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Groupement laitier saoudien "Almarai" en Algérie

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  • #31
    Mais bon Al Marai va s installer en Algerie , et ce n est ni toi , ni Cevital , ni Hamitouche ni Danone , toutes ces laiteries Implantées dans Cette " Region " qui vont empecher cela .
    au lieu de braire, vérifie l'historique de tes mara3i dont le pays se trouve être un importateur de lait français. Cela n'a rien à voir avec ton obsession de cevital dont tu es visiblement atteint.

    Ce projet de méga ferme a été initié par haddad qui voulait importer des milliers de vaches avec les infrastructures nécessaires. Une folie des grandeurs qui ne leurre que les badauds. C'est donc du réchauffé pour calmer ta joie.

    pour le lien que j ai mis c est en anglais , une langue que la langue de Moliere dont tu es obsedé t empeche d apprendre .
    alors, moi j'aime toutes les langues kabyle, arabe français, anglais, espagnol, russe.. Je ne tolère pas la constipation linguistique.
    Dernière modification par Tizwel, 06 mai 2020, 18h21.

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    • #32
      Almarai est particulièrement connue par ses pratiques de prix prohibitifs et son management spéculatif.
      icosium,

      Al mara3i est lié à un fonds de pension bien connu qui a déjà sévi en Algérie. Va dire cela à certains chevaux de trait

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      • #33
        Almarai est connue par ses pratiques spéculatives au moyen orient, en créant des crises pour justifier ses augmentations de prix sporadiquement.

        En juillet 2018, suite à l’augmentation des prix de certains des produits laitiers d’Almarai (entre 5 et 9% selon le produit), un appel au boycott de ses produits a été lancé sur les réseaux sociaux par des dizaines de milliers d’internautes, soutenus par plusieurs associations de consommateurs.

        Almarai avait alors justifié les augmentations par la hausse du coût de production lié à l’énergie, au transport, à l’importation du fourrage et à la main d’œuvre. Or, le contexte démentait ces affirmations puisque le marché n’avait enregistré aucune augmentation en termes d’énergie, de transport ou encore de coût du fourrage ou de main d’œuvre.
        "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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        • #34
          u lieu de braire, vérifie l'historique de tes mara3i dont le pays se trouve être un importateur de lait français. Cela n'a rien à voir avec ton obsession de cevital dont tu es visiblement atteint.

          Ce projet de méga ferme a été initié par haddad qui voulait importer des milliers de vaches avec les infrastructures nécessaires. Une folie des grandeurs qui ne leurre que les badauds. C'est donc du réchauffé pour calmer ta joie.
          Oula oula Monsieurs Passe aux gros mots , ghalbek ramdan !!! zmén kount na3arfek kerrouche bessa7 machi 3idari Revenant au sujet l historique dont tu parle ici c est du " it has been " c est comme le desert de Dubai qui est devenu ce qui est devenu .Al Mara3i avait demarré avec quelques centaines de vaches , aujourd hui elle a 147 milles vaches . des fermes aux USA et en Argentine , tu es mieux placé que les americains et les argentins pour porter un tel jugement sur cette compagnie ??

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          • #35
            Ya khayam

            Elnass rahoum en sevice commande

            Tu te souviens pas de la compagne mediatique de rabrabhoum et ses relais pour empecher la marque afia de s'installer en algerie ?

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            • #36
              beaucoup de discussion pour rien , on verra si sa se fait ou pas ,marre de tout ces projets qui reste en l’état de projet
              attendons de voir si sa se réalise et quand

              on est champion du monde toute catégories dans les projets
              Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
              alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras

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              • #37
                Et pourtant, il y a une plante qui pourrait remplacer toutes ces vaches, le soja, la culture du soja pourrait se faire dans des petites et moyennes exploitations.

                On pourrait en faire du lait mais les habitudes alimentaires ne sont pas facile à changer.
                Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                • #38
                  zmén kount na3arfek kerrouche bessa7 machi 3idari Revenant au sujet l historique dont tu parle ici c est du " it has been "
                  balak chebahtni. Rak men tka3rir ma tokhrejch.. Les arguments rebi ijib.

                  Cherche quel fonds de pension qui met en scène t mara3i w jibli khbar. Sinon roh tel3an b3id.

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                  • #39
                    Qu'est qui empêche l'Algérie d'installer des fermes d'élevage à une échelle industrielle pour la production des produits laitiers ?
                    Je pense que rien ne lui manque pour briller dans ce secteur,en plus la terre algérienne est loin d'être aride comme en Arabie Saoudite.

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                    • #40
                      Envoyé par Anzoul
                      Qu'est qui empêche l'Algérie d'installer des fermes d'élevage à une échelle industrielle pour la production des produits laitiers ?
                      le360.ma: 06/2018: Le géant saoudien Almarai va ouvrir une usine au Maroc

                      On dit que le malheur des uns fait le bonheur des autres. Au moment où Centrale Danone voit ses pertes s’amplifier sous l’effet du mouvement de boycott visant sa marque de lait, le groupe saoudien Almarai s’apprête à investir dans la filière du lait. L’information a été rapportée par le site Hespress, citant une source qui suit de près le dossier des investissements saoudiens au Maroc.

                      La célèbre firme saoudienne aurait acheté des fermes dans «la région du Centre» et les a déjà équipées de matériel de pointe dans la perspective de les relier à des unités de conditionnement du lait et de ses produits dérivés. «Le nouveau complexe industriel du groupe Almarai sera opérationnel avant la fin de l’année, voire début 2019 au plus tard. La production sera destinée tant à l’export qu’au marché local», poursuit la même source.

                      Groupe leader du secteur agro-alimentaire saoudien, Almarai emploie plus de 4.700 personnes. A son actif, pas moins de 135.000 vaches laitières réparties dans 7 fermes localisées à 150 kilomètres de Riyad, en plein désert. Cotée à la bourse de Riyad, l’entreprise produit plus de 1,2 milliard de litres de lait par an, ce qui fait d’elle l’une des plus grandes fermes au monde.


                      Tjrs nada

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                      • #41

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                        • #42
                          Akli Moussouni . Ingénieur agronome :
                          «L’appel à ALMARAI semble être une démarche Politicienne»
                          Samira Imadalou - El Watan | 09 mars 2020



                          -Quelle lecture faites-vous de l’appel lancé à Almarai pour s’installer en Algérie après l’échec d’une première tentative en 2009 ?
                          L’invitation officielle adressée au groupe saoudien Almarai d’investir en Algérie fait partie de toutes celles qu’on avait engagées en grande pompe et qui se sont évaporées instantanément pour avoir été engagées à travers un marché de dupes.

                          Comme pour les autres animateurs de ces «partenariats» spontanés, apparemment le ministre du Commerce ignore royalement les enjeux par rapport à ce produit stratégique en allant vite en besogne pour proposer aux Saoudiens de relancer ledit projet qui a été abandonné en 2009, sans se demander /
                          - pourquoi des projets d’investissement nationaux beaucoup plus intéressants n’ont pas été autorisés,
                          - ni pourquoi les groupes industriels qui produisent actuellement du lait UHT (similaire à celui d’Almarai) n’arrivent pas à évoluer, pourtant assignés par contrat pour introduire 50% du lait frais dans le processus au bout de 10 ans d’activité !

                          Cet appel à un groupe industriel étranger ayant acquis ses machines et conduit son cheptel avec une technologie achetée clé en main, dont la gestion est assurée par des étrangers, laisse planer un doute par rapport à une démarche plutôt politicienne.

                          -Que cache ce projet à votre avis ?
                          Sachant que les complexes laitiers saoudiens ont été érigés pour assurer la sécurité alimentaire de ce pays sont devenus au bout de quinze ans d’activité une problématique insurmontable à cette sécurité alimentaire pour avoir consommé une bonne partie des réserves d’eau douce non renouvelables de ce pays pour avoir tenté de produire l’alimentation in situ.
                          Sécurité alimentaire oblige, l’Arabie Saoudite s’est lancée en conséquence dans une tentative de s’acheter des terres à l’étranger, notamment en Afrique sur les bords du Nil et en Indonésie où on a failli créer des guerres civiles pour avoir dilapidé les ressources des populations rurales de ces pays.

                          Ces soulèvements réprimés par la force ont fini par donner des résultats. L’Arabie Saoudite s’est retrouvée à rechercher toutes les solutions possibles, jusqu’à imaginer un projet saugrenu de détacher et ramener un iceberg à partir de l’Antarctique pour réalimenter ses nappes. Un projet bien entendu qui ne verra jamais le jour ni technique ni juridiquement par rapport à la législation internationale.

                          Cette aubaine délirante n’a pas eu lieu, ils se sont donc rabattus sur l’importation de l’alimentation du cheptel depuis le continent américain pour produire du lait, qui coûte l’équivalent de 150 à 180 Da le litre, soit 3 à 4 fois plus cher que le lait européen. A noter que le gaspillage de l’eau dans ce pays est sans commune mesure, sachant que la consommation annuelle d’eau d’un citoyen saoudien est de 900 m3, soit, 7 fois la consommation moyenne d’un Européen.

                          C’est donc à défaut d’une solution idoine pour sauver l’agro-industrie de l’Arabie Saoudite que notre ministre du Commerce vient offrir une issue de secours miraculeuse pour le pays «frère», dans l’ignorance totale de tous les dangers d’une telle aventure qui consiste à remettre sur un plateau d’argent la plus grande réserve d’eau douce du monde, en l’occurrence l’Albien que l’Algérie n’arrive pas à exploiter en l’absence totale de politique de l’eau et d’un secteur agricole performant.

                          Plus que cela, ce contrat de «partenariat» sera entériné dans le cadre de la «Grande zone arabe de libre échange» (GZALE), dont l’Algérie n’a tiré aucun profit du point de vue fiscalité et opportunités d’affaires.

                          -Comment expliquer que les groupes industriels algériens du lait n’ont pas su créer une industrie de la taille d’Almarai ?
                          A l’issue du premier projet industriel saoudien, en l’occurrence Al Safi de 32 000 vaches réalisé par la multinationale suédoise Delval, il y eu le projet de Cevital portant sur trois complexes laitiers de 30 000 vaches chacun projeté le long de la bande sud de la steppe qui n’avait pas vu le jour pour avoir été sabordé à l’époque par le ministère de l’Agriculture en lui refusant l’acquisition des terres.

                          Plus récemment encore, le groupe Ramy a tenté de réaliser un complexe laitier dans la région d’El Menia (Ghardaïa), mais pour lequel on a refusé d’attribuer l’exonération fiscale sous prétexte que l’industrie du lait est saturée, bien qu’il dispose sur site d’un premier lot de vaches laitières pour lequel il a engagé les premières cultures fourragères.

                          Par rapport aux groupes industriels qui activent déjà, ils ne peuvent évoluer pour avoir été embarqués par le ministère de l’Agriculture dans le dispositif de soutien aux petits éleveurs pour leur faire jouer le rôle populiste de l’Etat en leur imposant l’introduction à 50% dans leurs processus du lait frais qui doit provenir avant 10 ans d’exercice de la collecte du lait des petits éleveurs, puisqu’on ne leur a pas attribué la terre pour élever leurs propres cheptels.

                          Ces dispositifs réglementaires toujours en vigueur ont mis à sac cette filière pour avoir favorisé l’importation de la poudre de lait pour les complexes industriels qui peuvent même activer au nom de marques étrangères comme fausse certification. Ce qui a d’ailleurs relevé le prix du lait UHT à environ deux fois son prix.

                          Toutefois, les groupes Soummam, Danone, Hodna et Ifki ont fait un effort important par rapport aux directives du ministère de l’Agriculture pour avoir introduit du lait frais de la collecte entre 15 et 40% de leur production, mais l’ensemble de ces groupes couvrent à peine 25% des besoins du marché national en lait UHT. Ce qui reste insignifiant par rapport à une problématique profonde.

                          -Quelle démarche adopter alors face à cette problématique ?
                          La solution durable à toute l’agriculture algérienne dont la filière lait existe bel et bien pour l’instant dans les limites des potentialités à mettre en œuvre, dont une bonne partie, il faut le reconnaître, a été dilapidée, en l’occurrence l’eau, le sol et le pouvoir de l’investissement privé ou étatique, largement malmené en l’absence de politique agricole économique. Cette solution ne peut être que globale pour tout le secteur agricole.

                          Elle consiste dans une première étape en un changement radical de tous les mécanismes et dispositifs qui servent à gérer ce secteur, à commencer par la construction des filières sur la base de chaînes de valeur qui puissent valoriser à leur tour le produit national. Dans le cas de la filière lait, tenant compte du caractère semi-aride de notre contexte climatique, l’exploitation d’un cheptel bovin laitier ne peut être que modulaire, dont la taille ne doit être ni trop petite ni trop grande, soit entre 100 à 1000 vaches laitières. C’est le niveau de disponibilité du sol et de l’eau qui en détermine la taille de l’investissement.

                          Pour produire compétitif, il y a lieu de recycler in situ les résidus, tandis que le veau doit être transféré en petits lots à l’activité de l’engraissement au profit des petits éleveurs.

                          Il faudra se rendre à l’évidence qu’on ne peut faire évoluer une situation /
                          1. - lorsqu’on ne veut pas admettre officiellement qu’elle pose problème ni vouloir reconnaître les causes, en maintenant en vigueur les politiques à l’origine de cette problématique,
                          2. - et en même temps, on fait appel à des investissements étrangers en guise de solution !

                          Nous sommes donc, dans ces conditions, devant une situation inédite, dont la véritable solution relève du miracle.
                          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                          • #43
                            Salam,

                            Envoyé par xenon
                            ils font de l'agriculture saharienne ,mais à un prix financier et écologique exorbitant qu'ils camouflent par des subventions massives .
                            Nous sommes dans la même situation.. il est impératif de développer une agriculture saharienne, qui n’est pas si onéreuse que ce que tu penses..
                            Actuellement la production saharienne a contribué considérablement à la disponibilité des fruits et légumes.. et donc à la stabilité alimentaire du pays..

                            La principale subvention est l’électricité.. qui est d’ailleurs subventionnée partout en Algérie.. un peu plus dans les régions du sud.
                            S’il est question de revoir la subvention des produits énergétiques vers la baisse (ce que j’espère), les prix de revient augmenteront partout en Algérie.. mais cela ne compromettrait pas la rentabilité des exploitations agricoles quelles soit au Sahara ou au tell. Car ce sont des produits de premières nécessité.

                            Ce qui menace cette rentabilité, c’est le recours à l’importation des produits agricoles, subventionnées ailleurs. On peut dire que la gestion de ce dossier est administrative.. la politique algérienne actuelle est folle et chaotique, on subventionne la devise, donc l’importation, et on subventionne les produits énergétiques..

                            Enfin bon, actuellement l’idée des pôles agricoles saharien (de Boutef) est une grande réussie.. le plus grand pôle agricole saharien est El-Oued.. la mise en valeur des terres par la densification d’un réseau électrique et routier a permis d’avoir une forte production nationale sur toute l’année. Sur les images satellite on peut voir l’étendue des exploitations agricoles de cette région.. (https://goo.gl/maps/FSoTvyZmpjNxzCX37)

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                            • #44
                              Mohamed reda
                              Sur les images satellite on peut voir l’étendue des exploitations agricoles de cette région..
                              Oui, on le voit bien.

                              Et cette agriculture intensive par pivot d'irrigation est bine plus ancicenne qu'on ne le croit. Mais elle s'est développée plus ces 15 dernières années avec de meilleures subventions et les moyens de tranpsorts qui se sont développés.

                              Mais à vue d'oeil, on y voit bien la salinisation et d'un très fort abandon de terres. de 30 à 70% des parcelles !

                              Il va falloir que l'état sensiblise pour éviter le plus possible l'irrigation par pivot, et développer plus l’irrigation par goutte à goutte, délivrant juste la quantité d’eau nécessaire à la croissance de chaque plante et aux besoins de lessivage des sels, pour limiter le fléau de la salinisation.

                              Il faut aussi tendre vers des cultures et des variétés adaptées à la salinité, comme certaines cultures fourragères, certaines cultures maraîchères, ls arbres fruitiers comme le grenadier, le palmier dattier, etc
                              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                              • #45
                                Mais à vue d'oeil, on y voit bien la salinisation et d'un très fort abandon de terres. de 30 à 70% des parcelles !
                                Mais Pomaria.. il faudrait allez sur le terrain, faire des études, des stats, pour pouvoir avancer des données. Pas comme ca de tête.

                                Il va falloir que l'état sensiblise pour éviter le plus possible l'irrigation par pivot, et développer plus l’irrigation par goutte à goutte, délivrant juste la quantité d’eau nécessaire à la croissance de chaque plante et aux besoins de lessivage des sels, pour limiter le fléau de la salinisation.
                                Ce que tu dis-là est très raisonnable.. Chaque région du sud a sa spécificité.. ces avantages, ces inconvénients. Dans la région de Oued Souf, la terre est sablonneuse, les eaux d’irrigations s’infiltrent rapidement, ce qui permet un bon lessivage du sable.. en plus la nappe phréatique est très proche de la surface 6à10m, l’eau est pompée à partir de puis artisanaux de 1 à 1.5 de diamètre, avec des briques et un simple suppresseur. Les pivots d’irrigation de 100m de fabrication locale. Les problèmes des exploitants se résument au vols d’équipements, les suppresseurs notamment. La qualité des eaux était aussi un problème au début, les habitants du Souf faisait leurs besoins dans des fausses sceptiques poreuses (tous disparaît dans la nappe) jusqu’à ce qu’un plan d’assainissement de la ville par un réseau sanitaire et des STEP.
                                De plus, les exploitants ont un cahier de charge qu’ils doivent suivre.. parfois, ils laissent leurs parcelles en jachère, parfois ils grattent la couche superficielle sur 50cm et la remplacent avec du sable neuf et riche.

                                Si on change de région, on change de profils, le futur hyper pole agricole est la région touat, adrar timimoun.. là-bas d’autres méthodes, d’autres exploitations.. Le risque de salinité des terres est réel et les méthodes de parade existent. Pour l’instant, le problème de cette région est l’électricité. La région est vaste.. très vaste.. le réseau ne suit pas.. en transport ou en force motrice. Mais de très gros efforts et investissement ont été opéré. Notamment la nouvelle centrale d’Adrar de 150MW.

                                Le potentiel agricole du Sud est simplement énoooorme.. la question n’est pas de l’exploiter ou pas.. il est évident qu’il faille y aller.. bien sûr avec des méthodes modernes et scientifiques afin d’exploiter rationnellement cette richesse.

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