour Ford.
    L'Economiste


    C’est à Tanger Automotive City que Varroc prévoit de s’installer. L’équipementier avait annoncé, fin 2017, son objectif de mettre en place une véritable base industrielle au Maroc. Elle comprendra, outre l’usine, un centre de développement de produits. L’investissement total n’a pas été dévoilé (Ph. Varroc)

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    • #3
      il est urgent de construire une autoroute du pole Tanger-Tétouan vers le pole Meknès-Fes

      Cela créera une quatrième zones de développement de l'industrie après Casa Tanger et Kenitra

      Mais demander à ce que les produits et matière fassent le détour à Rabat avt d'aller à Fès Meknès est un non sens logistique
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

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      • #4
        Une autoroute ou a minima une voie expresse...

        Mais demander à ce que les produits et matière fassent le détour à Rabat avt d'aller à Fès Meknès est un non sens logistique
        Ca a fonctionné comme ça depuis toujours et c'est d'ailleur encore et toujours le cas !

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        • #5
          il est urgent de construire une autoroute du pole Tanger-Tétouan vers le pole Meknès-Fes

          Cela créera une quatrième zones de développement de l'industrie après Casa Tanger et Kenitra

          Mais demander à ce que les produits et matière fassent le détour à Rabat avt d'aller à Fès Meknès est un non sens logistique

          en fait c'est :




          le cout d'une nouvelle autoroute



          VS



          un detour de 80 à 90 km dans un pays ou le litre d'essence





          le premier cas , ca sera une dépense directe de l'etat .


          la seconde une charge supplémentaire marginale pour une société privée .




          faut quand meme pas pousser .
          " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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          • #6
            Cell au dela de ça il y a le désenclavement régionale, la mise à disposition d'un itinéraire alternatif qui va permettre le développement de deux regions pour crer un équilibre dans le développement nationale. C'est une mauvaise idée de tout concentrer sur la facade Atlantique en maginalisant l'arrière pays !

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            • #7
              Oui le Moyen Atlas oubliée

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              • #8
                Oui il faut pensé à un nouveau plan autoroutier :

                Pole Tanger - Tetouan vers le Pole Fes Meknes via Ouazzane
                Pole Fes - Meknes vers Marrakech via Bni Mellal
                Safi vers Agadir
                Nador via Nador West-Med vers Guercif
                Marrakech vers Taraudant via le tunnel du col de Tizi Ntichka (autoroute pour financé en partie le tunnel)

                Il faut pensé à l'arrière pays du coté de l'est de l'Atlas en construisant des voies express 2*2 :

                Taraudant vers Ouarzazate
                Ouarzazate vers Zagora
                Zagora vers Figuig
                Figuig vers Oujda
                Figuig vers Errachidia via Bouaarfa
                Errachidia vers L'autoroute "est-ouest"
                Errachidia vers Midelt
                Midelt vers L'autoroute de Bni Mellal
                Errachidia Ouarzazate
                Taraudant vers Guelmim
                Dédoublement de la Rocade méditerranéenne de Saidia à Tanger en prévisions de l'ouverture du futur Port Nador West Med
                Dernière modification par Hand, 15 septembre 2018, 00h19.
                Droite des Valeurs
                Gauche du Travail
                Centre "Intérêt de Mon Pays"

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                • #9
                  oui TANGER/TETOUAN - FES MEKNES est fondamental tout comme FES BENIMELLAL MARRAKECH jusqu' a SAFI pas en voie express mais autoroute pur.

                  Jirai meme plus loin TANGER NADOR OUJDA est aussi super inportant tout sa en autoroute.

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                  • #10
                    Les gars les gars ..... est ce que vous avez une idée de ce que coûte une infrastructure aussi lourde qu une autoroute ; pas seulement en terme de coûts directes mais aussi et surtout d'utilisation de maintenance et d'exploitation ; d'autant que parmi ces projets il y a des traversées des montagne de l'atlas qui feront grimper la facture...... oui il faut désenclaver et investir de manière plus équilibrée, mais il faut aussi garder en tête que même un investissement public ; ça doit s'amortir rapidement a moins de vouloir léguer de la dette aux générations futures.
                    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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                    • #11
                      Effectivement. Et avant de parler du coût de construction, il y a le coût de l’étude de faisabilité.

                      Ainsi, rien que le coût d'étude de faisabilité du projet d'autoroute Fès-Tétouan (252 km) a été fixé à 470 millions de DH !!

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                      • #12
                        Immorente, foncière à rendement locatif gérée par CFG Capital (filiale de CFG Bank), s’apprête à démarrer le chantier de construction d’une usine de 17.500 m² sur un foncier d’environ 4 ha au cœur de la zone franche d’Atlantic Free Zone à Kénitra.
                        La construction de cette usine, confiée au constructeur marocain TGCC, sera réalisée dans le cadre d’une opération bulit-to-suit pour le compte de l’équipementier automobile Faurecia, et ce, dans le cadre d’un contrat de location de longue durée déjà signé entre la foncière et l’industriel français.
                        Présent au Maroc depuis 2009 avec deux unités de production à Kénitra et Salé, cette nouvelle usine placera le groupe Faurecia parmi les principaux employeurs du secteur au Maroc.

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